Bellovaques

légions s'installent sur les régions périphériques : encerclement de la Gaule. 57 av. JC : soumission des peuples Belges. Les Rèmes (Reims) se ralient à Rome ; autres peuples battus sur les rives de l'Aisne. Réddition des Suessions (Soissons), Bellovaques (Beauvais), Ambiens (Amiens). Plus au nord, César se heurte aux autres peuples, est en difficultés, mais réussit à s'imposer. Crassus, envoyé en Armorique, ne rencontre pas de résistance. 56 av. JC : Les Vénètes Vannes se révoltent et surprennent

toutes les régions. Aussi est-ce à partir de là qu'Agrippa fit ouvrir les routes : l'une à travers les monts des Cévennes jusque chez les Santons et en Aquitaine ; celle qui se dirige vers le Rhin ; la troisième en direction de l'Océan chez les Bellovaques et les Ambiens ; la quatrième va en direction de la Narbonnaise et du rivage de Marseille ». Cardo/decumanu s Conseil fédéral des Gaules Autel de Rome et Auguste Evergétisme Strabon parle « d’une citadelle, en raison de la rencontre des fleuves

toutes les régions. Aussi est-ce à partir de là qu'Agrippa fit ouvrir les routes : l'une à travers les monts des Cévennes jusque chez les Santons et en Aquitaine ; celle qui se dirige vers le Rhin ; la troisième en direction de l'Océan chez les Bellovaques et les Ambiens ; la quatrième va en direction de la Narbonnaise et du rivage de Marseille ». Strabon est un historien et géographe grec (65 avant J-C – 25 ap. J-C). 1. Fourvière. 2. Confluent de la Rhône et de la Saône, Condate en gaulois

ouvertes à travers la GauleAudin 1. Strabon indique également qu' « Agrippa traça les routes à partir de Lugdunum (Lyon), la première (…) vers le pays des Santons et d'Aquitaine, la deuxième vers le Rhin, la troisième vers l'océan par le pays des Bellovaques et des Ambiens, la quatrième vers (…) Narbonne et Marseille23 ». La voie d'Aquitaine, qui fait partie des voies d'Agrippa, se confond avec le chemin des Ségusiaves (rue Roger Radisson) et se relie à l'extrémité du decumanus (angle des actuelles

les indications fournies par la toponymie, sur la disposition cadastrale des chemins (2) ; nous avons pu de la sorte déterminer six voies antiques qui convergent vers Le Vieil-Évreux : voies du Vieil-Évreux à Rouen, à Amiens, à la capitale des Bellovaques (3), à Mérey, à Dreux et Chartres. Aucune de ces voies, sauf un tronçon de celle de Mérey, qui visiblement a été réaménagée par les Romains, ne présente les caractéristiques de structure des voies romaines. Leur tracé, leur étroitesse, leur mode

Alésia et de laisser César l'enfermer dans une double ligne de fortifications. Malgré l'arrivée d'une armée de secours, trop nombreuse et mal employée, la garnison doit capituler. En 51, César poursuit la répression contre les Carnutes, les Bellovaques, les Armoricains. En 50, les derniers irréductibles sont pris et massacrés dans Uxellodunum. Mais César sait aussi employer la clémence et confisquer à son profit l'esprit féodal des Gaulois, dont un grand nombre étaient prêts à le servir : il donne

développement urbain de certaines autres agglomérations. Certaines se développent sur des surfaces considérables, supérieures à celles des chefs-lieux dont elles dépendent comme Vendeuil-Caply dons la cité de Bellovaques, qui occupe environ 130 ha à la fin du Ier siècle. La cité des Bellovaques comporte trois autres villes: Beauvais, le chef-lieu, St Martin-longueau et Beaumont-sur-oise. Cette dernière est rapidement dotée d'un réseau viaire orthogonal et un port sur l'Oise y est aménagé, à proximité

l’Espagne grâce à la in et à la victoire des romains à la guerre punique. A cette époque, de l’autre coté des alpes (gaule transalpine), des peuples venus du nord s’installent : ce sont les germains. On distingue plusieurs peuples : les Rémes, les Bellovaque (qui ont donné à la cité de Beauvais), les parisiens. Au sud, il y a aussi des changements. La gaule va perdre progressivement sa façade méditerranéenne car les romains grignotent des territoires entre l’Espagne et l’Italie. C’est une situation

étaient divisés en tribus indépendantes. Elles s’affrontaient régulièrement mais parfois elles pouvaient avoir un ennemi commun. César distingue trois groupes qui diffèrent par leur langue, les usages, les lois: - Les Belges qui pour César sont les Bellovaques, les Suessiones et les Rêmes et qu’il estime être les plus braves. César oppose les notions de bravoure et de civilisation. - Les Aquitains qui comprennent les Convènes et les Tarbelles. - Ceux que César appelle Celtes ou Gaulois sont les Avernes

d'Italie). La Gaule celtique, c'est déjà le territoire des Éduens, alliés de Rome depuis le IIe s. av. J.-C., et celui des peuples voisins réunis autour d'eux dans une confédération (Ségusiaves, Ambarres, Mandubiens, Bituriges, Sénons, Parisii, Bellovaques), couvrant la Saône, les sources de la Seine et de l'Yonne, la vallée supérieure de la Loire, le confluent Yonne-Seine et le cours moyen de la Seine. Sont ensuite mentionnées des agglomérations voisines liées aux opérations militaires, comme