Bergson Entre Nous Et Notre Propre Conscience

pourraient modifier cette matière extérieure. 1- question de la conciliation entre une spatialité et une temporalité de l’im°. On s’interroge sur des moments privilégiés où l’esprit se met à imaginer ou pourquoi il imagine de telle ou telle manière. Avoir une certaine matérialité ou être en rapport avec une certaine matière c’est posséder une certaine extension : être en rapport avec l’espace. 2- Si un lien entre certaine durée qualitative de l’im° et certaine matérialité qualitative de l’im°

Henri Bergson 1859-1941 [001] La conscience et la vie. « Quand la conférence qu’on doit faire est dédiée à la mémoire d’un savant, on peut se sentir gêné par l’obligation de traiter un sujet qui l’eût plus ou moins intéressé. Je n’éprouve aucun embarras de ce genre devant le nom de Huxley. La difficulté serait plutôt de trouver un problème qui eût laissé indifférent ce grand esprit, un des plus vastes que l’Angleterre ait produits au cours du siècle dernier. Il m’a paru toutefois que la triple

KH Thomas Dissertation de Philosophie La décision Pour Bergson, la décision reflète l’âme de celui qui la prend, elle est ce « qu’on appelle un acte libre puisque le moi en aura été l’auteur » : Bergson présente la décision comme le moment de la liberté, dont « l’âme », l’essence même de l’homme, est le seul moteur. La notion de décision amène donc la question du signe, de l’indice de la liberté humaine. Bergson cherche la liberté dans le moteur de la décision, mais il avance également

communication propre à une communauté humaine, l’ensemble de ses habitudes linguistiques, un ensemble institué et stable de symboles verbaux et écrits. Il y a 6000 langues. Parler : Produire un message doté d’une signification dont le locuteur lui-même a conscience (≠ perroquet). Parole : possédée par le locuteur, doté d’une intention consciente. L’art ne serait pas un langage car le peintre ne sait pas forcement ce qu’il fait. Communiquer : échange d'information entre au moins deux

l’instrument de communication propre à une communauté humaine, l’ensemble de ses habitudes linguistiques, un ensemble institué et stable de symboles verbaux et écrits. Il y a 6000 langues. Parler : Produire un message doté d’une signification dont le locuteur lui-même à conscience (perroquet). Parole : posséder par le locuteur, doté d’une intention consciente. L’art ne serait pas un langage car le peintre ne sait pas forcement ce qu’il fait. Communiquer : échange entre au moins deux personnages

exploite la distance entre le personnage, le groupe et la société en général. C’est cette portée sociale de vigilance/surveillance et, en même temps, d’élasticité du corps et de l’esprit qui font du rire, dans l’analyse de Bergson, un facteur important d’adaptation. L’humour et le rire révèlent toujours une sorte de tension individuelle qui se projette sur le collectif et qui absorbe le malaise des autres, selon un procès de communication et de mimiques complexes. D’après Bergson, cette tension, cette

langage humain nous séparent du réel quand les systèmes de communication animaux renvoient directement au réel (nourriture, besoins, etc.) et impliquent une réponse sous forme d’action. Le langage humain renvoie au langage qui devient un médiateur entre l’homme et le réel et plus encore un milieu dans lequel l’homme baigne (bavardage, plaisanterie, rumeur, roman, etc.). Le langage est ainsi déconnecté du réel, parler permet de ne pas agir, les mots remplacent l’action ou deviennent eux-mêmes actions

devient un être de culture, condition de l'accès à l'humanisation. Le sujet va tenter de passer de l'instinct à la raison. ( Animal à l'homme ) Le sujet est avant tout un être qui possède une conscience. Le sujet se distingue en 3 aspects : – Le sujet pensant : c'est l'homme en tant qu'il possède une conscience et une capacité d'intériorité et de réflexion. – Le sujet connaissant : C'est l'idée que l'homme construit une édifice de connaissances sur le monde et sur lui même. – Le sujet agissant :

FICHE PHILO CHAP 1 : L’Homme se définit-il par la conscience ? Chapitre 1 Introduction- thèmes principaux : conscience, devoir et inconscience¤ Définir homme par ma conscience = idée neuve (XVIIe siècle → siècle du rationalisme)Descartes : premier à affirmer que l’homme a une conscience. Être conscient c’est dire que l’homme est avant tout un individu, il est unique. L’homme est un sujet libre qui peut se détacher du monde, voire s’y opposer. Il ne se réduit pas à ce qu’il est pour le

variés, qui nous permettaient d'accéder à un certain état de repos - semblable à ceux que chacun peut vivre entre le sommeil et le réveil - ou à l'inverse, d'exténuation physique totale. Dans ces moments, le mot d'ordre était: listen to to your cells (écoutez vos cellules), et what does your life want to do the most ? (qu'est-ce que votre vie a le plus envie de faire, maintenant). Nous pouvions entre- autre nous laisser guider par certaines sensations physiques, au dedans ou sur la surface de nos corps