Bilan Moral Du Génocide Juif

traumatisme liée aux souffrances de l'occupation, physiques (des morts, des pénuries alimentaires...) et morales (la peur omniprésente des pillages, des rafles, du STO, de la "politique des otages"...) - le traumatisme lié à la politique de collaboration menée par le régime de Vichy - le traumatisme lié à la SHoah et à la participation des autorités françaises (police, RATP, SNCF) au génocide des juifs (rafle du Vel' d'Hiv") - un traumatisme si puissant qu'il empêche l'émergence d'une mémoire objective

publié en 1977 le livre noire du communiste, la préface faite par Stéphane Courtes et plaide pour un « Nuremberg du communisme » la même démarche qui avait été prise contre le régime nazi mais pour le communiste, et il parle de génocide de classe et met en parallèle le génocide de race. Son avis n'est pas partagé par les autre écrivain de se livre : Nicolas Werth (spécialiste du communisme) et Philippe Barrin (spécialiste nazisme) qui dans cet ouvrage il question la place du dictateur et la violence

L’état d’Israël est situé sur la côte orientale de la Mer Méditerranée, entre l’Egypte et le Liban. Sa création remonte à mai 1948 suite au plan de partage de la Palestine par l’Organisation des Nations Unies (ONU). Il se définit comme l’Etat du peuple juif, héritier de l’Israël biblique. C’est le seul pays au monde où l’Hébreu est la langue officielle, même si l’Arabe y est également parlé. L’état d’Israël s’étend sur 21 000 km2. Sa capitale est proclamée comme étant la ville de Jérusalem (en dépit de

même système concentrationnaire. C’est une vue de l’esprit qui déforme la réalité sous couvert d’exaltation de l’unité nationale d’une République une et indivisible. 1.3.2. La mémoire officielle écarte la spécifcité du génocide des Juifs. Le silence des survivants du génocide « Les déportés de la Résistance qui reviennent sont infiniment plus nombreux (40 000 contre 2500 Juifs). Certains sont des personnalités du monde politique d’avant-guerre ou font partie des élites de la République ; ils écrivent

bombardements stratégiques (p. 94-95) Les progrès techniques autorisent de nouveaux objectifs stratégiques. Les sous-marins font des ravages dans les convois ennemis. L’aviation bombarde les armées, mais aussi les usines et les civils pour briser le moral de l’adversaire. La radio donne lieu à une guerre des ondes. Les chercheurs inventent de nouvelles armes comme les V2, des bombes volantes, et le radar qui permet à l'Angleterre de gagner la bataille des airs en 1940. Les Etats-Unis mettent leur

métier d’historien répond à d’autres exigences : il implique une mise à distance du passé afin de replacer les faits historiques dans le contexte qui leur donne sens. L’historien se place sur le terrain de la connaissance, et non pas sur celui de la morale ou de la justice (d’où les réserves émises par certains historiens sur les enjeux du procès Papon). Confondre l’histoire et la mémoire exposerait au double danger de la sacralisation et de la banalisation du passé : comme le montre Tzvetan Todorov

encore une guerre brutale voire d’anéantissement avec l’emploi de gaz lors de la Première Guerre mondiale, de l’arme atomique pour la Seconde Guerre mondiale. Les morts se comptent par dizaines de millions pour les militaires et les civils, et des génocides cherchent à réaliser l’extermination complète de populations : (Arméniens et Assyro-Chaldéens lors de la Première Guerre mondiale, des Juifs et des Tsiganes lors de la Seconde). Les sociétés ont été profondément transformées par ces conflits

immense traumatisme physique et moral 1/ L’expérience de la souffrance 2/ L’expérience de la brutalisation 3/ Tenir au front C /Une implication plus grande des civils III/ La Seconde Guerre mondiale : une guerre d’anéantissement A/ Les facteurs de l’anéantissement 1/ La dimension idéologique du conflit 2/ De la guerre éclair (Blitzkrieg) à la guerre totale B/ La radicalisation de la violence C/ Les civils au cœur de la violence de guerre D/ Le Génocide des juifs et des tziganes d’Europe

réalise « Nuit et Brouillard ». Inauguration du Tombeau du Martyr juif inconnu. Procès d’Adolf Eichmann en Israël. Claude Lanzmann réalise « Shoah ». Procès de Klaus Barbie en France. Loi Gayssot contre le négationnisme. Création d’une journée de commémoration de la rafle du Vel d’Hiv (16 juillet). 1995 : Jacques Chirac reconnaît la responsabilité de l’État français dans la déportation des Juifs. 2005 : Le Mémorial du Martyr Juif devient le Mémorial de la Shoah 2007 : Hommage aux « Justes » de France

communismes et révolution mondiale V. Fascismes (Italie, Allemagne) De 1934 à 1948 : Fascismes et antifascismes VI. Totalitarismes (Italie, Allemagne, URSS) VII. Luttes sociales et nouvelles alliances de classe VIII. Deuxième Guerre mondiale et génocide IX. Les résistances De 1889 à 1914, vers la catastrophe ? I. Deuxième révolution industrielle, idéologie du Progrès et mouvement ouvrier (Partie I) 1. Les origines de la Première Guerre mondiale Le XXe siècle peut être envisagé de plusieurs