Bergson Commentaire

• science démontre (philo questionne) : activité probatoire de la raison ( pas de connaissance possible du noumène – croyance/savoir, pensée/connaissance chez Kant ) • science s’applique dans les techniques ( > Henri Bergson, « temps »/« durée » ) – (philo dans la politique) 2) Sens et réalité de l’expression « servir à » • Utilité technique : besoin – moyen – fin (> Platon, « science des moyens »/« science des fins »)

inspirent le respect, mieux vaut se méfier ! La dérision prend alors le tour de comportements codifiés : le fou du roi nargue le souverain ; un dévot peut à l'occasion insulter un saint patron. Si l’on part de quelques définitions du rire (Baudelaire, Bergson, entre autres), et si l’on admet que le rire est la résultante, ou l’indice, d’une tension entre des contraires, des inconciliables, des différences, et si l’on part du principe qu’un problème est une situation dans laquelle on se trouve face à une difficulté

| | | |Henri Bergson (1919) | | | |

Henri Bergson, né le 18 octobre 1859 à Paris où il est mort le 4 janvier 19411, est un philosophe français. Il a publié quatre principaux ouvrages : d’abord en 1889, l’Essai sur les données immédiates de la conscience, ensuite Matière et mémoire en 1896, puis L'Évolution créatrice en 1907, et enfin Les Deux Sources de la morale et de la religion en 1932. Il a obtenu le prix Nobel de littérature en 1927. Son œuvre est étudiée dans différentes disciplines : cinéma, littérature, philosophie, neuro-psychologie

Aristote (Ethique à Nicomaque): Manuel d'enseignement. Rousseau et l'éducation: Jean-Jacques Rousseau (Emile ou de l'Education): Manuel d'enseignement. Renversement par rapport à Aristote. Renvoie à l'individu. Conscience doit être éduquée. Henri Bergson (La Politesse): La politesse de l'esprit n'est guère autre chose qu'une espèce de souplesse intellectuelle. L'homme du monde accompli sait parler à chacun de ce qui l'intéresse ; il entre dans les vues d'autrui sans les adopter toujours ; il comprend

reprendre à ce sujet les trois phases historiques dont parle Lipovetski Dans L’Ere du vide. 3) Tous les sujets ne font pas rire tout le monde Le rire, s’il est une faculté de l’homme, ne s’applique pas à tous les sujets : le rire est culturel (cf. Bergson, Le Rire). Il faut de la connivence entre les rieurs, il faut partager le même vécu pour comprendre à demi-mot de quoi il retourne. II) Peut-on rire avec tout le monde ? A priori , oui. 1) Car le rire rassemble *Il permet de faire comprendre

Spirituelle, Bergson commence par expliquer la difficulté qu'il y a à définir la conscience : « qui dit esprit dit, avant tout, conscience. Mais qu'est-ce que la conscience ? Vous pensez bien que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi constamment présente à l'expérience de chacun de nous. » La conscience ne peut être définie, mais elle peut être caractérisée. Elle est caractérisée par Bergson par le rapport au temps et l'anticipation. Le temps est une caractéristique donnée par Bergson pour

------------------------------------------------- Entendement = faculté de penser. ------------------------------------------------- Réflexivité = faculté de penser sur soi. ------------------------------------------------- « La conscience est mémoire et anticipation. » Bergson D’abord conscience = mémoire (qui peut manquer d’ampleur). Conscience qui ne conserverait rien de son passé, qui s’oublierait sans cesse elle-même, périrait et renaitrait à chaque instant mais alors, comme définir l’inconscience ? Si la conscience

Bergson, L'évolution créatrice Le langage humain « Si [...] les fourmis, par exemple, ont un langage, les signes qui composent ce langage doivent être en nombre bien déterminé, et chacun d’eux rester invariablement attaché, une fois l’espèce constituée, à un certain objet ou à une certaine opération. Le signe est adhérent à la chose signifiée. Au contraire, dans une société humaine, la fabrication et l’action sont de forme variable, et, de plus, chaque individu doit apprendre son rôle, n’y étant

| ➢ Bergson : Pour Bergson, être conscient, c’est être capable de se souvenir de son passé et d’anticiper l’avenir. Etre conscient, c’est pouvoir se connecter à un flux étranger, c’est donc faire l’expérience du présent (durée qui s’étend entre un passé ± immédiat et un futur ± imminent). L’intensité de la conscience dépend de la longueur du flux à laquelle on se connecte. De plus, pour Bergson, tous les êtres vivants sont conscients, mais à des