Betterave sucrière

plus de 3 millions de clients avec une part de marché de 26,1% 8 en termes de dépôts bancaires au Maroc au 31 décembre 2009. - Cosumar est l’unique producteur de sucre au Maroc. Il est spécialisé dans l’extraction du sucre à partir des plantes sucrières (betterave et canne à sucre) et dans le raffinage du sucre brut importé ; - Lesieur Cristal est spécialisé dans la trituration des graines oléagineuses, le raffinage et le conditionnement des huiles alimentaires et la fabrication et le conditionnement

Cultures industrielles Betterave Canne à sucre Superficie Cultivée totale Superficie Cultivable Superficie Cultivée / Cultivable Production des principales cultures (En milliers de qx) Céréales Blé dur Blé tendre Orge Maïs Légumineuses Oléagineuses Tournesol Arachides Cultures industrielles Betterave Canne à sucre Rendement des principales cultures (En qx/ha) Céréales Blé dur Blé tendre Orge Maïs Légumineuses Oléagineuses Tournesol Arachides Cultures industrielles Betterave Canne à sucre Production

Rif jusqu'au Moyen Atlas, le bassin de Sebou (36 000 km2) se compose de bas plateaux, de cours d'eau, quelques collines et des plaines fertiles qui permettent la culture de plusieurs aliments. Dans la plaine du Gharb, on trouve des champs de betteraves sucrières, de riz, de cannes à sucre et de tabac. Cette plaine se distingue des autres par la présence de la forêt de Maâmora où on fait l'exploitation de chênes-lièges et d'eucalyptus. De vastes plaines apparaissent aussitôt qu'on dépasse le pays de

dominant d’exportation est le sucre. C’est même la 1ère production mondiale, mais le sucre sera remplacé par le sucre de betterave. L’Amérique va alors perdre des parts de marché. Au début du 20ème siècle, le sucre de cane représente 39 % de la production mondiale, actuellement le taux est passé à 80 % ! L’Amérique du Sud va être concurrencé pas les européens et ses colonies sucrière africaine (Ile Maurice, La Réunion). C’est au 19ème siècle, qu’il y a une arrivée de beaucoup de producteurs, donc il

Rif jusqu'au Moyen Atlas, le bassin de Sebou (36 000 km2) se compose de bas plateaux, de cours d'eau, quelques collines et des plaines fertiles qui permettent la culture de plusieurs aliments. Dans la plaine du Gharb, on trouve des champs de betteraves sucrières, de riz, de cannes à sucre et de tabac . Cette plaine se distingue des autres par la présence de la forêt de Maâmora où on y fait l'exploitation de chênes-lièges et d'eucalyptus. De vastes plaines apparaissent aussitôt qu'on dépasse le pays

jusqu'au Moyen Atlas, le bassin de Sebou (36 000 km2) se compose de bas plateaux, de cours d'eau, quelques collines et des plaines fertiles qui permettent la culture de plusieurs aliments. Dans la plaine du Gharb, on trouve des champs de betteraves sucrières, de riz, de cannes à sucre et de tabac . Cette plaine se distingue des autres par la présence de la forêt de Maâmora où on y fait l'exploitation de chênes-lièges et d'eucalyptus. De vastes plaines apparaissent aussitôt qu'on dépasse le pays

Rif jusqu'au Moyen Atlas, le bassin de Sebou (36 000 km2) se compose de bas plateaux, de cours d'eau, quelques collines et des plaines fertiles qui permettent la culture de plusieurs aliments. Dans la plaine du Gharb, on trouve des champs de betteraves sucrières, de riz, de cannes à sucre et de tabac. Cette plaine se distingue des autres par la présence de la forêt de Maâmora où on fait l'exploitation de chênes-lièges et d'eucalyptus. De vastes plaines apparaissent aussitôt qu'on dépasse le pays

580 million de tonnes, soit une hausse de près de 9,3% par rapport à la campagne précédente (1,445 million de tonnes). Pour leur part, les exportations des produits maraîchers ont progressé de 16%. Cultures sucrières Pour une superficie récoltée de 50 676 ha, la production de la betterave à sucre a légèrement régressé de 3,4%, pour s’élever à 2,467 millions de tonnes, contre 2,551 millions de tonnes en 2005-2006. S’agissant de la canne à sucre, la superficie récoltée s’est élevée à 13 852 ha contre

cent ans. Ce bouleversement s'explique par l'amélioration des pratiques culturales, l'apport considérable d'intrants comme les engrais minéraux, la mécanisation et l'impact de la sélection variétale. C'est en effet le blé qui a été (avec la betterave sucrière) l'une des premières espèces qui ont bénéficié de la sélection raisonnée, inaugurée en France par les Vilmorin au milieu du XIX siècle. Le maïs va suivre dans les années 1930 avec la création d'hybrides F1 aux Etats-Unis, la sélection du maïs

que les chantiers navals figurent parmi activités les plus développées de la région. L'agriculture y est également très prospère. Près de la moitié des terres cultivées est consacrée à la culture du blé. La région est également connue par de la betterave à sucre, du maïs et du tournesol. Elle fournit près de 73% de la production nationale du tournesol et près de 30% de celle du maïs et une part considérable de fruits et de légumes. Elle est placée en deuxième rang après la région de la Mer Noire