Blaise Pascal Convaincre

principes, pour vouloir y consentir, qu'il serait ridicule que le coeur demandât à la raison un sentiment de toutes les propositions qu'elle démontre, pour vouloir les recevoir. [...] Blaise PASCAL Par quoi, selon Pascal, sont connus « les premiers principes »?  • Que sont « ces premiers principes »?  • Différences, selon Pascal, entre « les principes » et « les propositions »?  — Par quoi sont appréhendés « les principes »?  — Par quoi sont appréhendées « les propositions » ?  — Les différences sont-elles

Les pensées de Pascal : Blaise Pascal nait le 19 juin en 1623 à Clermont d’une famille appartenant à la noblesse de robe. Son père, est un magistrat lié avec les savants de l’époque, et s’installe en 1631 à Paris pour ce consacrer à l’éducation de son jeune et talentueux fils qu’est Blaise. L’enfant est passionné de sciences et découvre à douze ans, les premiers principes d’Euclide. Il inventera quelques années plus tard la première machine à calculer nommée Pascaline. L’étude de Jansénius sur

regard extérieure, « vierge » et sans apriori sur la civilisation qu’il découvre. Voltaire dans Micromégas nomme à de nombreuses occasion divers hommes de lettres, de sciences, savant ou philosophe que Voltaire cite. Parmi eux il y a : Euclide, Blaise Pascal, Derham, Lully, Jonathan Swift, Virgile, Swammerdem, Réaumur… Cela appuie les exemples qu’il nous cite tout au long de son roman et en nous parlant de personnage réel appuie la réalité du conte. Le texte est écrit par un narrateur extérieur

comiques, des utopies, des poèmes ou encore des essais. Il conviendra de se demander si les documents du corpus donneront tous la même image de l'homme. Ce corpus présente trois extraits d’œuvres et une peinture, un texte extrait des Pensées de Blaise Pascal paru en 1670, un autre extrait du Discours sur l'origine de l'inégalité de Jean-Jacques Rousseau paru en 1755, enfin le dernier texte est un extrait de Système de la nature ou Des lois du monde physique et du monde moral d'Holbach paru en 1770

« Les hommes n’ayant pu guérir la mort, la misère, l’ignorance, ils se sont avisés, pour se rendre heureux de n’y point penser » écrit dans ses Pensées Blaise Pascal, philosophe français du XVIIème siècle. Ainsi, pour ne pas y penser l’homme a développé un intérêt croissant pour les œuvres littéraires et les œuvres d’art, créant ainsi un nouveau divertissement. Mais dans quelle mesure les œuvres littéraires ou les œuvres d’art peuvent-elles nous aider à supporter notre misère ? Nous verrons d’abord

Questions transversales Sur les 3 Discours sur la Conditions des Grands Blaise Pascal Ces trois textes posthumes extraits de Discours sur la condition des grands, de Blaise Pascal, sont des discours qui argumentent sur « la condition des grands » en s'adressant directement aux lecteurs (« Vous, tenez,... ») éduqués voire érudits (la quasi-totalité de la population à l'époque de Pascal au XVIIème s, ne sait pas lire) et ne s’inclue pas lui-même dans sa thèse pourtant générale. Ainsi, il parle

c'est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers principes, et c'est en vain que le raisonnement, qui n'y a point de part, essaye de les combattre. » voilà ce que nous énonce Blaise Pascal, grand savant scientifique, dans ses Pensées, œuvre Posthume. Qualifié comme « l'homme de l'équilibre », Pascal cherche toujours un milieu entre la science et la raison. Pour lui, il existe des vérités, appelées vérité de cœur, qui servent de « base », d'appui, aux vérités de raisons, donc aux vérités

l’avenir. Nous ne pensions presque point au présent, et si nous y pensons, ce n’est que pour en prendre la lumière pour disposer de l’avenir. Blaise Pascal (1623 - 1662) : Pensées (n°172) Le présent ne nous intéresse plus. La conscience est toujours en avant d'elle-même, ou en arrière. Quel est le lien entre ceci et la conscience malheureuse ? Pascal part du principe que toutes les consciences ne connaissent pas la joie. Pour connaître celle-ci, il faudrait penser au présent, ce qui n'est jamais

Les Pensées sont une œuvre posthume de Blaise Pascal, issue de plusieurs papiers retrouvés et rassemblés après sa mort. Publiée en 1670, elle réunit des notes qu'il destinait à l'élaboration d'une Apologie de la religion chrétienne. Dès les premières lignes du texte, pascal souligne la complexité de l’homme : «quelle chimère est-ce donc que l’homme». Il suscite en effet à la fois admiration «quel prodige!» et effroi «quel monstre, quel chaos» , grandeur et misère. «Qui démêlera donc cet embrouillement

Le philosophe Blaise Pascal établit dans ce texte une séparation absolue entre la raison humaine et l'instinct, liée aux différences entre pensée et nature . Pascal pose tout d'abord le point de rupture essentiel qui s'établit entre les progrès de la raison d'un côté et la fixité de l'instinct de l'autre. Les effets du raisonnement augmentent sans cesse tandis que l'instinct demeure toujours dans un état égal, sans evolution dans le temps. Cette différentiation entre raison et instinct permet d'expliquer