Bergson Anticipation Avenir

postérieur. Bergson : c’est une donnée première, immédiate de la conscience, dont on ne peut faire abstraction. (on peut faire abstraction de tous les événements qui remplissent la durée, mais l’imagination ne peut supprimer le temps lui même. « l’existence humaine » : se caractérise par sa temporalité : - pas seulement conscience dans le temps (animal, chose) - mais plutôt le temps est dans la conscience. Toute conscience est immédiatement temporelle : mémoire du passé/anticipation de l’avenir

Henri Bergson 1859-1941 [001] La conscience et la vie. « Quand la conférence qu’on doit faire est dédiée à la mémoire d’un savant, on peut se sentir gêné par l’obligation de traiter un sujet qui l’eût plus ou moins intéressé. Je n’éprouve aucun embarras de ce genre devant le nom de Huxley. La difficulté serait plutôt de trouver un problème qui eût laissé indifférent ce grand esprit, un des plus vastes que l’Angleterre ait produits au cours du siècle dernier. Il m’a paru toutefois que la triple

résultat d’une perception subjective du temps.-Cette perception subjective du temps celle qu’analyse Bergson en critiquant le temps abstrait des physiciens, temps conçu, connu pensé, qui ne rend pas véritablement compte du temps tel que nous le percevons, comme nous le vivons, nous en faisons l’expérience.-Le temps vécu ne possède pas le caractère homogène, régulier et morcelé du temps conçu.-Pour Bergson, la mesure physique du temps revient à spatialiser letemps et donc à l’objectiver. · On le voit

Descartes propose la théorie des animaux machine en supposant que le coprs est une grosse machine desincarnée. L'âme en serait le conducteur. III / La conscience est mémoire et anticipation « Conscience signifie d'abord mémoire [...] mais toute Cs est anticipation de l'avenir » L'energie spirituelle, Bergson 1919 Une Cs qui ne conserverait rien de son passé, qui « s'oublierait » sans cesse et renaitrait à chaque instant ne serais pas une Cs. Par consequent, la Cs est forcement une accumulation

magiquement, tous les rapports humains ? » nous dit H. LABORIT... « C’est dommage, poursuit-il, car /‘angoisse qui en résulte est sans doute /a motivation /a plus puissante à /a “Créativité” 2. Nous aimons nous rappeler le sens que donne la philosophe H. BERGSON, par rapport au terme « ouvert » « . ..tout ensemble échappant à l’étouffement d’un cercle de règles rigides et s’ouvrant à /‘élan de la vie et de /a création. » Les analyses de ce fabuleux philosophe, à propos de la créativité, le conduisent à voir

comprendre le texte ..........................41 Texte 7 : E. HUSSERL (1859-1938) ............................... 42 Pour mieux comprendre le texte ......................... 43 Texte 8 : H. BERGSON (1859-1941) .............................. 44 Pour mieux comprendre le texte ......................... 46 Texte 9 : H. BERGSON (1859-1941) .............................. 46 Pour mieux comprendre le texte ......................... 48 Texte 10 : M. PROUST (1871-1922) ............................... 49 Pour mieux

perceptions saccadées par un lien de continuité b) Des actes temporels (Henri Bergson) - conscience réalise un acte temporel = relie à elle diversité des vécus la rend intelligible en une trame, une identité, donne un sens, mémoire - anticipation de l’avenir, mode d’être de visée, intentionnelle, tendue vers ce qui va être, mode de l’échappement - présent de la conscience = durée avec passé immédiat et avenir imminent, présent étale ≠ présent mathématique = laps, factionne le tps, objet abstrait

Henri Bergson : la notion de duréeEssai sur les données immédiates de la conscienceINTRODUCTIONEn publiant en 1889 l'Essai sur les données immédiates de la conscience, Bergson jette les bases d'une philosophie profondément originale et novatrice, en total décalage avec les courants de pensée de son époque. Contre l'intellectualisme qui pose le primat des opérations de l'intelligence, il affirme l'immédiateté de l'intuition ; contre l'associationnisme qui explique la vie psychique par la seule juxtaposition

métaphoriquement la conscience. William James la décrivait comme « un petit ruisseau qui creuse un lit à travers une large prairie émaillée de fleurs » Ou Bergson comme « un pont jeté entre l’avenir et le passé » mais hormis ces images poétiques il semble impossible de donner une définition ou de déterminer l’essence de la conscience. Bien sûr comme le souligne Bergson la conscience est une « chose concrète » et « constamment présente à l’expérience de chacun de nous » mais dont il n’est pourtant pas possible

l'autre de ces facultés, enfermé dans son isolement. Avec la conscience, sa liberté a disparu au point qu'il appartiendra à ses proches ou au corps médical de décider de son sort. Il ne peut plus ni agir, ni vouloir, ni penser. La conscience est anticipation, déplacement vers l'objet et transcendance. C'est grâce à elle que j'exerce ma liberté d'agir et de connaître. En effet, en introduisant une distance, un recul entre les choses et lui, l'homme est conscience de soi et présence au monde. Lorsque