Bergson L Homme Est Le Seul Animal

«naturelle», son libre arbitre et considérer qu'il existe petit nombre de valeurs morales basiques partagées par l'ensemble des êtres humains quels que soient leurs revenus, leur religion, leurs opinions. Et dans la seconde partie, on montrera donc que seules certaines règles morales dites lois « universelles » peuvent être considérées comme étant universelles. Premièrement, concevoir l'existence de principes moraux universels en revient à se poser la question suivante, partageons nous tous la même notion

par les rues pour vous persuader, jeunes et vieux, de ne vous préoccuper  ni de votre corps ni de votre fortune aussi passionnément que de votre âme, pour la rendre aussi bonne que possible." Platon, Apologie de Socrate. "Il ne sied pas à un homme de coeur, devenu tout-puissant, de prendre des moeurs nouvelles ; à ses amis mieux que jamais il doit être fidèle, à l'heure où sa prospérité lui permet mieux que jamais de les servir."  Euripide, Iphigénie à Aulis. "Qu'est-ce qui est à toi? L'usage

dissertation: “La liberté est-elle une illusion ?” Travail préparatoire : A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous

terminales littéraires) La liberté est-elle une illusion ? Travail préparatoire A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous

La liberté est-elle une illusion ? Travail préparatoire A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses

conscience (≠choses). Chose peut être un objet. Mais formule mathématique = objet. - Seul un sujet peut avoir des objets. => être par lequel il y a des objets, et être qui n’est pas en lui-même un objet. - en tant que sujet, nous ne sommes pas des objets, mais on peut se constituer comme objet. Sujet peut se déterminer par détermination psychologique, sociale. Beaucoup d’éléments déterminent, mais aucune ne peut lui seul me déterminer. Capacité de distance avec détermination. - science peut déterminer

“Existe-t-il plaisir plus grand ou plus vif que l’amour physique ? Non, pas plus qu’il n’existe plaisir plus déraisonnable” - “Touché par l’amour, tout homme devient poète” Platon sur l’opinion : - “L’opinion  est quelque  chose d’intermédiaire  entre la  connaissance  et l’ignorance” Platon sur la sagesse : - “Chacun, parce qu’il pense, est seul  responsable  de la sagesse ou de la folie de sa vie, c’est-à-dire  de sa destinée” - “Ce que je sais, c’est que je ne sais rien” - “Connais-toi toi-même”

sous forme de saynètes banales ; le comique de Proust est contenu dans la subtilité, dans la finesse de l’écriture. En maniant sa plume, il désire déshabiller le personnage, le faire apparaître comme nu devant son lecteur pour qu’il soit comme un « homme de tous les jours ». Marcel Proust se joue de ses personnages dans ce qu’ils ont de plus ridicule : derrière leurs parures, leurs façades de sociabilité se cachent les vrais Personnages. Pour réussir à faire rire son lecteur, Proust est avant tout

puisse s’accommoder de la contradiction, parce qu’elle obéit plutôt à un principe de participation en vertu duquel un être peut être à la fois lui-même et autre chose : le primitif se croit non seulement un homme mais aussi et en même temps un animal parce qu’il participe par exemple de l’espèce animale de son totem. Par la suite, dans ses « Carnets posthumes » Levy-Bruhl va atténuer cette opposition entre la pensée logique rationnelle, la nôtre et la pensée primitive des sociétés archaïques et renoncer

island de Martin Scorsese (2010, adapté d'un roman paru en 2003) : l’intrigue de ce film est centrée sur les anciennes méthodes de guérison des maladies mentales (l’action se déroule dans les années cinquante) et sur un paradoxe assez angoissant : seul le malade ignore la réalité de son état. Autrement dit, le malade est roi dans le palais de sa maladie. Le cas d’Anna O. est un des moments fondateurs de la psychanalyse. Il a été traité par Josef Breuer, maître de Sigmund Freud, et relaté dans les