Bel Ami Un Personnage Ambigu

 et  exceptions  imprévues  !"Vous  analyserez   ce  jugement  en  vous  fondant  sur  des  exemples  précis  tirés  de  Nana        Nana   est   une   femme,   un   personnage   féminin   particulier.   Elle   est   née   en   1877   de   l’imagination   de   Zola   et   a   fait   sa   première   apparition   en   tant   qu’enfant   dans   l’Assommoir

moins marqués par les traditions littéraires, deviennent les genres dominants. * Recherche de la vraisemblance plutôt que de l’idéalisation édifiante. D’où le choix de personnages ordinaires, voire médiocres, de situations triviales, souvent tirées de faits divers réels. D’où aussi des descriptions qui, pour matérialiser personnages, lieux et objets, ne reculent pas devant certains détails jusque-là interdits. * Volonté d’objectivité, opposée à tout épanchement lyrique : récit en « il », recherches

emporter ce livre dans mes bagages pour un voyage en Iran, où je me suis amusé du parallèle entre l’hypocrisie religieuse ultra de la Restauration et celle du régime des mollahs. Ambiguïté sexuelle Stendhal multiplie les allusions ambiguës et paradoxales sur son personnage. Quand il se présente, « Mme de Rênal eut d’abord l’idée que ce pouvait être une jeune fille déguisée, qui venait demander quelque grâce à M. le maire. » (chapitre I, 6). Puis elle lui trouve « l’air fort méchant » (qualificatif

utilise et qui reflète le langage du peuple, par exemple dans « La laitière et le pot au lait », on discerne de nombreux diminutifs comme : « Perrette » (v.1), « coussinet » (v.2), « cotillon » (v.6) ainsi qu’un style léger « Notre laitière » (v.7), « bel et bon » (v.18) qui correspondent à la familiarité et au langage des paysans. La Fontaine utilise ici, le genre de la comédie qui est considéré comme un genre haut mais qui possède un style bas, grossier, familier caractéristique du peuple. Il use de

qu'infiniment plus retorse7 que les choix et jugements de valeur explicites est l'adresse avec laquelle le narrateur «botte en touche», «refile» (pour ne pas écrire «refourgue») discrè tement à son «témoin» et «cher» ami (Tarrou est effectivement très pré cieux) quelques personnages encombrants. C'est Tarrou en effet qui finit par «couvrir» (dans le sens journalistique du terme) les malades incura bles (moralement s'entend) du bon docteur: — le vieil asthmatique aux petits pois, monomane qui

nous place comme des spectateurs impuissants face à des destins tragiques. Notre passage se situe au séminaire de Saint Sulpice. Détruit après une infidélité de Manon avec Monsieur de B…, le chevalier des Grieux décide de partir à Paris avec son ami Tiberge. Ils choisissent de suivre des études de théologie. Cela permet à des Grieux d’oublier sa « perfide Manon ». Mais, après s’être cru « délivré des faiblesses de l’amour », Manon assiste à son « exercice » public (c'est-à-dire un entrainement

quand au message symbolique que véhicule cette tragi-comédie. Cette scène est l’occasion d’inscrire la pièce dans une philosophie et dans une perspective critique. Le personnage de Dom Juan apparaît comme un libertin et connaît une triste fin, ce qui invite à lire Dom Juan comme une critique du libertinage, mais cette œuvre complexe ambiguë ne se contente pas d’un message aussi peu subtile. C’est ce que nous indique cette scène qui défend implicitement libertinage érudit et matérialisme, à travers des

jugement mélioratif ou péjoratif : beau, laid, grand, chauffard, un sot, mon lapin, mon petit chou..., EX : « Oh ! ma pauvre chérie, ma pauvre chérie… si j’avais su ! » Bel-Ami, P135 - Les diminutifs affectifs : ma mignonnette, mon garçonnet, ma fillette…, « Écoute, Clo, ma petite Clo, laisse-moi t’expliquer ! » Bel-Ami P141 ( Clo au lieu de Clotilde de Marelle) -Les adverbes de manière : heureusement, grandement, joliment, malheureusement… - Les interjections

histrion, il le voyait dj sur une scne. Il nota dans ses carnets quil projetait dcrire Caligula pour la troupe du Thtre de lquipe. La premire esquisse de la pice datait de 1937, alors quil avait vingt-quatre ans elle tait lyrique, nietzschenne et ambigu. En 1939, il avait termin une premire version qui suivait de prs le texte de Sutone, mais portait aussi la marque de ses proccupations, tait presque romantique, trs mlancolique, car il sidentifiait compltement Caligula et envisageait de tenir lui-mme

quotidienne pouvaient avoir de merveilleux. Puis, en lisant les romans de Thomas Hardy, il sera touché par ces personnages au destin malheureux auxquels il s’identifiera. Attiré par le mystère des âmes, il va être bouleversé par les héros de Dostoievski « sans cesse occupés à se débattre tantôt contre le mal, tantôt contre le bien ». Enfin, la sensibilité terrienne de Péguy et le parler vrai des personnages de Marguerite Audoux l’amèneront à donner à son futur ouvrage un caractère plus concret. Et pour parachever