Bergson L Homme Est Le Seul Animal

Henri Bergson (1907) L’évolution créatrice. Une édition électronique réalisée à partir du livre L’évolution créatrice. Originalement publié en 1907. Paris : Les Presses universitaires de France, 1959, 86e édition, 372 pages. Collection Bibliothèque de philosophie contemporaine Chapitre I: l'évolution de la vie. – Mécanisme et finalité. Du transformisme et des manières de l'interpréter. Le mécanisme radical : biologie et physico-chimie. Le finalisme radical : biologie et philosophie Texte p. 37-39

alors Aristote n'est pas d'accord 3. Aristote les 1ers épreuves de l'existence de Dieu se pose la question d'origines des choses; le mouvement caracteristique pour les choses; il suppose un moteur immobile, car il ne peut pas faire bouger et bouger seul; 1er moteur imobile; la cause 1ere, “si Deiu est vivant, il est là” la métaphysique existe, notre connaissance commence par les sens mais il faut aller au-delà des sens -Thomas d'Aquin dans l'antiquité, l'existence de Dieu est évident b) Moyen âge-on

réside dans la constitution de la chose en elle-même, on a coutume de dire qu’il lui manque, non pas la liberté, mais le pouvoir de se mouvoir ; c’est le cas lorsqu’une pierre gît immobile ou qu’un homme est cloué au lit par la maladie. D’après le sens propre (et généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Thomas Hobbes, Léviathan (1651), II

est un être qui a besoin des autres, qu’il doit leur dire ce dont il a besoin et qu’il doit se le dire et être conscient pour cela, mais pas plus : superficialité de la conscience. C’est donc un privilège bien fragile,  peut-être  usurpé ( certains animaux ont cette conscience de soi) et lourd à assumer ( la conscience entraîne la responsabilité devant soi et les autres). I. de la certitude d’être  A. Descartes et le Cogito ergo sum ( “je pense donc je suis”). On y retrouve  donc la différence entre

en bas. Au contraire, le principe fondamental de la « modernité », est de partir du bas pour fonder le haut, de la critique pour justifier éventuellement - l’adhésion et la croyance. Il importe donc, pour « penser par soi-même », non pas de penser seul, mais d’apprendre, par soi-même, à examiner, à juger (« penser, c’est peser »), et à demander les raisons, en pratiquant le « jugement élargi ». « Penser par soi, en accord avec soi » en « pensant-avec ». D’où le prestige de la figure du « philosophe

consacrés à l’humour par les maîtres de la pensée semble lui donner raison. Platon, Aristote, Kant… tous y sont allés de leur petite réflexion. Schopenhauer a creusé un peu plus, Freud également. Nous les retrouverons au fil de ces pages. C’est bien sûr Bergson qui est devenu en 1900 le penseur emblématique du Rire grâce au livre qui porte ce titre. Mais son livre n’est pas très drôle… Et le simple fait que Le Rire soit encore en 1900 un titre disponible suffit à montrer combien le thème avait été jusque

évident entre l’humour et le rire : l’humour a pour fonction de faire rire. Or on peut reconnaître trois caractéristiques au rire : ▪ sa spécificité humaine « le rire est le propre de l’homme » disait Aristote repris plus tard par Rabelais ; les animaux ne pleurent ni ne rient ; l’humour est profondément humain ; ▪ sa relation à la joie et au plaisir procuré par le comique ; ▪ son aspect spontané, automatique, quasiment réflexe, qui le lie à l’intuition -parfois on ne peut s’empêcher

............................................................................................................. 201 > Quand nous percevons, sommes-nous purement passifs ? > ................................... 233 Étude d’un texte de Bergson sur le langage et la perception du monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Le Déclin du mensonge, 1889.) L'art éduque notre sensibilité au monde. • Mais l'art est avant tout une création. Il offre une vision plus profonde de la réalité : « Qu'est-ce que l'artiste ? C'est un homme qui voit mieux que les autres, car il regarde la réalité nue et sans voiles » écrit Bergson ("Conférence de Madrid sur l'âme humaine", 1916). L'art offre aussi une vision plus originale. L'art abstrait va jusqu'à inventer des formes libres, mais c'est le propre de tout art que d'inventer une représentation

signifiant art, métier et qui est définie par Aristote, philosophe macédonien du IIIe siècle av J.C comme une «disposition à produire accompagnée d'une règle vraie» conduit Bergson, philosophe français du début du XXe siècle, à nommer l'homme «homo faber» avant d'être «homo sapiens». L'intelligence n'est-elle pas en effet comme le dit Bergson dans l’Évolution créatrice la «faculté de fabriquer des outils artificiels, en particulier des outils à faire des outils et d'en varier indéfiniment la fabrication»