Bestiaire

l'apologue on arrive à interpeller les hommes. Je cite dans ma quatrième fable du livre xiii : «  L'animal aux têtes frivoles ne daignait l'écouter, l'harangeur prit un autre tour » (v 11 à 15). Un trait de fable en eut l'honneur. J'ai recours au bestiaire pour plaire, ainsi à travers le plaisir je vais capter l'attention comme le fit l'orateur avec sa patrie : « L'assemblée par l'apologue réveillé, se donne entière à l'Orateur » (v 30 à 31). La fable à travers ce voile est plus adapté au goût de l'enfance

souvenirs, d’apporter un témoignage de Vladek, détruit par son passé. Nous pouvons donc en conclure que c’est un devoir de mémoire. Art a choisi, pour illustrer sa BD, la déshumanisation physique et mentale, par le zoomorphisme sous forme de bestiaire : les juifs sont représentés par des souris, les nazis par des chats et les polonais par des porcs. De plus, il y a peu d’expression du visage, ce qui sous-entend qu’ils sont tous de la même race. Etrangement, on s’habitue très bien aux traits et

On y a développé, à s'émietter de 1905, le style sapin, un idiome Art truculent de nature à à la orbite qui se glacer naissance à l’école d’art de La chaux-de-fonds sous l’impulsion de charles l'eplattenier. Ce style ornemental est inspiré de la bestiaire et de la flore jurassiennes, susceptible de s’adapter à l’industrie horlogère, à l’architecture et aux lieu quotidiens4.

Les symptômes : enfermement – étouffement. ·        Relevé : couvercle, cachot, murs, plafonds, prison, barreaux, filets = surtout dans les 3 premiers quatrains + embrassant tout le cercle = double enfermement.   ·        S’accompagne d’un bestiaire monstrueux mais ambivalent. -         chauve-souris = espérance (image dégradée de l’albatros) -         araignées = animaux du spleen Þ symbolique car la chauve-souris est aveugle ; les araignées sont des prédateurs + qualificatifs les différencient :

Souffrance=forte migraine,mal. Bruit= migraine Emploi du registre correcte. Opiniâtrement= adverbe modalisateur péjoratif. Atroce= qualifie 'angoisse et indique l’intensité de la souffrance. Pourris=péjoratif. Couvercle=terme de la banalité quotidienne. Bestiaire,étrange,effrayant= chauve souris-araignées un ennui (terme ancien) =sentiment d'enterrement pénètre et d'errance (strophes 2 et 4) de furie(Strophe 4) de furie=mouvement impétueux des cloches atroce,despotique=forte intensité de l'Angoisse

avec les tableaux « à demi-figures », représentations de personnages à mi-corps, placés au premier plan (le Couronnement d’épines, 1510, Madrid Escorial). Bosch mourut en 1516. Son style est caractérisé par des personnages caricaturaux issus des bestiaires du Moyen Âge. Jérôme Bosch est l'inventeur d'un style repris ensuite par plusieurs artistes, dont Bruegel l'Ancien. Il est reconnu par les surréalistes du XXe siècle comme le "maître" de leur art pendant très longtemps. On retrouve son effigie

Mais cette insouciance peut mener la Cigale à sa perte :   ­ « fort dépourvue » ­> mis en valeur car à la rime.   ­ « Pas un seul petit morceau » ­> pas et petit sont redondants => insistance sur l'absence de  nourriture.      III. L'absence de moralité ?    1. Le choix du bestiaire dicté par la visée didactique  Cette fable met en scène très classiquement deux animaux.  Le comportement de la Cigale et la Fourmi sont effectivement ceux de la vie animale (la  cigale chante l’été, la fourmi travaille sans cesse, accumule de manière très organisée)

de plaire, fidèle à cette exigence du classicisme La Fontaine en 1668 propose ses premiers livres de fables en soulignant dans les préfaces leurs utilités morales. La « Besace »prend pour thème l’homme et son image. Comment la mise en scène d’un bestiaire permet-elle à la fontaine de dénoncer les comportements humains ? I) Un récit alerte La Besace se caractérise par un récit très rapide obtenu par des procédés précis : Utilisation d’un dialogue (l 9et 10) Absence de descriptions d’animaux, l’auteur

d’Orphée. La légende grecque voulait que le chant d’Orphée provoquât la sortie des eaux des poissons charmés par ses mélodies. Ces deux attributs « orphiques » sont associés à la figure d’Apollinaire, le poète ayant lui-même publié en 1911 « Le Bestiaire ou cortège d’Orphée » illustré par le peintre Raoul Dufy. Celui-ci y a inséré une représentation d’Orphée associé à ses attributs iconographiques classiques tels que la lyre et les poissons.En arrière-plan, dans la partie supérieure du tableau apparaît

comparé aux moucherons, il serait donc une sorte de pâture. Tarentule et trompe d’éléphant : il y a une différence d’échelle. Le moucheron qui infiniment petit rejoint l’infiniment grand. On remarque qu’il y a de nombreuses références aux animaux : bestiaire Scarbo réserve une mort in vivo au poète et lui fait part de nombreuses tortures auxquelles il pourrait le soumettre. Les images macabres participent au fantastique, ainsi que le lieu et le temps, en effet l’action se déroule pendant la nuit.