Bertrand Chameroy

SUJET SUR TEXTE- T STMG  La dernière question correspond à une discussion du texte. Le texte présente une position philosophique particulière sur un problème philosophique particulier. Or cette réponse mérite  d’être discutée : il faut en déterminer la pertinence et les limites éventuelles. Il faudra donc en souligner tout d'abord l’intérêt philosophique, puis, à partir de là, porter une appréciation critique sur le problème soulevé par l'auteur, savoir mettre en question sa thèse. Mais attention

pour arriver à la vérité, toute une série de démonstrations est requise ; or pour cela, la croyance en la véracité de la première démonstration est indispensable, auquel cas le scientifique se heurterait à une régression à l’infini. D’autre part, Bertrand Russel, dans son ouvrage Problèmes de philosophie, démontre que sans recours à l’induction, il ne peut y avoir de connaissance scientifique, autrement dit, si un scientifique n’accepte pas qu’un évènement A va entrainer un évènement B (évènements

 Solar Impulse    Introduction  Au début de l'année nous avons travaillé sur un avion solaire « Solar Impulse »  qui est  auto­alimenter grâce à des panneaux solaires disposés sur les ailes. Cet avion a été créé sur  l'initiative de Bertrand Picard et André Borschberg pour que pendant un vol un pilote n'est pas a  regarder le niveau de carburant. Récemment un nouvel avion « Solar impulse II » a été présenté. Il  est plus performant. Il y a plus de cellules solaires ,ce tableau sert a monter les différence entre les 

particulière ou un nombre de syllabes par vers défini. Le vers est défini par le retour à la ligne. Cependant, les jeux de sonorités et de rythme sont essentiels. Le poème en prose Le poème en prose apparaît au XIXème siècle, notamment grâce à Aloysius Bertrand, auteur méconnu qui n'a pu publier de son vivant, qui écrit le premier poème en prose. Mais Rimbaud, plus connu, renouvelle le genre. Le poème en prose ne présente pas de retour à la ligne permettant d'identifier des vers. Il ne présente donc pas

« Octobre » Ce poème nommé «Octobre » a été écrit par un écrivain Dijonnais reconnu du nom « Aloysius Bertrand » également reconnu par « Gaspard de la nuit » son vrai nom étant « Louis Bertrand » Aloysius Bertrand est l’un des représentants les plus originaux du romantisme français. On sait que l’auteur « Gaspard de la nuit » est l’un de ceux après Rousseau, avant Baudelaire et Rimbaud qui inventèrent le

Commentaire de Gaspard de la nuit, Un rêve, d’Aloysius Bertrand En 1842 paraît un petit livre que personne ne lit, Gaspard de la nuit. Son auteur, mort un an plus tôt, malade et pauvre, restera pour la postérité l’inventeur du poème en prose. Il dépose en 1830 son manuscrit chez Sainte-Beuve avant de repartir pour Dijon. ▪ Le recueil Gaspard de la nuit doit son nom à un être étrange qui, raconte Aloysius Bertrand dans le prologue, l’aborde un jour dans une rue de Dijon, lui tient un discours

Aloysius Bertrand (1807 – 1841) Aloysius Bertrand (vero nome: Louis Jacques Napoléon Bertrand) nasce a Ceva, in Piemonte, da un ufficiale napoleonico e da madre italiana. Vive in Italia fino al 1815, quando con la famiglia si trasferisce in Francia, a Dijon, dove compie i suoi studi, manifestando presto un particolare interesse per la letteratura. Nel 1826 entra a far parte della “Société d’Études”, una società di giovani intellettuali. Qualche tempo dopo muore suo padre e B. diventa il nuovo capofamiglia

poème en prose » est en elle-même paradoxale. Il s’agit d’un oxymore, puisque ce qui est vers est originellement défini comme ce qui n’est pas prose, et vice versa. Mais Baudelaire n’est pas l’initiateur de la formule : le précurseur en est Aloysius Bertrand avec Gaspard de la nuit. Les héritiers successifs feront évoluer le genre jusqu’à de splendides réussites, avec Rimbaud, Lautréamont, Claudel et les surréalistes. S’opposant à la versification classique, le poème en prose en refuse les lois de métrique

Intro: Bertrand du Guesclin, né en 1320 et issu d'une famille bretonne noble mais pauvre, est considéré comme le plus grd homme de guerre de son temps. Il se fit remarqué dès son enfance par sa force et son habilité au combat. Cependant de caractère difficle et de physique disgracieux, il n'était guère apprécié dans le milieu des princes. Mais cela ne l'a pas empeché d'etre le principal collaborateur militaire du roi Charles V. Ce dernier l'éleva de plus à la dignité de connétable du royaume de France

notamment, pour ne citer que les plus grands, aux Cronenberg, Scorsese ou Haneke, qui, taraudés par le refoulé de nos sociétés névrotiques, sont hantés par la représentation de la violence (corollaire inévitable). On comprend mieux, dès lors, pourquoi Bertrand Tavernier, en France et Martin Scorsese, aux États-Unis, archivistes boulimiques, admirateurs insatiables, ont œuvré à la reconnaissance (tardive) de cette pièce maîtresse du cinéma mondial.