Blanc Et Silence

transporte le lecteur en plein merveilleux et envoie à une réflexion sur la tension entre le silence et la parole qui assure le déroulement narratif des Mille et Une nuits. Une nuit de pleine lune, trois pèlerins, tous habillés en blanc, montent dans le taxi, désireux d’arriver plus tôt chez eux, à Marrakech. Voyageurs étranges, pense le chauffeur, puisqu’ils ne veulent pas parler mais garder un silence absolu et embarrassant. Arrivés à destination, le chauffeur constate qu’à la place des voyageurs

dejouant les attentesdu lecteur grâce à l'humour et avec légereté ? Plan possible : I - Le Centre: un lieu de transit. A - Vacuité de ce territoire 1) pas de couleurs franches, pour une zone pas vraiment franche. 2) Un territoire habité par le silence et l'absence. B - Un double aseptisé du monde terrestre. 1) Présence d'un quotidien vaguement familier dans une banalité 2) Un univers aseptisé II - Des personnages à l'identité indéterminée A - des patients/ clients fous pour cette zone de

l’Afrique du Sud et par lequel les dirigeants blancs imposent une ségrégation raciale à toute la population. Cette ségrégation se traduit principalement par une limitation des lieux de séjour des Noirs, de leurs lieux de travail, et plus généralement par une séparation systématique des populations issues des colons et des populations indigènes. Cette ségrégation eut bien sûr des effets désastreux sur la démocratie et l’égalité en Afrique du Sud : alors que les Blancs n’étaient que cinq millions, les gens

anglaise et lit un journal anglais, près d'un feu anglais. Il a des lunettes anglaises, une petite moustache grise, anglaise. A côté de lui, dans un autre fauteuil anglais, Mme Smith, Anglaise, raccommode des chaussettes anglaises. Un long moment de silence anglais. La pendule anglaise frappe dix-sept coups anglais. Mme. SMITH Tiens, il est neuf heures. Nous avons mangé de la soupe, du poisson, des pommes de terre au lard, de la salade anglaise. Les enfants ont bu de l'eau anglaise. Nous avons bien

Jeux littéraires et graphiques 1 Voyelles A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,Je dirai quelque jour vos naissances latentes :A, noir corset velu des mouches éclatantesQui bombinent autour des puanteurs cruelles,Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes,Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ;I, pourpres, sang craché, rire des lèvres bellesDans la colère ou les ivresses pénitentes ;U, cycles, vibrements divins des mers virides,Paix des pâtis

VOYELLES Le poème se compose de quatre distiques suivant l’ordre des voyelles présentées dans le premier vers. Analyse : « A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes : A, noir corset velu des mouches éclatantes Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, » · Que pouvez-vous remarquer dans la succession des voyelles telles qu’elles sont présentées ? Dans quel ordre avez-vous appris vos voyelles ? Contrairement à l’énumération

4 La conjecture à résoudre Soir. Bureau du notaire bureau. Appels simultanés (Jeanne/ Wahab)La jumelle Téléphone portable d'Hermile Lebel 5 Ce qui est là Aube. Forêt. Rochers. Arbres Nawal, Wahab. "Maintenant que nous sommes ensemble, ça va mieux" blancs. 6 Carnage Maison de Nawal Nawal (14 ans), Jihane 7 Un couteau planté dans Une chambre Nawal (15 ans) "L'enfance est un couteau que l'on vient de me planter dans la gorge". la gorge Nazira. Voix de Wahab Accouchement de Nawal. Le nez de clown dans

présentée comme « grande » : population de « cent mille habitants » * Vocabulaire employé : la géographie « ville », « population », « périphérie »...> aspect explicatif de cette description * Ville composée de 2 parties : celle des riches colons blancs & celle des indigènes = proletariat * « Ville blanche » organisée spatialement « la périphérie ; le centre ». Periphérie composée de plusieurs habitations (villas...) = partie de la ville la + spacieuse : anaphore de superlatifs « la plus large,

s’agit aussi pour Sartre d’exprimer ici une première ramification au sein du geste d’écrire qui se prolonge au niveau de la fonction de la littérature même. * « Il s’agit dès lors de savoir quel aspect du monde dévoiler, quel autre passer sous silence, quel changement apporter par cette action. » On le dit d’une certaine façon. C’est le style, « la valeur de la prose » qui doit arriver comme en plus, de façon transparente pour que le regard qui traverse les mots ne s’y arrête pas mais glisse

qu'il faisait jour, reprisait un chemisier étalé sur ses genoux. Puis, quand l'air s'était imprégné de l'ombre ultramarine, elle releva la tête, abandonnant son ouvrage, le regard perdu dans le lointain brumeux de la plaine. N'osant pas rompre son silence, nous lui jetions de temps en temps des coups d'oeil furtifs: allait-elle nous livrer une nouvelle confidence, encore plus secrête, ou bien, comme si de rien n'était, nous lire, en apportant sa lampe à l'abat-jour turquoise, quelques pages de Daudet