Beta Sectoriel

0 3 900,0 350,0 90,0 80,0 250,0 629,0 1 071,0 16 680,0 Produits Ventes Production stockée Produits exceptionnels Montants 16 450,0 -90,0 320,0 Total 16 680,0 ss 36 Exercices d’application : Série 1 — Cas Bêta β La balance après inventaire de la société Bêta se présente de la façon suivante : Balance après inventaire au 31/12/n Comptes Capital Réserve légale Autres réserves Provisions pour risques Provisions pour charges Emprunts auprès des éts de crédit Frais de recherche et

L’entreprise Beta fabrique des meubles, pour l’année N+1 elle se fixe les objectfs suivants : - Producton prévue 5 000 meubles, vendus 2 000 DH l’un. - Consommaton pour la fabriquer 5 000 meubles, 250 000 kg de bois (8 DH le kg), 125 000 heures de main-d’œuvre directe (30 DH l’heure) et 150 000 heures machines. - Les charges indirectes de l’atelier s’élèvent à 3 000 000 DH dont 1 800 000 DH de charges variables. L’unité d’œuvre est l’heure-machine. A la fin de l’année N+1, l’entreprise Beta constate

0 80,0 250,0 629,0 1 071,0 16 680,0 Produits Montants Ventes Production stockée Produits exceptionnels 16 450,0 -90,0 320,0 Total 16 680,0 ■■ 36 Exercices d’application : Série 1 ➋ Cas Bêta β La balance après inventaire de la société Bêta se présente de la façon suivante : Balance après inventaire au 31/12/n Comptes Capital Réserve légale Autres réserves Provisions pour risques Provisions pour charges Emprunts auprès des éts de crédit Frais de recherche

réseau est également utile lorsqu'on examine la portée des avantages d'un système national de traçabilité en matière d'accès aux marchés et de compétitivité. Plus un système de traçabilité est détaillé sur le plan de la couverture régionale et sectorielle, plus la probabilité sera élevée que des négociations intergouvernementales permettront de protéger l'accès aux marchés pour les éleveurs d'animaux de ferme en cas de problème. Si un secteur de l'industrie se désistait, le système perdrait sa couverture

III) 2. Incidence des normes IFRS sur les valorisations des sociétés et le coût des capitaux propres A. Une perception plus explicite des risques liés aux entreprises L'introduction des IFRS pourrait avoir également un impact important sur le bêta et le coût du capital. La volatilité accrue des résultats, la comptabilisation à leur juste valeur des postes du bilan et, la publication d'informations plus détaillées pourraient modifier la perception des risques liés à une entreprise. Les analystes

sans risque, multiplié par un coefficient caractéristique du risque du projet appelé coefficient « béta ». Le coefficient « béta » mesure ce que l’on appelle le risque systématique, c’est-àdire le risque économique lié à la conjoncture globale de l’économie. Si l’entreprise possède un « béta » supérieur à 1, cela signifie que son activité amplifie les cycles de la conjoncture tandis que si elle possède un « béta » inférieur à 1, cela signifie que son activité atténue les cycles de la conjoncture. Le risque

risque, multiplié par un coefficient caractéristique du risque du projet appelé coefficient « béta ». Le coefficient « béta » mesure ce que l’on appelle le risque systématique, c’est-àdire le risque économique lié à la conjoncture globale de l’économie. Si l’entreprise possède un « béta » supérieur à 1, cela signifie que son activité amplifie les cycles de la conjoncture tandis que si elle possède un « béta » inférieur à 1, cela signifie que son activité atténue les cycles de la conjoncture. Le risque

risque, multiplié par un coefficient caractéristique du risque du projet appelé coefficient « béta ». Le coefficient « béta » mesure ce que l’on appelle le risque systématique, c’est-àdire le risque économique lié à la conjoncture globale de l’économie. Si l’entreprise possède un « béta » supérieur à 1, cela signifie que son activité amplifie les cycles de la conjoncture tandis que si elle possède un « béta » inférieur à 1, cela signifie que son activité atténue les cycles de la conjoncture. Le risque

d’OULMES pour les exercices clos aux 31 décembre 2003, 2004 et 2005 ; ƒ Rapports des commissaires aux comptes des exercices clos aux 31 décembre 2003, 2004 et 2005. ƒ Revue limitée des commissaires aux comptes au 30 juin 2006 ; ƒ Les informations sectorielles notamment auprès de ACNielsen1 et du Management d’OULMES. Conformément à l’article 13 du Dahir portant loi n° 1-93-212 du 21 septembre 1993 relatif au CDVM et aux informations exigées des personnes morales faisant appel public à l’épargne tel que

d'équilibre des actifs financiers) permet de déterminer le taux de rentabilité requis d'un actif financier ayant un risque systématique donné. Ce taux de rentabilité (Ri) est donné par la relation : E (Ri) = Rf +βi [E(Rm) - Rf] Rf = taux sans risque, βi = bêta du projet considéré, E(Rm) = espérance mathématique de la rentabilité du marché. Le problème consiste à calculer Ri puis à le comparer à la rentabilité (ri) du projet étudié ou à l'utiliser pour calculer la VAN. Si ri >Ri ou si VAN>o, le projet