Bienveillance

devant tout désir, peur, etc. Dans le bouddhisme, ce terme traduit le sanskrit upekṣā (upekkha en pāli). L'équanimité est un des Quatre Incommensurables que développe la bodhicitta. Dans ce contexte on l'entend comme impartialité, l'intention de bienveillance étant égale envers un proche comme envers un inconnu ou même quelqu'un de malveillant à notre égard. Elle nous permet d'être avec ce qui existe sans être perdu ou désespéré, sans prendre les choses personnellement ; c'est l'acceptation totale de

tout au lond du texte ne fait pas d'elle une silhouette dominatrice. Au contraire, elle agit dans le don, marqué par le participe présent "distribuant", et tenant des "grappes d'enfants": importance de la métaphore. Elle est donc marquée par la bienveillance et le don de soi aux enfants, ce qui illustre la 1e phrase du passage. C/ Un statut mythologique. La fécondité: adverbe "abondamment"; les nourrices portent des "cocons". D'ailleurs, sa maternité est reproduite par son aînée qui a six enfants

qu'une toilette qui est considéré comme un soin de confort pouvait être très inconfortable pour certains patient. Ce qui m'a dérangé dans cette situation, c'est que j'ai eu le sentiment que ce soin, se situe plus dans de la maltraitance que dans la bienveillance par rapport aux dires de Mme B. De ce fait, je me suis questionnée sur comment un soin normalement bienveillant pouvait engendrer une certaines forme de matraitance? En tant que soignante, ce soin était très frustant car notre objectif était de

que pour pouvoir agir de façon moral face à une situation, il faut que la personne impliquée soit désintéressé, ses sentiments doivent être calme, elle doit pouvoir appliqué le principe de généralité et finalement faire preuve d’un sentiment de bienveillance, tout cela, dans le but de devenir un spectateur judicieux et impartial. Si une personne réussit à remplir tous ces critères, c’est qu’elle sera apte à pouvoir faire un jugement moral, ce qui implique que c’est personne aura agis de manière morale

le dernier extrait, on a l'impression que la nature veille sur le soldat, qu'elle est presque sa mère. En outre, il est écrit quelques vers avant «pâle dans son lit vert», une métaphore qui renvoie encore une fois au thème de l'enfance et de la bienveillance maternelle. Il utilise également un oxymore «la lumière pleut» pour décrire le fait qu'il y ait beaucoup de lumière de façon poétique et originale. On peut également considérer «Les parfums ne font pas frissonner sa narine» comme un euphémisme

La politesse, une bienveillance quotidienne Dans une société qui prône la solidarité, on peut s'étonner de la rareté de la politesse, même basique, alors qu'elle est peut être le début de tout. Bonjour, au revoir, merci. C'est misérablement peu ambitieux comme programme mais force est de constater qu'il n'est pas toujours tenu. Loin des livres de savoir-vivre apprenant à s'adresser à un baron, à se servir de ses couverts dans le bon ordre, ou à tenir une correspondance dans les règles de

SOMMAIRE Introduction ................................................................................................................. p. I. La bienveillance comme fondement du dispositif .................................................... p. II. Les défaillances du mécanisme ............................................................................. p. Conclusion .......................................................................................

La bienveillance de Titus Bibliographie : I- Source : - Suétone, Vie de Titus, trad. H. Ailloud, Paris, Collection des Universités de France, 1932. II- Manuels et ouvrages généraux : - Briand-Ponsart C. et Hurlet F., L’Empire romain d’Auguste à Domitien, 31 avant J.-C – 96 après J.-C., Paris, 2001. III- Ouvrages spécialisés : - Jones B. W., The emperor Titus, Londres et Sydney, 1984. - Selon Suétone (Vie de Vespasien, 25), Vespasien aurait déclaré au Sénat « que ses fils lui succèderaient

dès son enfance, avait été un modèle de douceur, de bonté et de caractère égal ; et Pierre s'était énervé, peu à peu, à entendre vanter sans cesse ce gros garçon dont la douceur lui semblait être de la mollesse, la bonté de la niaiserie et la bienveillance de l'aveuglement. Ses parents, gens placides, qui rêvaient pour leurs fils des situations honorables et médiocres, lui reprochaient ses indécisions, ses enthousiasmes, ses tentatives avortées, tous ses élans impuissants vers des idées généreuses

dès son enfance, avait été un modèle de douceur, de bonté et de caractère égal ; et Pierre s'était énervé, peu à peu, à entendre vanter sans cesse ce gros garçon dont la douceur lui semblait être de la mollesse, la bonté de la niaiserie et la bienveillance de l'aveuglement. Ses parents, gens placides, qui rêvaient pour leurs fils des situations honorables et médiocres, lui reprochaient ses indécisions, ses enthousiasmes, ses tentatives avortées, tous ses élans impuissants vers des idées généreuses