Blaise Cendrars Contrastes

Hurni Sylvain semestre été 04 2ème année Littérature Française moderne III J. Meizoz Attestation La Banlieue de Paris Cendrars est un écrivain suisse dont la carrière s’amorce à Paris, à l’Hôtel des étrangers, et comme il tient à le préciser, dans la maison où fut écrit le roman de la Rose. Cendrars n’est pas un écrivain qui revendique une appartenance nationale, sociale ou littéraire. Sa volonté d’être au cœur du monde, son goût d’errance et de vagabondage, font de lui

qu’utilisent les 2 amants + terme « gare » plus explicite). --> Univers réaliste présenté par la sensibilité de celui qui regarde. b) Une description sensorielle Réseau de sensation - Vue qui repose sur 2 couleurs contrastées (rouge, noir) Contraste choquant car couleurs inhabituelles chez l’auteur qui préfère les demi-teintes (cf ramures grises) - Sensation tactile présente de manière soudaine et violente (v.7 « gifle)  Décor hostile - Sensation auditive agressive, brusque (« sifflent »

La forme est là encore respectée : alexandrins, deux quatrains, deux tercets, reprise de la rime. On peut parler d'un ton lyrique même si pointe la dérision, le poète n'évoquant que son amour immodéré pour la cigarette. C'est donc le lexique, contrasté, qu'il convenait d'analyser. Lyrisme : "résigné, sans espoir, à mon sort, en attendant la mort, dieux, méandre bleu, parfums mourants, rêves clairs". Parodie et dérision : "sornettes, cigarettes, pauvres futurs squelettes, cassolettes, des éléphants

terre La forme est là encore respectée : alexandrins, deux quatrains, deux tercets, reprise de la rime.On peut parler d'un ton lyrique même si pointe la dérision, le poète n'évoquant que son amour immodéré pour la cigarette.C'est donc le lexique, contrasté, qu'il convenait d'analyser.Lyrisme : "résigné, sans espoir, à mon sort, en attendant la mort, dieux, méandre bleu, parfums mourants, rêves clairs".Parodie et dérision : "sornettes, cigarettes, pauvres futurs squelettes, cassolettes, des éléphants

valses fantastiques Des éléphants en rut à des chœurs de moustiques. Et puis, quand je m'éveille en songeant à mes vers, Je contemple, le cœur plein d'une douce joie, Mon cher pouce rôti comme une cuisse d'oie. (1) Brûle-parfum Blaise Cendrars, Sonnets dénaturés, 1923 ACADEMIE MEDRANO A Conrad Moricand Danse avec ta langue, Poète, fais un entrechat Un tour de piste sur un tout petit basset noir ou haquenée(1)

les «symboles» ont des « regards familiers », « on devient sa propre centrale électrique…»; tantôt ce sont des associations d’idées qui font comme des « ondes » autour d’un mot et le prolongent (« parfums, couleurs, son ») ; tantôt ce sont des contrastes inattendus (« nuit » et « clarté »). La logique ordinaire n’a plus sa place dans ce monde de sensations où la raison obéit à l’intuition (l’« unité » est ainsi à la fois « vaste comme la nuit et comme la clarté»…); tantôt ce sont des rythmes

conquérants, José-Maria de Heredia, 1893....................................................... 19 -L'écolier, Raymond Queneau, XXème siècle.......................................................... 21 -Tu es plus belle que le ciel et la terre, Blaise Cendrars, 1924.................................. 23 -L'ombre des anges, Isaac Lerutan, 2009.................................................................. 25 Postface............................................................................

ingénieures - Ecoles paramédicales - Licences - Le DEUST ( diplôme d’études universitaires scientifique et techniques)Où passer son bac STL? Dans quels lycées?  Lycée Jean ROSTAND (Villepinte) - Lycée Léonard de Vinci (Tremblay) - Lycée Blaise Cendrars (Sevran)Les avis des profs: Selon notre prof de physique, la STL est une filière qui oriente plutôt vers les métiers scientifiques des domaines de la santé, de l’industrie ou encore de la recherche. Elle est beaucoup axée sur la pratique,

Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France (1913), le poéte Blaise Cendrars calque son écriture sur la vitesse du train qui le transporte. L'utilisation du vers libre et Ualternance de vers non-rimés suivent le rythme du train. « Et le sifflement de la vapeur Et le bruit éternel des roues en folie dans les orniéres du ciel Les vitres sont givrées Pas de nature ! » Extrait de La Prose du Transsibérien, Blaise Cendrars, 1913 Le poéte moderne remplit ainsi les fonctions qui ont toujours fait

laquelle il est obligé de multiplier les ronds de jambe. Dans cette offrande lyrique, dans cette utilisation de la poésie pour séduire une bien jeune et bien innocente jeune fille, la musique légère et sentimentale prend toute son importance. En contraste avec le bruit d'enfer de la locomotive, c'est sa voix douce qui résonne dans sa tête et son murmure qui se mêle désormais aux tournoiement d'images pour en devenir l'élément central. Conclusion Ce poème en forme de déclaration d'amour qui frise