Bérézina

la Russie, le 25 juin 1812. Désastreuse campagne de Russie, motivée par l'infraction du Traité de Tilsitt. Bataille de Moscowa, les 5-7 septembre 1812. Prise de Moscou, le 14 septembre 1812. Retraite de Russie dès le 19 octobre 1812. Passage de la Bérézina, les 26-28 novembre 1812. Conspiration de Mallet à Paris, le 23 octobre 1812. - En 1813 : Sixième coalition contre la France, le 16 mars 1813. Campagne d'Allemagne : victoires de Lutzen et de Bautzen (en mai 1813). L'Autriche déclare la guerre

libre à Microsoft pour devenir le système d’exploitation standard de la micro-informatique. L’enseigne paiera de cette faute stratégique insurmontable commise par la direction et Apple entre alors dans une période d’errements et de chute, c’est la Berezina… A la tête de la firme se succèdent les plus grands dirigeants américains de l’époque, notamment John Sulley (ancien patron de PepsiCo). Aucun d’entre eux n’a su redresser durablement la société et lui donner une perspective d’avenir et c’est

par : Dos de Mayo ou Tres de Mayo ; Goya). Ce qui rend la domination difficile, c’est la campagne de Russie (1811) : c'est là où Napoléon s'égare. Les russes ont une grande résistance. Napoléon est prit par l'hiver et obligé de rentrer, c'est la Bérézina. L'armée est très affaiblit. * Il continue la conquête de la révolution : il libère les peuples des monarchies, importe le Code Civil (répandu en Italie et en Allemagne) et détruit les privilèges. * Les troupes françaises sont très bien

fuyaient en détruisant systématique champs, troupeaux, réserves, agglomérations, Affamées, malades, souffrant du froid les Français perdent batailles sur batailles et la retraite est sonnée cependant pour la réusisir il faut traverser la rivière Bérézina en crue, chariant des blocs de glace et où tous les ponts ont été détruits par l’adversaire. Pris entre la rivière et les troupes ennemies les Français traversent comme ils peuvent la rivière. C’est une hécatombe et cet épisode finit d’anéantir

Franchissement du Niémen. 5 et 7 septembre : Bataille de la Moskowa. 14-18 septembre : Prise et incendie de Moscou. 19 octobre : Début de la retraite de Russie. 23 octobre : Coup d'État avorté du général Malet. 26-28 novembre : Passage de la Bérézina. 1813 11 janvier : Sénatus-consulte de mobilisation de 350.000 hommes. 25 janvier : Concordat de Fontainebleau. 17 mars : Déclaration de guerre de la Prusse à Napoléon. 2 mai : Victoire de Lützen. 20 mai : Victoire de Bautzen. 20-23

ravitaillement de ses troupes. Avec l’hiver qui commence, il lui est impossible de poursuivre l’armée du tsar. La retraite de Russie est une longue marche de retour, désastreuse, où une grande partie des troupes se perd dans les eaux glacées de la Berezina. Retraite de Russie Après avoir vainement attendu une proposition de négociations de la part du tsar Alexandre Ier, Napoléon Ier décide le retrait de ses troupes avant l'arrivée de l'hiver. Cependant surprise par le froid, la Grande Armée ne réussit

regrouper ses forces à l'ouest. Mais l'hiver russe avait fait son apparition et les réserves de nourriture ainsi que l'équipement des soldats ne permettaient pas d'y faire face. Le 27 novembre 1812, la Grande Armée put, par un dernier effort, franchir la Bérézina. Après cette date, la débandade fut totale. Un troupe disloquée, en haillons, harcelée par les cosaques : voilà tout ce qui restait de l'armée des Vingt Nations. Le 6 décembre, l'Empereur décida d'abandonner ses soldats pour rentrer à Paris, mettre

vers l’Allemagne à travers les régions dévastées qu’elle a parcourues à l’aller. Le froid, la neige et les cosaques provoquent d'effroyables pertes. Des 600 000 hommes qui entrèrent en campagne, seuls quelques dizaines de milliers franchissent la Bérézina. La Grande Armée est détruite. .Encouragés par ce dramatique échec, les rois reprennent les armes contre la France. Malgré deux victoires remportées en Allemagne ,une partie de ses alliés allemands trahit Napoléon sur le champ de bataille même de

Tzar refuse toujours de négocier et recule toujours alors que la ville est détruite par des incendies. La retraite de Russie commence le 18 octobre, alors que les troupes de napoléon sont minées par la faim et le froid et harcelée par les Russes (Bérézina, 26-29 novembre). De plus, alerté d’une tentative de coup d’Etat à paris, Napoléon doit rentrer d’urgence et abandonne son armée qui perdit en tout près de 300 000 hommes. En 1813, une nouvelle coalition est levée contre Napoléon. Après quelques

hermétique d’une maison où le pillage a laissé quelques sacs d’argent. Heureux le négociant qui se glisse par la fenêtre, par le toit, par les caves, par un trou, qui prend un sac et grossit sa part ! Dans cette déroute, où se crie le sauve-qui-peut de la Bérézina, tout est illégal et légal, faux et vrai, honnête et déshonnête[1]. » Quand on lit cette formule écrite au XIXème siècle, on ne peut qu’être heureux que le traditionnel droit de la faillite ait laissé place, dans la seconde moitié