Beaux-arts

Le directeur général accomplit le rôle de régulateur et le rôle informationnel diffuseur. 13) En octobre 1994, afin d’accroître la rentabilité de la librairie-boutique, M. John R. Porter a commercialisé le premier accessoire de la collection Beaux-arts qui regroupe un ensemble d’objets haut de gamme inspirés d’œuvres de la collection du musée ou d’artistes qui y sont présentés. Question 2 : Le directeur général accomplit le rôle d’entrepreneur 14) Effectuer la location d’espaces dans

Georges Bohy, un poète académicien Robert Goffin[2], deux professeurs d'université, Paul Demoor et Félicien Favresse, un futur président du Conseil d'Etat, Marc Somechaussen et un haut magistrat, Henri Simon. Ensuite, il s'inscrit à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles dans la classe de Constant Montald[3]. L'année suivante, il suit les cours de peinture décorative donner par se dernier. Il rencontre alors le peintre et poète Pierre-Louis Flouquet[4] et Jules Payro futur professeur d'Histoire de l'Art

diffuseur). 15) Il présente un mémoire au sujet de la norme d'attribution des subventions à différentes instances gouvernementales (rôle décisionnel - négociateur). 16) En octobre 1994, il commercialise le premier accessoire de la Collection beaux-arts (rôle décisionnel - entrepreneur). 17) Il met sur pied une fondation ayant pour mandat d'accroitre la stabilité financière du Musée (rôle informationnel - porte parole). 18) Durant l'hiver 1996, il présente l'exposition L'Hommage à Rosa Luxembourg

l’information sur le musée à des gens externes. Rôle d’agent de liaison : Établis le type de relation qu’il aura avec les intervenants. QUESTION #3 1. Les compétences liées à la conceptualisation * « En 1989, j’ai soumis au Musée des beaux-arts de Montréal le projet d’une exposition majeure sur le mobilier d’époque victorienne au Québec qui faisait appel à l’expertise d’une quinzaine de chercheurs de diverses disciplines »1. Avec cette expérience, Porter prouve qu’il a une capacité de

John R. Porter que j’ai relevés à la lecture du cas John R. Porter et le Musée du Québec : 1. John R. Porter a étudié l’histoire de l’art à l’Université Laval. Il a obtenu une licence ès lettre en histoire de l’art en 1971, et une maîtrise ès arts en histoire de l’art en 1972. Il obtient son doctorat en histoire de l’art à l’Université de Montréal en 1981. 2. Durant sa maîtrise, il publie un petit livre en marge d’une exposition qu’il avait organisé avec un collègue. Il réalise également

élément pour chacun des types de compétences. A) COMPÉTENCES LIÉES À LA CONCEPTUALISATION : Correspond à la capacité d’envisager une organisation dans son ensemble et de manier des abstractions. Avoir une vision globale. -Conservateur au Musée des beaux arts de Montréal B) COMPÉTENCES LIÉES AUX RELATIONS INTERPERSONNELLES : Correspond à la capacité de former des équipes, de stimuler les membres d’une organisation et de motiver un individu ou un groupe. Directeur du centre de recherches multidisciplinaires

l’art ancien du Québec à l’Université Laval. En tant que professeur, M. Porter a développé des compétences en tant que formateur, tuteur auprès d’étudiant, les encadrant et les motivant dans leurs différents projets 4 Domaine Technique Maîtrise ès arts en histoire de l’art, Université Laval Doctorat en histoire (de l’art), Université de Montréal Les études de 2e et 3e cycle démontre un haut niveau de connaissance et de compétences dans un domaine directement relié aux fonctions (formation pertinente)

à la capacité du gestionnaire à concevoir une vision d’ensemble de l’organisation et de son environnement, afin de mieux pouvoir analyser et prévoir les effets de leurs décisions et stratégies. Lorsqu’il a été Conservateur en chef au Musée des Beaux-Arts de Montréal, de 1990 à 1993, John R. Porter a dû mettre à profit ses capacités d’organisation, puisqu’il devait gérer et diriger une équipe, ainsi que plusieurs projets. Les compétences liées aux relations interpersonnelles représentent la capacité

La voix Des « beaux-arts » aux arts plastiques L'art contemporain a pour fondement les expérimentations de l'art moderne, et revendique régulièrement l’entrée en matiere de M.DUchamps et d'autres qui avaient permis à la pratique de l'art des contraintes classiques de représentation. La voix Des « beaux-arts » aux arts plastiques L'art contemporain a pour fondement les expérimentations de l'art moderne, et revendique régulièrement l’entrée en matiere de M.DUchamps et d'autres qui avaient permis

qu’il était professeur d’histoire de l’art ancien du Québec, il a eu le bonheur de former des étudiants et de les voir réaliser à leur tour de grands projets. 5- Compétences liées à la conceptualisation En 1989, il a soumis au Musée des beaux-arts de Montréal le projet d’une exposition majeure sur le mobilier d’époque victorienne au Québec qui faisait appel à l’expertise d’une quinzaine de chercheurs de divers disciplines. Peu de gens croyaient en ce projet pour lequel tout était à faire