Bestiaire

Debussy qui ne le mettra pas en musique Poésie Victor Hugo, Les Mages dans Les Contemplations, Orphée dans La légende des siècles Gérard de Nerval fait référence à Orphée dans El Desdichado Sonnet à Orphée de Rilke Guillaume Apollinaire, Le Bestiaire ou le Cortège d'Orphée Marguerite Yourcenar, La nouvelle Eurydice Tombeau d'Orphée et les Hymnes orphiques de Pierre Emmanuel Bande dessinée La Chanson d'Orphée de Neil Gaiman, dans le comic Sandman Orfi aux enfers (Poema a fumetti), une bande

donne à cette expression, la tragédie grecque est par essence liée au monde animal. S'il existe une «Carte du Tragique», qu'André Bernand a essayé de définir dans son livre, paru en 1985, aux éditions du CNRS, on découvre aussi dans les tragédies un bestiaire et une faune que chacun des trois grands poètes tragiques a utilisés à sa manière. Cet article est donc comme un chapitre détaché de l'étude sur «La géographie dans la tragédie grecque». Les animaux, en effet, sont traités par les poètes à la fois

est aussi blessé par un éclat d'obus à la tempe. Situation familiale: Le 2 mai 1918, il se mari avec Jacqueline Kolb. Œuvres: Œuvres poétiques: -Alcools, 1913 -Calligrammes: poèmes de la paix et de la guerre, 1918 -Poèmes à Lou, 1947 -Le Bestiaire ou cortège d'Orphée, 1911 Œuvres en prose et fiction: -L’Hérésiarque & Cie, 1910 -La fin de Babylone, 1914 -Les trois Don Juan, 1915 Romans érotiques: -Les onze mille verges ou les Amours d'un Hospodar, 1907 -Les exploits d'un jeune Don

suggérer les contours, leur donner du relief ou de la présence. Les animaux : principale source d'inspiration → cheval est le plus fréquemment représenté, suivi des cerfs, aurochs, bouquetins, bisons et ours → parmi 600 animaux qui constituent le bestiaire de la grotte. Les animaux sont en mouvement, le dynamisme est de règle. On trouve aussi représentées des curiosités dont on n'a toujours pas saisi le sens : animal ayant deux longues cornes, non identifié, appelé « licorne », des figures géométriques

Héritier d'une tradition, il y affirme aussi sa modernité dans le choix de la forme versifiée et le ton léger, destinés à en renouveler le charme. Les trois animaux que le charron mène à la foire – le cochon, la chèvre et le mouton – appartiennent au bestiaire de la ferme et leur situation est banale. La variété du mètre, l'alternance des octosyllabes et des alexandrins permettent d'apporter de la légèreté dans ce conte animalier à visée moraliste. 1. Le fonctionnement de la fable 2. La méditation

» dans « L’âne et le chien »), qui ne peuvent instruire que les plus jeunes. Certaines morales peuvent même être dénoncées comme immorales (voir les fables du corpus). La forme généralement brève et l’irréalité des personnages et des situations (bestiaire ou univers du conte) font suspecter la démarche d’un genre qui prétend accéder à une vérité universelle à partir d’un cas singulier et fictif, voire invraisemblable. Cet argument peut être étayé par une comparaison avec d’autres genres didactiques

point de tomber) correspondant à la peur de l'obscurité et de la chute sont deux « grandes épiphanies imaginaires de l'angoisse | |devant la temporalité». Le troisième visage du temps est celui qu'illustre l'animal. Le poème recèle tout un bestiaire, mais les animaux| |que l'on y dénombre y sont présentés très diversement. Dans le premier dizain, ce sont des présences furtives - belettes auxquelles la | |superstition populaire attribue des pouvoirs surnaturels, renards qui allient la souplesse

entre la fauconnerie et l'amour : une personne aimée peut un court moment se laisser séduire par un jeune prétendant, sans pour autant être profondément et définitivement infidèle à son serment initial. Les comparaisons et les métaphores tirées du bestiaires révèlent l'ambiguïté, la mouvance de la relation amoureuse. Dans la comparaison, l'animal évoqué s'éloigne de l'existence individuelle, car il est porteur de notions qui dépassent son seul être, il véhicule une signification qui est propre à toute

lieux clos comme si progressivement le poète était enfermé. Le “nous” a disparu : enfermement dans la solitude de l’être. La comparaison de l’Espérance avec une chauve-souris inaugure tout un bestiaire fantastique et hideux : chauve-souris dans le cachot puis araignées dans le cerveau (symboles de la folie). Cette comparaison est d’autant plus cynique et effroyable que l’Espérance est l’une des trois vertus théologales dans la religion chrétienne

qu'il aurait dû faire apparaître, c'est-à-dire la mariée de dos. Aussi, il ne représente pas les trois qui figure autour d'elle. Enfin, les monstres de la composition comme celui représenté en bas à droite qui comporte quatre seins, font échos aux bestiaires médiévaux rappelant les visions fantastiques de Jérôme Bosch ou encore de Pieter Bruegel.