Besoin Des Autres Pour être Libre

les individus qui la composent. Le propre de l'être humain semble être de toujours s'apitoyer sur son sort, quel qu'il soit; mais le propre du philosophe est de réfléchir et de juger si ce même être humain a bien raison de s'apitoyer... C'est ce qu'a tenté de faire Jean-Jacques Rousseau en analysant notre société et les lois auxquelles nous sommes soumis. Suite à ses réflexions, il est arrivé à dire qu'«obéir aux lois, c'est être libre», citation qui en surpris sûrement plusieurs, puisqu'elle en surprend

de ses actes. L'homme manque de détermination à réaliser son propre jugement, avec ses propres facultés à comprendre et à réfléchir. Le siècle des lumières demande à l'homme d'oser, l'homme doit être capable d'assumer ce qu'il est de part son courage et sa dignité. Vivre en fonction de soi et non des autres, fait parti du devoir de ce siècle. Nous allons voir comment sortir l'homme de l'état de minorité pour qu'il soit capable d'exploiter ses facultés? Et en quoi est-il responsable? En trois parties

Distinctions conceptuelles Etre libre : -avoir des droits = liberté de droit variable et historique -avoir des moyens, des capacités. -être maître de soi. -avoir un libre arbitre. Nécessaire: ce qui ne peut ne pas être} déf étymologique Contingent: ce qui peut ne pas être} Possible: ce qui peut être Impossible: ce qui ne peut pas être vouloir-pouvoir-droit-devoir = libre arbitre premier et fondamental sans lui les autres dimensions de la liberté

|Agréable |Bon (pt de vue moral) |Beau | |Caractéristique de la |Subie du fait d’une excitation des sens -> |Pure satisfaction pratique |Satisfaction libre | |satisfaction éprouvée |imposée. |(morale) |Contemplatif, désintéressée | | |Suscite le désir -> intéressée |-> s’impose à nous selon

par un constat propre à son époque : « l’homme est né libre, et partout il est dans les fers ». L’ordre social est sacré et sert de base à tous les autres mais il n’est pas naturel, il repose sur des conventions. Chapitre 2 : des premières sociétés Rousseau place la famille comme origine des sociétés politiques. Le chef est le père et les enfants sont le peuple. Le lien qui unit la famille se dissout sitôt que les enfants n’ont plus besoin du père, si le lien perdure ce n’est plus naturellement

vérité. Mais si l’histoire est une science, ce n’est pas une science exacte mais une « science humaine », c’est-à-dire une science dont l’objet est l’homme. Or le comportement des hommes ne peut être étudié ni rapporté comme ceux d’une planète ou d’une molécule de gaz. Les actions des hommes doivent être interprétées et organisées afin de prendre la forme d’un récit structuré et signifiant. L’objectivité stricte est hors d’atteinte. Idéalisme et matérialisme Les philosophes modernes ont avant

puisqu’il est membre de l’Etat ; ni si la loi peut-être injuste, puisque nul n’est injuste envers lui-même ; ni comment on est libre et soumis aux lois, puisqu’elles ne sont que des registres de nos volontés. » Dans le livre premier, après avoir affirmé que « l’homme est né libre et que partout il est dans les fers », Rousseau va chercher dans les chapitres suivants non pas l’origine de cette situation mais plutôt comment cette situation peut être rendue légitime. Il va alors faire un raisonnement

Philosophie HK : DMSujet : Penser par soi-même est-ce penser sans les autres ? Introduction : · Penser est une activité de l’esprit humain que nous pratiquons quotidiennement de manière consciente ou inconsciente et touche à tous les domaines, elle est le propre de l’homme. L’analyse que nous allons développer porte sur les notions de penser, du moi et d’autrui. Plus précisément, penser : du latin pensare, qui signifie peser, évaluer, désigne-le fait d’exercer son esprit de

Alexandre Noel. Dissertation de Philosophie. Sujet : Peut-on être heureux indépendamment du regard d’autrui ? Réponse au sujet : L’homme, à travers les siècles, a toujours vécu dans le but d’être heureux, d’atteindre le bonheur, un état de joie, de plaisir, de sérénité. Le monde extérieur a un impact considérable sur l’Homme, ses semblables interfèrent dans son quotidien de façon permanente. Un homme au cours de son existence ne cesse de communiquer avec

simplement les erreurs que nous pouvons être amenées à commettre. Donc sans un travail sur nous-même, nous sommes déterminés par des causes qui nous échappent. Il est par ailleurs d'autant plus nécessaire afin de lutter contre ce conditionnement. Ce travail ne se fait pas qu’intérieurement, il oblige à prendre en compte la société qui nous entoure puisque malgré cette envie d'être nous-même il y a peut-être la peur du regard de l'autre, la peur de ne pas « être comme tout le monde ». Dans ce cas cette