Bergson Tuile

faut que les choses oubliées aillent quelque-part et non pas nul part, ce qui serait de de la négation pure. L’inconscient est précisément le réceptacle de nombre des événements traumatiques que le sujet voudrait pouvoir oublier. Citer le texte de Bergson

emmèneraient au progrès par le biais de la science –selon le point de vue matérialiste et bourgeois. Cependant il fut nécessaire ajuster plusieurs fois le calendrier, inventer les fuseaux horaires, voire fixer l’heure et l’heure d’été. Néanmoins, Bergson n’y croit pas totalement. Il partage plutôt la conscience de l’homme préhistorique que celle de l’homme scientifique, bien que celui-là appartienne au XXe siècle. Le temps qu’on mesure n’est qu’une illusion, dit-il, alors que le temps vécu est perceptible

par des instruments. BERGSON : (début XXe) oppose le temps abstrait au temps vécu. Il y a un temps profond qui caractérise une conscience profonde. réminiscence, idée de vie antérieur (romantiques) Temps vécu : donnée qui n’est pas quantitative mais qualitative. Le temps est variable, hétérogène. Il s’allonge et se contracte. Bergson assimile la mémoire et la conscience. Il réhabilite la durée. « Matière et mémoire » « L’Evolution créatrice » Bergson donne ses cours au collège

vit, s'endort là où il n'y a plus de mouvement spontané, et s'exalte quand la vie appuie vers l'activité libre." Henri Bergson -  "Tous mes travaux tendent à établir que la conscience est efficace et véritablement créatrice." Henri Bergson -  "Retenir ce qui n'est plus, anticiper sur ce qui n'est pas encore, voilà donc la première fonction de la conscience." Henri Bergson -  "... je me connais seulement tel que je m'apparais à moi même. La conscience de soi même n'est donc pas encore

restons pris dans la volonté de la maîtriser." Martin Heidegger (1889-1976) La vérité : La religion : "La religion est une réaction défensive de la nature contre la représentation, par l’intelligence, de l’inévitabilité de la mort." Henri Bergson (1859-1941) "C’est l’homme qui fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme." Karl Marx (1818-1883) "Toute religion est née de la peur et du besoin." Friedrich Nietzsche (1844-1900) L’expérience : "Le critère de la scientificité

amiral et député républicain-socialiste. Brillant élève, Jean Jaurès fait ses études au lycée Louis-le-Grand. En 1878, il est reçu premier à l'École normale supérieure en philosophie, devant Henri Bergson. En 1881, il termine troisième à l'agrégation de philosophie, derrière Paul Lesbazeilles et Henri Bergson.

maintenant maître de sa propre vérité, il ne peut plus y avoir de fausseté. Le Rationalisme, qui devait nous mener à la suprématie de la raison, nous a conduit à la situation inverse: l'irrationalisme. Voyons cela d'un peu plus près. 1. James, Bergson, Nietzsche... William James fut sans doute le philosophe le plus opposé à la raison. La vérité, selon lui, ne peut pas être découverte par des procédés logiques. Pourquoi ? Parce que la vérité est essentiellement irrationnelle. Il écrit dans son

à prétendre :"oui j'ai choisis celui que je suis" ou a l'inverse " non je n'ai pas fait ce choix". ------------------------------------------------- Première partie Choisir correpons en quelque sorte a unenotion de liberté ; comme l'affirmait Bergson " choisir est un acte qui nous est rendu possible lorsque nous sommes libre de toutes contraintes liées à ce choix". Nous avons le droit d’etre celui quel’on veut etre Mais pour cela l’individu doit gagner sa liberté ce qui lui permettra par la suite

Approches existentialistes PAGEREF _Toc196743896 h 11 A. Conscience et temps PAGEREF _Toc196743897 h 12 1. Le temps nexiste que dans notre conscience (Saint Augustin) PAGEREF _Toc196743898 h 12 2. La conscience est temps de la mmoire la dure (Bergson) PAGEREF _Toc196743899 h 12 3. Rtention et protention PAGEREF _Toc196743900 h 12 B. La projection PAGEREF _Toc196743901 h 12 1. Projection et existence (Heidegger) PAGEREF _Toc196743902 h 13 2. Limagination et le nant (Sartre) PAGEREF _Toc196743903

conscience de soi, de s’élever, socialement et intellectuellement, en dépassant sa condition. En prenant conscience de soi, on prend conscience de l’autre. Le rire participe dont à la formation de l’Homme, et au développement de son humanité. Henri Bergson, dans son ouvrage Le Rire (1900:2) reprend l’idée de ce rire de supériorité qui corrige les défauts afin de rendre plus harmonieuse la vie en société : Plusieurs ont défini l'homme "un animal qui sait rire". Ils auraient aussi bien pu le définir