Biais cognitif

Cahier des charges Présentation du projet Objectifs : Cognitif : faire connaître Conatif : faire agir Affectif : faire aimer Cognitif : Améliorer la relation entre le lycée et la presse locale, et avec tous les parents susceptibles d’envoyer leurs enfants au lycée. Conatif : Inciter les élèves et les parents à prendre connaissance des actualités du lycée et à s’investir dans la vie du lycée. Affectif : Développer sa notoriété et améliorer l'image

avec le souci de la protection de l'environnement et des populations, non constatable dans les pays en voie de développement…en théorie. Partie 1 : L'apprentissage cognitif par l'expérience solidaire : définition de concept I. La quête de connaissance a- La dualité cognitif / affectif b- Acquisitionnisme et biais du cognitif c- L'Homme et la curiosité II. L'Homme et le rapport à autrui a- Le Besoin de rencontre et d'échange b- L'Homme contemporain et la solidarité III. Le concept d'expérience

l’induction comportementale et de la négociation. La persuasion au sein des organismes sociaux peut s’effectuer à différents niveaux. Grâce aux déterminants cognitifs, comme le biais de savoir si la personne est perçue comme ayant une expérience précédente dans le domaine (par exemple un expert en construction de bâtiment)

l'économie du bonheur. Ses principales découvertes sont les anomalies boursières et les biais cognitifs et émotionnels qui les causent. Amos Tversky, expert en psychologie mathématique et Daniel Kahneman, expert en psychologie cognitive, développent ensemble des applications des mathématiques à la psychologie et l'économie. Ils ont attribué les effets de la rationalité limitée à une série de biais cognitifs, en même temps qu’ils fondaient une nouvelle discipline : l’économie comportementale qui

représentations sociales en Psychologie Sociale, de la discrimination en Sociologie…. Passionné par la prestidigitation, les questions autour des apparences sont très présentes dans les Arts Magiques qui empruntent à des fins de divertissement les mêmes biais cognitifs, produisent des illusions à partir de nos mécanismes de perception et de représentation. Si les problématiques liées à l’apparence physique sont aussi anciennes que l’Humanité , la question revêt une acuité encore plus marquée dans notre civilisation

que le vrai contenu. Il est donc plus probable de tomber sur de la désinformation que sur une information vérifiée. L’algorithme des réseaux sociaux ne va que’ afficher du contenu qui va dans notre vision des choses. À cause de notre biais cognitif et de notre biais de confirmation, on aura tendance à retenir les informations qui confirment nos idées acquises et pas du contenu qui montre un autre point de vue que le nôtre. Nos idées sont donc radicalisées par l’algorithme des réseaux sociaux. Les

arguments qu'il profère peuvent passer pour des manipulations supplémentaires. La certitude préalable de l'existence d'un complot implique l'analyse de toute information et de tout fait au travers du prisme de cette théorie du complot. Ce biais cognitif est nommé biais de confirmation d'hypothèse. En outre, à cause d'un défaut de distinction entre les données exploitées et leur mise en relation, le simple fait que des données authentiques soient « insérées dans la trame » de la théorie du complot peut

domaine du concevable qui est de nature à engendrer de nouvelles croyances (la science-fiction). La science inspire au sens commun des croyances inédites à cause de la complexité de ces énoncés. Beaucoup de croyances erronées sont dues à des biais cognitifs c’est-à-dire à des façons de fonctionner propre à l’esprit humain. Le prestige que la science à acquit dans la société confère au scientifiques un crédit, une confiance qui est important et dont certains abuse pour diffuser des croyances fausses

externes n’est pas nécessairement dédiée à un achat en particulier. L’acquisition d’informations, qu’elle soit active ou passive, est permanente, particulièrement pour les produits qui intéressent l’acheteur. 3. raisonnements, jugements et biais cognitifs L’activité délibérative suppose la mise en œuvre de mécanisme psychologiques, tels que les raisonnements ou les jugements, capables de contribuer à la prise de décision ou à la résolution de problème. 3.1 Les raisonnements Les formes de raisonnement

L’information est un facteur essentiel du processus de décision 2) La qualité des systèmes d’information s’améliore et favorise le processus de décision III. Le système d’information ne peut être le seul facteur du processus décisionnel 1) Des biais cognitifs et des comportements humains qui ne sont pas pris en compte dans les systèmes d’information 2) La nature du système d’information influence la pertinence des décisions 1 Année 2009 - 2010 INFLUENCE DES SYSTEMES D’INFORMATION SUR LE PROCESSUS