Bertall

sujet serait presque invisible" Cet extrait débute par cette rencontre que Flaubert nous fait vivre par le point de vu de Charles, en commençant par l’arrivée de Charles, puis, par une description minutieuse du décor. Celui-ci arrive donc chez les Bertaux vers trois heures de l’après-midi. Le lecteur par un procédé de focalisation interne suit le regard de Charles, qui, entré dans la maison balade son regard à la recherche d’Emma qu’il n’a toujours pas aperçut, il observe, il s’attarde sur des détails

signifie la connaissance et la résurrection. Thévenin : La prise de la Bastille : La fête de la fédération, le 14 juillet : Excellent niveau technique, mais pas d’émotion. Première fois qu’un artiste représente quelque chose d’aussi vaste. Bertaux : La prise des tuileries : Montre que les révolutionnaires ne se sont pas fait tuer. Le romantisme Le mouvement des lumières est donc le mouvement littéraire qui a précédé le romantisme. De plus, c'est aussi la période de la révolution française

(taciturne et irrévérencieux, alcoolique : « M. Bovary était un homme à ne rien respecter. ») *Mme Dubuc = la 1re Mme Bovary (veuve d’un huissier de Dieppe, âgée de 45 ans et 1200 livres de rente) *Le père Rouault, père d’Emma (tient la ferme des Bertaux) *Emma Bovary *Le marquis et la marquise d’Andervilliers, propriétaire de la Vaubyessard (I, 8 : bal dans ce château) *Le duc de Laverdière, beau-père du marquis, ancien favori du comte d’Artois *1re bonne : Nastasie (renvoyée après le bal, parce

indiqué par la production de ces dernières années (le nombre des ouvrages n'a fait qu'augmenter depuis la publication de Ghiglione, Matalon en 1978 : Blanchet et al., 1985, Blanchet, 1991, Blanchet, Gotman, 1992, Kaufmann, 1996, Combessie, 1996, Bertaux, 1997). Cette production s'accompagne d'un effort de formation des étudiants. Alain blanchet inclus donc totalement cette méthodologie dans sa bibliographie. Lors de sa première édition, les auteurs se sont notamment inspirés de l'ouvrage de Colette

indépendance : il faisait ce qu'il voulait, quand il voulait. Il appréciait beaucoup Emma et se décida à demander sa main. Elle accepta et on prépara la noce pour le printemps suivant. ­4 - CHAPITRE IV Le jour du mariage, de nombreux invités arrivèrent aux Bertaux, tous biens apprêtés pour ce grand jour. La fête se déroula autour d'un grand festin et dura plusieurs jours. Lorsqu'elle fut finie, le père Rouault accompagna Charles etEmma pour leur retour à Tostes. À leur départ, la mélancolie s'empara de lui

75019 PARIS Siège administratif de l’établissement principal 48-52, rue Eugène Berthoud 93400 SAINT-OUEN Locaux pédagogiques de l’établissement secondaire 1 / 9 rue du général de Gaulle Bâtiment Pascal A 7ème étage 94000 CRETEIL 104 boulevard Maurice Bertaux 95110 SANNOIS 01 44 52 12 50 ou 06 80 92 81 17 01 44 52 44 49 csatformations@taxiartisan.com christine.vallon@taxiartisan.com ECOLE SUPERIEURE DU TAXI G7 ETABLISSEMENT SECONDAIRE N° 11-33 01 49 48 38 05 ou 01 49 48 26 06 01 49 48 38 28

Une nuit d'hiver, Charles se rend à la ferme des Bertaux car le père Rouault, le propriétaire, s'est cassé une jambe. Charles est sensible au charme de sa fille, Emma. Il y retourne les jours suivants jusqu'à ce que sa femme, jalouse, lui interdise ses visites. Au printemps, le notaire de Mme Bovary disparaît en emportant ses fonds, la laissant à demi ruinée. Elle meurt une semaine plus tard. Chapitre 3 : Peu après, Charles retourne chez les Bertaux et revoit Emma. Il se rend compte de son amour

ouvert. (p.3, paragraphe 4). Ils ont été menés à 6 semaines après la naissance (p.3, paragraphe 5), sur un échantillon de 30 mères primipares d’après les critères de saturations, utilisé pour valider les méthodes qualitatives selon Mucchielli et Bertaux.(p.3, paragraphe 6). Critère d’inclusion : entretiens de mères primipares ayant accouché à Genève à terme sans pathologie prénatale donnant lieu à une hospitalisation et parlant couramment français (p.3, paragraphe 7).Ensuite l’auteur nous donne les

salle de billard. Un domestique monta sur un e chaise et cassa deux vitres ; au bruit des éclats de verre, madame Bovary tourna la tête et aperçut dans le jardin, contre les carreaux, des faces de paysans qui regardaient. Alors le souvenir des Bertaux lui arriva. Elle revit la ferme, la mare bourbeus e, son père en blouse sous les pommiers, et elle se revit elle - même, comme autrefois, écrémant avec son doigt les terrines de lait dans la laiterie. Mais, aux fulgurations de l’heure présente

Dubuc, s’embarqua, par une belle marée, emportant avec lui tout l’argent de son étude. » I, 2 « Voilà le printemps bientôt ; nous vous ferons tirer un lapin dans la garenne, pour vous dissiper un peu. Charles suivit son conseil. Il retourna aux Bertaux ; il retrouva tout comme la veille, comme il y avait cinq mois, c’est-à-dire. Les poiriers déjà étaient en fleur » I, 3 « L’hiver se passa dans cette attente. Mademoiselle Rouault s’occupa de son trousseau. » I, 3 « On remit à causer des arrangements