Bernadette Chirac

Tout délai de forclusion ou de forclusion est suspendu. Ceci ne peut son faire a son égard qu’a la fin de son mandat, a l'expiration d'un mois suivant la cessation de ses fonctions. (Ex : À bon droit, Jacques Chirac a refusé à bon droit de témoigner, en 2007 dans l’affaire Clearstream). Chirac, affaires de la ville de paris, tentative de réforme, actes antérieur à son entrée en fonction. Problème d'interprétation. Le conseil constitutionnel a du trancher sur cette question en mettant un terme à une

fouet le premier choc pétrolier en 1973. B) Une volonté de chgt par une politique centriste et libérale L’élection présidentielle de mai 1974 est remportée de justesse par Valéry Giscard d’Estaing (VGE) (50,8%) face à François Mitterrand. J. Chirac est Premier ministre. VGE s’appuie sur une majorité de centre et de droite pour gouverner, il place sa politique ds la « volonté de changement ds la continuité » et la « société libérale avancée » et en s’appuyant sur les classes moyennes - loi de

économique et sociale. Son principal représentant est son créateur François Bayrou. * Union pour un Mouvement Populaire : c’est un parti politique français de droite nommé à sa création en vue de soutenir la candidature du président Jacques Chirac à sa propre succession en 2002. Il regroupe ainsi le RPR et Démocratie libérale. Ce parti cherche à être un rassemblement de tendances gaullistes, centristes, libérales et conservatrices. La doctrine de l’UMP déclare qu’il faut laisser libre cours

Giscard D’Estaing de L’UDF, l’Union pour la Défense de la République subit nombres de déchirements internes. Il suit un changement de nom, le parti gaulliste devient le RPR : Rassemblement Pour la République. Ce mouvement néo-gaulliste mené par Jacques Chirac ne renoue pas vraiment avec la tradition : les gaullistes historiques s’effacent petit à petit, le RRP ne joue plus sur ses « ressources des positions occupées par ses membres dans l’appareil de l’Etat » (Michel Offerlé), il devient une organisation

que celle de haute trahison (une notion qui a disparu de la constitution). Sous la V République, de 1958 à 1997, la question du statut pénal du président de la République française n’a guère suscité de débats. Cependant, l'ancien président Jacques Chirac fut mis en cause dans une affaire ayant pour compétence la juridiction pénale et cela avant sont entrée en fonction en 1995. Face à ce sujet sensible, une commission présidée par le professeur Pierre Avril a été instituée le 3 juillet 2002 avec pour

par les textes. En effet, ce dernier ne peut mettre fin aux fonctions des ministres, qui doivent déposer leur démission. De plus, il est impossible pour un premier ministre de ne pas contresigner un acte sans donner sa démission, ce que fera Jacques Chirac en 1976. Ainsi, la relation de subordination est clairement établie. Par ailleurs, alors que sous tous les autres régimes depuis 1789, tous les actes du Président de la République devaient être signés par un ou plusieurs ministres, le chef de l’Etat

Manuel Valls, candidat à la primaire PS, s'est quant à lui déclaré "favorable à l'idée d'un engagement, d'un serment mais à nos valeurs, à la République, pas aux armes". "C'est quand même étonnant que ceux qui, il y a quelques années avec Jacques Chirac, ont supprimé le service militaire, proposent un serment aux armes". Le maire d'Evry a proposé un "un service civique obligatoire pour les garçons et filles qui s'engagent pour les associations, [pour] les autres, pendant six à neuf mois". «Encore

Giscard d’Estaing 1) Une volonté de renouvellement politique et social « Décrisper la politique » (acquis de mai 68), volonté de répondre aux revendications des nouvelles générations Il n’est PAS gaulliste Il nomme un gaulliste : Jacques CHIRAC - Abaissement de l’âge de la majorité (21 à 18 ans) : revendications de la jeunesse (poids pol) - Loi sur l’avortement, légalisé (Loi Veil)/ Création du divorce par consentement mutuel / Création d’un secrétariat d’Etat à la condition féminine

Nicolas Sarkozy, de 2002 à 2004 puis de juin 2005 à mars 2007 au ministère de l'Intérieur et en 2004 au ministère des Finances. Il est, lors de la présidentielle en 2007, directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, après le refus du président Jacques Chirac de le nommer préfet de police de Paris. Une fois élu, Nicolas Sarkozy le nomme, le 16 mai 2007, secrétaire général de la présidence de la République. Le pouvoir important qu'il a auprès du président de la République lui vaut les surnoms de « cardinal »

constitue le premier ouvrage de référence sur l’histoire de Vichy. Durant sa présidence, l’attitude de Mitterrand était ambigüe, ce dernier mettait des fleurs sur la tombe de Pétain. A partir de 1995, plusieurs hommes politiques Français, Jacques Chirac et Lionel Jospin notamment n’ont pas fait fleurir la tombe de Pétain et le président de la commission décide de mettre en place la journée nationale à la mémoire des victimes de crimes racistes et antisémites de l’Etat Français et a rendu hommage