Bhopal

sa notoriété laisse cependant à désirer, notamment en Inde où son nom est associé à l’un des accidents d’industries chimiques les plus importants au monde, la catastrophe de l’usine 5 Le Mouvement olympique. CIO, Lausanne, 2001 19 de Bhopal qui a tuée près de 20 000 personnes en 1984. Des associations, soutenu par le CNO indien, s’en sont prise au CIO, invoquant la charte éthique olympique et appelant au boycott des JO mais le comité organisateur a estimé que cette affaire était réglée

sont aussi un facteur de risque. Le plus important pour les années qui viennent est sans doute lié à la maîtrise de l’eau (là encore l’exemple du proche Orient est significatif). Il existe d’autres risques écologiques illustrés par la catastrophe de Bhopal en Inde, ou par les problèmes des navires battant pavillon de complaisance. Les mouvements migratoires, qui résultent directement du déséquilibre mondial entre riches et pauvres, constituent aussi un facteur de risque pour les pays riches. L’immigration

place sera balayé. Ex : Indiens aux USA. _ atteinte à l'environnement : pas de respect pour les règles environnementales. Elles sont prêtes à payer pour exister et pouvoir polluer. Pas de soucis de l'environnement et de l'être humain. Ex : affaire Bhopal en Inde. c. Le changement de noms des firmes Le meilleur exemple est la marque Esso mais le nom mondial est Exxon. La firmes Esso dans les 70's s'est aperçu qu'elle vendait très peu de pétrole en Inde. PK? En indie, "esso" veut dire "porcinet"

de toute nature. Ces risques peuvent faire l’objet d’une première classification : - Risques de la vie quotidienne (s’ébouillanter ou s’électrocuter), - Risques naturels (tempête, inondation, séisme), - Risques technologiques (Tchernobyl, Séveso, Bhopal), - Risques conflictuels (guerre, attentat et terrorisme), - Risques de transports (accidents routiers, aériens, maritimes). Toutefois, cette typologie ne permet pas de distinguer les risques courants de ceux qu’on nomme majeurs. Le risque majeur

diminuent la résilience de la planète ou encore le changement climatique dû aux émissions de gaz à effet de serre et de manière générale la pollution due aux activités humaines. Les catastrophes industrielles de ces trente dernières années (Seveso (1976), Bhopal (1984), Tchernobyl (1986), Exxon Valdez (1989), etc.) ont interpellé l'opinion publique et les associations telles que le WWF, les Amis de la Terre ou encore. Au problème de viabilité subsiste une pensée humaine à adapter. Ce qui s'ajoute à un problème

morts 1982 : explosion d’un silo près de Metz ; 12 morts © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. A NOTIONS DE BASE 11 1984 : explosion d’un réservoir de gaz liquéfié au Mexique ; 6 500 morts 1984 : accident de l’usine chimique de Bhopal (Inde) ; plus de 2 500 morts et plusieurs dizaines de milliers d’intoxications 1986 : explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl (Ukraine) ; plusieurs dizaines de morts et plusieurs milliers de personnes irradiées 1989 : naufrage du pétrolier

Machhu (Inde) ; 30 000 morts © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. 1982 : explosion d’un silo près de Metz ; 12 morts 1984 : explosion d’un réservoir de gaz liquéfié au Mexique ; 6 500 morts 1984 : accident de l’usine chimique de Bhopal (Inde) ; plus de 2 500 morts et plusieurs dizaines de milliers d’intoxications 1986 : explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl (Ukraine) ; plusieurs dizaines de morts et plusieurs milliers de personnes irradiées 1989 : naufrage du pétrolier

l’éthique s’impose-t-elle de plus en plus ? La législation devient plus répressive dans les pays industrialisés et même dans certains pays émergents. Le président de Union Carbide a été impliqué par le gouvernement indien à la suite de la catastrophe de Bhopal. La firme et ses dirigeants deviennent réellement responsables des conséquences sociales de leurs décisions. Par exemple, les fautifs sont punis par la justice lorsque se produisent des accidents corporels dus aux machines ou provoqués par les produits

ressources économiques, sociales, culturelles d’une société, notamment celle des groupes les plus vulnérables ». A) Une représentation du concept Face aux catastrophes industrielles qui n’ont cessé de se multiplier (Tchernobyl, Seveso, Bhopal, Exxon Valdez,…) et aux échecs sociaux du développement néo-libéral, le concept de développement durable se veut un processus de développement qui concilie l’écologique, l’économique et le social et établit un cercle vicieux entre ces trois pôles

couche d’ozone, de l’effet de serre et de la pollution extrême dans les grandes villes. À cette crainte se joint périodiquement de grandes catastrophes. Trois grandes catastrophes dues à l’erreur humaine ont eu lieu depuis trente ans. On parle de Bhopal en Inde en 1984 où des émanations de gaz toxiques tuèrent plusieurs milliers de personnes. Peu de temps après en 1986, c’est un réacteur nucléaire qui explose à Tchernobyl en Ukraine. Une autre catastrophe écologique prouvera que ce genre de chose