Blaise Pascal Humanisme

que possède l’Homme, de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. Elle fait de l’Homme un sujet capable de penser le monde qui l’entoure, c’est en elle que prennent racines le sentiment de l’existence et la pensée de la mort. A ce sujet Blaise Pascal dans Les Pensées, nous dit que : « L’Homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; Mais c’est un roseau pensant. ». En effet, car si la conscience d’un être humain fait sa misère, elle fait aussi sa grandeur. D’autre part, on distingue

responsabilité de ce qu'il fait, de ces actions. Se connaître soi même : La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences. Blaise Pascal La connaissance de soi même est un ordre particulier de connaissance dans la mesure où, à son foyer même, le sujet connaissant et l'objet à connaître sont confondus, il est « juge et partie ». Cette difficulté centrale rend impérative une recherche

il y faut un certain courage, non retrouver généralement. Quand il s’agit de se faire une idée juste de soi se dresse alors un obstacle qui n’est autre que l’orgueil: ne pas supporter ce que nous sommes, de voir ce qu’on est. Dans Pensées de Blaise Pascal, ce dernier explique que certains aspects de toute personnalité sont detestables. Soit une pensée entre et elle peut alors devenir consciente; soit elle n’entre pas et on dit qu’elle est refoulée. Quand une pensée est refoulée, elle est consciente

Lors de notre vie, nous faisons abstraction de la mort qui nous est inconnue et qui peut nous inquiéter. Mais la mort est partie intégrante de la vie puisqu'elle la délimite. Ainsi vivre c'est nier la mort. Notre philosophie et actions sont réalisées car nous pourrions regretter le jour de notre mort de n'avoir pas vécu. Nous excluons la mort de nos pensées car elle serait alors un obstacle à notre bien-vivre. Or si nous étions destinés à ne jamais mourir, nous ne serions pas aussi pressés de vivre

Intro: Blais Pascal philosophe, mathématicien et écrivain du 17 ème siècle est né le 19 juin 1923. Il est l'inventeur de la machine arithmétique en 1642. Il est l'auteur du traité du vide ce qui lui permettra de confirmer son éxistance face à Descartes et Aristote . Le passege étudié est le 16 ème paragraphe 1er partie. Que souhaite donc prouver Pascal dans cette partie ? L'auteur dans ce passage démontre les erreurs des anciens car malgré leurs éxpériences ils pensaient que le vide était inexistant

En quoi Pascal n'hésite-t-il pas à dramatiser la situation ? Dans ce texte, le philosophe dramatise notre place respective dans l’univers, à cheval entre la grandeur et la petitesse: pris de vertige, c’est pourquoi nous cherchons le divertissement et le réconfort, moyen d’oublier notre faiblesse. Car c’est bien un univers immense qui nous entoure: « égaré dans ce canton », « petit cachot...» (gradation). Nous y sommes d’ailleurs perdus selon Pascal: « détourné », « égaré ». Piégés

La croyance en Dieu peut-elle s'accorder avec la raison ? « C'est le coeur qui sent Dieu, et non la raison, voilà ce que c'est que la foi : Dieu sensible au coeur et non a la raison. » Blaise Pascal La croyance en Dieu et la raison sont deux thèmes à priori opposés, les religieux et les athées sont en accord avec cela. La croyance est une façon de penser qui permet d'affirmer, sans esprit critique, des vérités ou l'existence de choses ou d'êtres sans avoir à en fournir la preuve, et

il prend l'excuse du temps pour inventer un arrangement avec son entourage. Dans ce cas, l'Homme est privé de la maîtrise du temps et cela crée un mépris chez lui, alors que cependant, il utilise le temps comme un échappatoire. D'autre part, Blaise Pascal, dans Pensées sur la religion dit que "Le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre fin.". Cela exprime un autre sentiment que l'Homme peut avoir face au fait que le temps passe. Ainsi, en vieillissant l'Homme peut regretter

Blaise Pascal « Disproportion de l’homme » (Pensées) Introduction · Dans les Pensées, œuvre posthume publiée en 1670, Pascal réunit les notes qu’il destinait à l’élaboration d’une apologie (= justification, défense d’une chose, d’une institution d’une personne) de la religion chrétienne. Exercé en tant que scientifique au maniement de la logique, Pascal a pris conscience lors de sa période mondaine (1651-1654) de l’intérêt de la rhétorique, pour persuader un interlocuteur libertin qu’il voudrait

Blaise Pascal (1623-1662) Pensées, fragment 347 de l'édition de Brunschwicg | | |"L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier | |s'arme pour l'écraser: une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait | |encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait | |rien.