Berenice Moliere

à Paris en 1663, où, très tôt, il se lia avec Boileau et La Fontaine.  Il fit représenter la Thébaïde (1664) par la troupe de Molière puis confia Alexandre (1665) aux comédiens de l'Hôtel de Bourgogne. Les dix années suivantes furent fécondes en chefs-d'œuvre : Andromaque (1667), qui fut un triomphe, Les Plaideurs (1668), son unique comédie, puis Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et enfin Phèdre (1677), qu'une cabale fit échouer sans affecter

4.4 Début du règne de Louis XIV et période de la Fronde (1643-1651) 1.5 Les années 1650 1.5.1 Abandon de l'écriture dramatique (1652-1658) 1.5.2 Le rendez-vous manqué de Corneille et de Molière (1658-1659) ? 1.6 Les années 1659-1674 1.6.1 Une nouvelle manière d'écrire des tragédies? 1.6.2 Paris, Molière et Racine 1.7 Les dernières années (1674-1684) 2 Iconographie 2.1 Dessins, tableaux 2.2 Sculptures, médailles 3 Œuvres 4 Notes et références 5 Bibliographie 6 Voir aussi 6.1 Articles

XVIIe siècle dit le Grand Siècle Baroque et Classicisme Roman et contes Poésie Moralistes Philosophie Molière : dom Juan, le Misanthrope, tartuffe, les femmes savantes (comédie) Racine : Phèdre, Bérénice, Britannicus, Andromaque (tragédie) Corneille : le Cid, Cinna, Horace… (tragédie, tragicomédie) Madame de Lafayette : La princesse de Clèves Honoré d’Urfé : l’Astrée Charles Perrault : Contes Fénelon : les aventures de Télémaque Boileau : art poétique. Malherbe Saint Amant la

tragédies s'efforcent alors de respecter ces règles. Deux dramaturges obtiennent la reconnaissance du roi et de la cour : il s'agit de Pierre Corneille et de Jean Racine. La comédie classique En appliquant les règles du classicisme à la comédie, Molière attire dans les théâtres un public nouveau, sensible au divertissement qu'il propose. La construction de la comédie. La comédie classique met en scène des personnages ordinaires, issus du peuple et de la bourgeoisie, qui vivent une intrigue dont

l’Histoire antique en général mais aussi de la Bible : On dit d’ailleurs que l’Art n’exclut pas la Raison. L’action du héros doit être conforme à son caractère et ce, tout au long de la pièce. Les personnages sont souvent très typés chez Molière, La Fontaine, La Bruyère, etc… 3. LA BIENSÉANCE : *But : ne pas choquer le spectateur qui sont* souvent des hommes et des femmes de la cour du *roi. On* ne peut montrer sur scène des actes disgracieux, violents ;* cela impose de ne pas choquer

les didascalies qui sont des indications soit pour l'espace scénique soit pour le jeu de l'acteur. Cette présence traduit la volonté des auteurs que leurs œuvres soient mises en scène. Pour le cas des pièces qui ont peu de didascalies comme chez Molière ou Racine, on apprend que ce n'est pas du à une volonté d'écrire une pièce à lire mais parce qu'ils sont eux-mêmes des metteurs en scène pour leurs pièces. Le spectateur est d'ailleurs considéré comme un des acteurs indispensables au théâtre, sans

dell’arte sur Molière est si bien remarquable sur ses œuvres que l’on peut sans conteste affirmer que ce dramaturge français a contribué à l’histoire de ce genre. Se partageant d’abord la salle du Palais Royal en 1658, Molière et les Italiens vont longtemps se fréquenter. Molière qui dirige une compagnie théâtrale , vouera une admiration extraordinaire pour Tiberio Fiorilli, interprétant le personnage de Scaramouche (personnage-type de la commedia dell'arte). Les pièces de Molière s'inspirent notamment

précise tous les éléments nécessaires à la dynamique de celle-ci. Exemple 3 : La scène d’exposition est indispensable à la compréhension de la pièce, présentant le cadre spatio-temporel, les personnages, l’intrigue. Les tragédies de Jean Racine (Bérénice, Andromaque, Phèdre, …) ou toute autre pièce de théâtre 2 Une parole entièrement codée, de nombreuses règles scéniques Argument 1 : Le théâtre est un artifice régi par de nombreux codes, par un cadre rigide Exemple 1 : La tragédie, les préceptes

d'Aragon (1650) * Nicomède (1651) * Pertharite (1652) * Œdipe (1659) * La Toison d'or (1661) * Sertorius (1662) * Sophonisbe (1663) * Agésilas (1666) * Attila (1667) * Tite et Bérénice (1670) * Psyché (1671), tragi-comédie-ballet, en collaboration avec Molière et Quinault * Pulchérie (1672) * Suréna (1674) III. Principaux événements historiques * Evénements : * Montée en puissance de l'absolutisme royal sous Louis XIII et apogée

Molière /Jean-Baptiste Poquelin Né à Paris le 15/01/1622 ; Mort à Paris le 17/02/1673 Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Auteur le plus joué encore à l’heure d’aujourd’hui, Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Fils d’un tapissier, il renonce à reprendre l’affaire familiale qui le destinait à une