Bégaiement

messieurs braves »), là où le singulier aurait conservé I'idée d'un personnage unique ou d'une situation extraordinaire. Ce sont toujours les mêmes histoires, toujours les mêmes romans. De même, la répétition d'une même racine, qui confine au bégaiement, souligne d'entrée de jeu la pauvreté de ce langage : « Ce n'étaient qu'amours, amants, amantes... ». Des effets de parallélisme mêlent de façon comique I'univers de la fiction et la réalité de la lecture, emportés tous deux dans une même hâte

Grassins en passant par Cruchot qu'on vende la rente à Paris (pages 132 à 147) ; comment faire renoncer Eugénie à l'héritage maternel (pages 217 à 230). Cette stratégie trouve sa force dans d'apparentes faiblesses, même physiologiques (page 133 : le bégaiement est une tactique). Eugénie : Le titre indique bien que c'est cependant Eugénie qui est l'héroïne du roman. Sa discrétion et sa générosité sont peintes avec une grande délicatesse. Son mode de vie, son silence, son physique sont ternes, mais c'est

lieu de spectacle ) Les troubles du langage : cela concerne l’organisation et la structure de la phrase. On peut considérer qu’il y a anomalie si ces troubles persistent après 3 ans ou que l’enfant progresse peu ou pas. Le bégaiement : 1% des enfants troubles qui disparaissent généralement vers l’âge de 10 ans Le mutisme : c’est la disparition du langage chez un enfant ayant parlé. Elle peut être total ou électives ex : suite à un important traumatisme ou une

Grassins en passant par Cruchot qu'on vende la rente à Paris (pages 132 à 147) ; comment faire renoncer Eugénie à l'héritage maternel (pages 217 à 230). Cette stratégie trouve sa force dans d'apparentes faiblesses, même physiologiques (page 133 : le bégaiement est une tactique). Eugénie : Le titre indique bien que c'est cependant Eugénie qui est l'héroïne du roman. Sa discrétion et sa générosité sont peintes avec une grande délicatesse. Son mode de vie, son silence, son physique sont ternes, mais c'est

|surveillance, repérer les troubles (ex : | | |élément |« abricot »(périodique) |Articulation, bégaiement) | | |Il peut hésiter sur certains mots. |FRANKLIN : de 3 à 7 ans | |

ponctuation aussi est très expressive : elle rappelle aux lignes 42 à 47 et 56 celle de la première réplique de l’extrait que les lignes 42 à 45 reprennent allusivement . En outre , à la ligne 46, le nazi manifeste sa peur et sa soumission par le bégaiement et la négation. Le chantage porte donc sur l’argent placé à l’étranger et la remise en liberté d’Anna. La didascalie montre un Freud qui sourit (lignes 50 et 52) mais garde le triomphe discret:«sourire  ironiquement humble»ligne 50, « même sourire »

d'animaux, paix des rides/ Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux;" (Voyelles) . alertes fillettes : vives. Ce mot les oppose bien sûr aux grosses dames, comme le moi s'oppose aux bourgeois. Elles le : allitération en l. Sorte de bégaiement de la phrase qui modifie le rythme, et indique une certaine gêne, plus ou moins simulée. vers moi : rejet qui valorise encore la présence du narrateur. La sonorité "ver" n'est présente que 4 fois (les 3 adjectifs verts et celle-ci): on peut donc

hormis l’emploi de quelques termes qui ne font qu’insister sur la succession purement temporelle des événements tels « et puis », à six reprises. Les anacoluthes, ruptures anormales de la syntaxe, contribuent à la désorganisation du discours, tels le bégaiement du messager. Ainsi relève-t-on des phrases constituées de double sujet, ou double complément, le principal étant postposé au verbe : « le voir ainsi cet ignoble cavalier », « le courrouçait fort notre colonel », « n’aimait pas du tout cela la peur »

Grassins en passant par Cruchot qu’on vende la rente à Paris (pages 132 à 147) ; comment faire renoncer Eugénie à l’héritage maternel (pages 217 à 230). Cette stratégie trouve sa force dans d’apparentes faiblesses, même physiologiques (page 133 : le bégaiement est une tactique). Eugénie : Le titre indique bien que c’est cependant Eugénie qui est l’héroïne du roman. Sa discrétion et sa générosité sont peintes avec une grande délicatesse. Son mode de vie, son silence, son physique sont ternes, mais c’est

tard, sans que nous y ayons pensé. Dans ce cas là, les mots ne nous apprennent pas notre pensée, car justement on est incapable de s’en souvenir et de les utiliser, donc de se faire comprendre pour nous même et pour les autres. De même pour le bégaiement, ce sont les mots qui ne peuvent pas suivre ma pensée, ce n’est pas ma pensée qui est bloquée. Enfin, la dernière critique que nous pouvons faire des mots est qu’ils peuvent entraîner incompréhension de notre pensée, ou de celle des autres. Comment