Bibliothèque rouge

Germinal, ZOLA Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucun ombre

.Description de œuvre La scène se passe dans un grand appartement de Paris. Trois hommes s'affairent à raboter le parquet, comme le suggère le titre du tableau lui-même. Le dos nus, ils sont agenouillés de façon à ce que l'on ne distingue que partiellement leurs visages. On remarque tout de suite que l'un d'eux est isolé sur la gauche, contrairement aux autres, il est disposé parallèlement à l'arrière plan. Ces coéquipiers, plus en avant lui tournent le dos et semblent discuter entre eux. La séparation

l’avait détruit, mais quelqu’un d’autre, c’était comme s’il avait vu à travers les yeux d’une autre personne. Il s’était réveillé au moment ou ses yeux s’étaient posés sur une plaque de verre, reflétant l’image d’un horrible visage blanc aux yeux rouge sang. Il était quelque peu secoué, mais se rendit vite compte qu’il n’était pas le seul à avoir été atteint ; Ses jouets et autres roulaient sur le sol, ça et là. Il étouffa un cri avant de s’apaiser. A partir de ce moment, il avait commencé

Visites de M. Caignet et de l'abbé Mathieu Le film d'Alain Corneau, Tous les matins du monde, réalisé en 1991 et qui est l'adaptation du roman de Pascal Quignard, met en lumière la représentation du pouvoir, et non le pouvoir en lui-même – celui du roi soleil. En effet entrent en scène Gabriel Caignet et l'abbé Mathieu, chargés de quémander à Sainte Colombe sa venue à la cour. Or, cependant que Quignard traite cet épisode tout en tragédie et compassion pour le janséniste, le ton est beaucoup plus

Gustave Flaubert L’Éducation sentimentale  Histoire d’un jeune homme Édition « Le livre de Poche » Présentation générale L’Éducation sentimentale est un roman du dix neuvième siècle écrit par Gustave Flaubert. Il est le fruit de trois essais que celui-ci avait écrits dans sa jeunesse et présente de nombreux éléments autobiographiques. Plusieurs passages du roman font référence à un épisode de sa vie . Il raconte l’histoire d’une vie qui s’étend de 1840 à 1863, c’est l’œuvre d’une

Otto Dix, les Joueurs de Ska Intro : Otto Dix à peint « Les joueurs de Skat » en 1920. Il y montre sa vision de la guerre. Biographie : -Otto Dix est né en 1891 en Allemagne et est mort en 1969. Il a fait des études d’art à l’Ecole des Arts décoratifs. Il s’est engagé comme soldat volontaire pendant la première guerre mondiale. Cette expérience traumatisante, qu’il qualifie d’œuvre du diable, lui inspirera la majorité de ses tableaux. Il a peint de nombreuses œuvres sur ce thème

c’est au tour d’Agnès d’apparaître et elle est habillée avec une robe bleue. La couleur renvoie à la vierge Marie, à la virginité. Ses cheveux sont tressés, elle tient son panier d’ouvrages en osier à la main et rouge à l’intérieur. Ce dernier objet est symbolise la sexualité et le rouge l’amour. Enfin, Horace arrive avec un costume gris, une chemise violette, de petites lunettes rondes et une bague à l’annulaire gauche pour demander de l’argent à Arnolphe. Il est assis sur la valise (fauteuil)

). Mais enfin, me dira-t-on, n'y a-t-il aucune nuance de rouge qui vous paraisse rouge ? Il m'est impossible de répondre à cette question, car je n'ai aucun moyen de savoir ce qu'est le rouge pour un oeil normal. Pour moi, c'est une sorte de noir clair, assez agréable mais pas voyant du tout. Je ne distingue pas la viande bleue de la viande cuite à point, une tomate mûre d'une tomate verte, je ne peux pas savoir si une femme met du rouge à lèvres (...). Extraits de Sciences et Vie junior. Dossier

mysticisme que Teresada véhicule. En second lieu, dans la représentation nous remarquons une certaine importance des couleurs. Il n’y a que trois couleurs qui apparaissent : le blanc, le noir et le rouge. Ces couleurs symbolisent l’amour mystique, le désir que Teresada éprouve dans le cas de la couleur rouge. Dieu dans le cas de la couleur blanche et le noir représente ce sentiment de révolte que Teresada ressent. Cela nous ne pouvons pas le percevoir dans le texte, car il ne s’agit que des diverses

valeur de l’arlequin. Il est très fin, aussi bien que dans sa structure que dans les traits. Il porte un chapeau blanc en demi-lune et une collerette noire peut être en tulle qui encadrent son visage qui lui est indécis. Il a pour bouche une « tache rouge ». Ses mains et ses pieds sont assez gros par rapport au reste du corps très fin. Vers la fin des années 1880, Paul Cézanne réalise une série de trois tableaux et plusieurs dessins sur le motif du carnaval représentant son fils et l’un de ses amis