Berenice Catharsis

fragilité de leur autorité et de leur pouvoir. - la capacité à émouvoir, à toucher la sensibilité  (« movere », qui signifie mouvoir, bouger, ébranler) Il renvoie à la catharsis grecque : elle consiste à débarrasser le spectateur de ses troubles personnels en rappelant à sa conscience une idée ou un souvenir refoulé. La catharsis passe par l’émotion, l’ébranlement de la maîtrise de soi, l’identification au destin tragique des personnages.  - l’art de plaire et de séduire (« placere », qui signifie

théâtre. La lecture, par exemple, est un divertissement, au même titre que le spectacle de cirque, le cinéma. Catharsis La catharsis est l'épuration des passions par le moyen de la représentation dramatique : en assistant à un spectacle théâtral, l'être humain se libère de ses pulsions, angoisses ou fantasmes en les vivant à travers le héros ou les situations représentées sous ses yeux. La catharsis désigne donc, d'abord, la transformation de l'émotion en pensée. Pour Aristote, le terme est surtout médical

classique est d'abord un genre noble, avec une langue poétique et soutenue ;  - elle doit respecter un principe strict : l'écriture en vers. 5. Visée : La fonction finale de la tragédie est expliquée par Aristote : elle doit provoquer la "catharsis", c'est-à-dire la purgation des passions de l'homme, devant le spectacle qui inspire terreur et pitié. Il s'agit donc d'une fonction libératrice et purificatrice.  Astuces et mises en garde Astuce(s) : Racine et Corneille sont les figures incontournables

poétique (chapitre 1 à 5) 3.1 L’art poétique comme imitation 3.2 Source du plaisir esthétique 4 La tragédie (chapitre 6 à 18) 4.1 Définitions 4.1.1 Parties de la tragédie 4.1.1.1 L’histoire 4.1.1.2 Le caractère 4.1.1.3 La pensée 4.2 La catharsis 5 L'expression (chapitre 19 à 22) 5.1 Plus petite unité de son 5.2 Plus petite unité de sens 5.3 L'articulation du langage 5.4 Caractère conventionnel du langage 6 L'épopée (chapitre 23 à 24) 7 Questions et problèmes (chapitre 25 à 26) 8

profiter : " il perd le sentiment... Sauvons-le... reprenait sa rage avec ses sens ". Une fuite donc, mais surtout un personnage dégradé, dont il faut maintenant s’occuper comme d’un enfant.  Conclusion :     La fonction cathartique de la tragédie (la catharsis correspond au fait de provoquer l’horreur et la pitié chez le spectateur afin de le purifier de ses mauvais penchants) est parfaitement remplie par cet épilogue qui contient le récit d’un meurtre, la description du corps sanglant, le récit précis

libère l'inconscient comprimé, pousse à une sorte de révolte virtuelle ». Il prône « une action poussée à bout ». On est plus ici dans la « mimesis » d'Aristote ( le théâtre imite une action réelle pour purger les passions du spectateur par la « catharsis » et le rendre meilleur et plus sociable ), mais dans un choc physique qui déstabilise. Du coup, c'est aussi une façon d'interroger l'utilité et la validité du langage au théâtre.

son destin qui le dépasse et s’accomplit inéluctablement sans qu’aucune action humaine ne puisse l’arrêter (c’est ce qu’on appelle la fatalité). Selon Aristote, le spectateur de tragédie éprouve de la pitié et de la terreur. Le spectacle est une catharsis c’est-à-dire une purgation par la fiction: voir les atrocités qui arrivent au héros le libère des ses mauvaises passions (il ne se comportera pas comme lui). SES REGLES ET SA COMPOSITION -Les personnages: de rang très noble (princes ou rois) -Le

parfois cathartique, où l'individu qui rit se croit séparé de son présent et se permet de rire de sa réalité. Pour certains, ce rire peut avoir des propriétés thérapeutiques, comme cité par Léonie Bathiat. En somme, soyez le rire de pause ou de catharsis le plus important est jamais oublier que nous ne devrions pas être trop attachés aux choses et aux événements qui nous entourent, car ils sont transitoires, certains plus que d'autres, mais la vérité est que rien est éternel. Partant nous pouvons

Idée principale 1 : D’une part, dans l’œuvre de Paul Claudel « L’annonce faite à Marie », l’auteur vise à atteindre les spectateurs afin de renforcer leur foi en s’identifiant aux personnages par le biais de la catharsis. Idée secondaire 1a : La catharsis se manifeste à travers le sentiment de jalousie éprouvé par Mara. 1re preuve : « Mara : Vous l’avez toujours préférée! Oh, quand vous parlez de votre Violaine, c’est du sucre. C’est comme une cerise qu’on suce, au moment que l’on va cracher

comiques d'une pièce de théâtre (texte et représentation) ne servent-ils qu'à faire rire ? » Par son origine religieuse, le théâtre, dès ses lointains débuts, sut jouer du sérieux et de la dérision. Si la tragédie relevait très clairement de la catharsis, la comédie n'était pas en reste pour « corriger les mœurs en riant. » Aussi est-il logique de nous interroger sur cette fonction et de nous demander « si les aspects comiques d'une pièce de théâtre (texte et représentation) ne servent qu'à faire