Bergson Conscience Signifie Choix

Réel = être ; ce qui est donné, ce qui s’impose à nous / Idéal = devoir-être ; ce qui est construit Objet = Ce que le sujet saisit (objectivisme = ce qui est posé devant). La notion d’objet renvoie à une forme d’extériorité mais par rapport à une conscience qui pose cette extériorité. C’est pour ça que quand on parle de quelque chose d’objectif on désigne quelque chose qui peut être saisi à l’intérieur du sujet / Chose = Mais la notion de chose est indépendante par rapport au sujet. Elle est une chose

DURKHEIM : Il est fondamental pour la sociologie en France. Il est issu d’une famille de rabbins, il était destiné à devenir rabbin lui aussi. Il entre à l’ENS à 21 ans en philosophie. Au cours de ses études il rencontre des personnes comme Jaurès, Bergson ou encore Pierre Janet. Il va lire les auteurs comme Spencer, Comte et suit les cours de Fustel de Coulanges en histoire qui travaille sur les institutions des sociétés antiques et notamment la cité grecque. Il faut reconstruire le pays et reforger

merveilleuse, l'existence pauvre, sèche, désenchantée. On habite avec un coeur plein un monde vide." L'humeur est sombre et cultive volontiers la mélancolie. POTELET | Ainsi le XIXe siècle est marqué par des contradictions qui s'affrontent parfois dans la conscience d'un même individu. On y a le sentiment de vivre une époque de bouleversements sociaux, riche d'espoir en un progrès collectif (technique, économique, politique...). Mais les déceptions et l'ennui devant la platitude de la réalité quotidienne poussent

un épanchement intérieur, il est « le génie qui s’adresse immédiatement à notre cœur ». Mais, le romantisme est aussi l’opposition à l’héritage antique. La poésie romantique se veut créatrice et revient à l’étymologie du terme poiêsis en grec qui signifie « création ». En effet, elle consiste dans l’acte de toujours pérenniser « le faire », de toujours pérenniser la création. C’est en ce sens qu’elle s’oppose au classicisme, qui n’est que l’écoute des poètes anciens, qui demeure figé dans son époque

un type de rationalité qui, partant d’une thèse (une affirmation), examinant ensuite une antithèse (la contradiction ou négation de la thèse), « dépasse » cette contradiction en produisant un troisième moment qui ne se contente pas de proposer un choix arbitraire entre la thèse et l’antithèse(« certains pensent que… d’autres que… ; donc, ça dépend… »), mais apporte une solution consistante, sans surtout retomber dans le point de vue soutenu dans la thèse ou dans l’antithèse. Ce troisième moment,

MÉTHODE DE LA DISSERTATION EN PHILOSOPHIE Terminales L/ES/S P. Serange / J.-J. Marimbert – 2009 Les dissertations représentent deux des trois sujets proposés au choix le jour du baccalauréat, soit la majorité.  Ces  sujets  se  présentent  sous  différentes  formes,  que  nous  allons  essayer  d’examiner ici. Mais, malgré les conseils et autres entraînements, la plupart du temps, le candidat hésite à prendre ce qui reste un exercice nouveau pour lui. En effet, quand bien même les dissertations

| |entreprises dans un but de détente et de récupération pour améliorer l'efficacité professionnelle.  | |    Tout en étant souvent assimilée à l'hypnose, certains chercheurs distinguent l'état sous hypnose et l'état | |modifié de conscience obtenu au cours des séances de training autogène. La frontière, il est vrai, entre ces 2 | |états est difficilement définissable. Probablement des recherches complémentaires arriveront-elles à résoudre | |cet antagonisme.

MÉTHODE DE LA DISSERTATION EN PHILOSOPHIE Terminales L/ES/S P. Serange / J.-J. Marimbert – 2009 Les dissertations représentent deux des trois sujets proposés au choix le jour du baccalauréat, soit la majorité. Ces sujets se présentent sous différentes formes, que nous allons essayer d’examiner ici. Mais, malgré les conseils et autres entraînements, la plupart du temps, le candidat hésite à prendre ce qui reste un exercice nouveau pour lui. En effet, quand bien même les dissertations existent pour

L’Énergie spirituelle1 L’Énergie spirituelle Henri Bergson Félix Alcan, Paris, 1919 Exporté de Wikisource le 24 octobre 20222 II L’ÂME ET LE CORPS Conférence faite à Foi et Vie, le 28 avril 1912[1] Le titre de cette conférence est « L’âme et le corps », c’est-à-dire la matière et l’esprit, c’est-à-dire tout ce qui existe et même, s’il faut en croire une philosophie dont nous parlerons tout à l’heure, quelque chose aussi qui n’existerait pas. Mais rassurez-vous. Notre intention n’est pas d’approfondir

| |semblables : en effet, l’homme en tant qu’ «animal pensant», issu d’une lignée génétique fruit du seul hasard (1) s’est arrogé le | |droit de dominer la nature dans une vision consumériste irresponsable. Mais l’émergence d’une nouvelle conscience écologique | |n’est-elle pas un signe qui nous rappelle que le destin de l’homme est indissolublement lié à celui de l’écosystème global et | |l’interdépendance de tout le vivant ?