Bhopal

| Arabie saoudite | 261 |   | Valence | 1 759 485 (2009) | Espagne | 262 |   | Lyon | 1 757 180 (2010) | France | 263 |   | Ujung Pandang (Macassar) | 1 754 645 (2008) | Indonésie | 264 |   | Rabat | 1 754 425 (2010) | Maroc | 265 |   | Bhopal | 1 751 766 (2009) | Inde | 266 |   | Sendai | 1 749 503 (2010) | Japon | 267 |   | Nashik | 1 742 343 (2009) | Inde | 268 |   | Xinyang | 1 732 926 (2010) | Chine | 269 |   | Monrovia | 1 732 524 (2009) | Libéria | 270 |   | Vitoria | 1

important, les travaux de la Commission mondiale de l’environnement et du développement ont été marqués par deux catastrophes environnementales et humanitaires majeures qui font aujourd’hui partie de l’histoire de l’humanité : la catastrophe survenue à Bhopal en Inde (1984), provoquée par une fuite de gaz toxique dans une usine de pesticides, qui a causé la mort de milliers de personnes et blessé des centaines de milliers d’autres, de même que l’explosion d’un des quatre réacteurs de la centrale nucléaire

entreprises s’enracine dans la conjonction de divers mouvements : à partir des années 1970, la guerre du Vietnam, la politique de l'apartheid en Afrique du Sud, les accidents environnementaux (catastrophe de Seveso, explosion de l'usine chimique de Bhopal, marée noire de l'Exxon Valdez, etc.) et les problématiques écologiques (réchauffement de la planète, destruction de la couche d'ozone, déforestation, etc.), mais aussi le désinvestissement des pouvoirs publics et la globalisation des échanges font

tiers-monde car ces pays pour résoudre leur chômage de masse sont plus disposés à fermer les yeux sur les conséquences de la pollution de ces usines ce qui entraîne des situations comme Villa Parisi (la ville la plus polluée au monde) ou la catastrophe de Bhopal. De plus, ces individus ont moins de connaissance sur les risques qu'ils encourent et /ou n'ont pas les ressources financières pour consommer des produits qui ne présentent pas de risques pour leur santé. Mais très rapidement par un "effet boomerang"

quantités de gaz polluants et de poussières toxiques à l'origine du smog. La position topographique de la ville au fond d'une cuvette aggrave encore les effets de la pollution, notamment par temps calme. Les risques technologiques sont présents aussi. Bhopal, en Inde, a subi, le 3 octobre 1984, une grave catastrophe industrielle. Du gaz très toxique s'est échappé d'une usine de pesticide appartenant au groupe américain Union Carbide, dans la capitale de l'État du Madya Pradesh. L'accident a entraîné 3

En effet, les pays du Nord délocalisent leurs activités dangereuses et polluantes dans les pays du Sud (où la législation concernant la sécurité est plus indulgente). Par exemple, en 1984, l’usine de la firme américaine Union Carbide installée à Bhopal, en Inde, explose faisant de 4000 à 6000 personnes. Il devient clair que les outils de lutte contre les risques n'auront de sens que s'ils sont institutionnalisés à un niveau mondial. L'échec de la conférence de Copenhague de 2009 sur le climat

Toxoplasme et toxoplasmosis B.Fortier, A.Dao, F. Ajana EMC, Maladies infectieuses, 8-509-A-10, Pédiatrie, 4-330-A-10, 2000, 13p Réf 3 : Toxoplasmosis J.G Montoya, O Liesenfeld The Lancet, 2004 : 1965-76, 363p Réf 4: Pathogenesis of toxoplasmosis Bhopale G.M Comp.Immun.Microbiol.Infect.Dis, 26, 2003: 213-222 B.Sites web http://www.cdc.gov/ncidod/dpd/parasites/toxoplasmosis/1 http://www.infectiologie.com/public/documents/consensus/toxo-93.htm2 http://www.uvp5.univ-paris5.fr/campus-parasitologie/cycle23

CONCLUSION INTRODUCTION Chacun garde en mémoire les dégâts lies à la catastrophe de Tchernobyl ou les dommages causés par les cyclones en Asie. De nombreuses catastrophes technologiques ont marqué le XXème siècle. Chacune de ces catastrophes (Bhopal, Three Mile Island) renvoie aux défaillances possibles de notre système industriel, car le risque zéro n’existe dans aucun domaine. Ainsi, face à l’inconnu, toute innovation devrait apporter la preuve de son innocuité avant d'être mise en service

Les aléas de l'éthique L'éthique est à la mode, trop peut-être. Comme le montre une enquête exclusive menée auprès des ingénieurs centraliens, à force de jouer sur les mots, les entreprises perdent leur âme, et les salariés leurs repères. Non à Bhopal, Enron et aux délocalisations sauvages? Le 18 décembre dernier, jour de la remise des diplômes, la moitié des 430 étudiants du MBA de l'Insead signait un « pacte » où ils s'engageaient à tenir compte « des conséquences sociales et environnementales »

populations et l’environnement dans l’UE, sont de nature diverse. Il peut s’agir tout d’abord du risque d’accidents majeurs liés à l’existence d’installations dangereuses utilisant des substances radioactives chimiques ou biologiques. Les catastrophes de Bhopal en Inde en 1984, de Tchernobyl en Russie en 1986, de l’usine AZF de Toulouse en 2001 et l’accident nucléaire de Tokyo en le 11 mars 2011 sont là pour nous le rappeler. Il peut également s’agir de produit contenant de substances qui en raison de