Blanc Et Silence

Dans la vie quotidienne ordinaire, le silence est quelque chose qui n’intéresse personne. On considère plus important de réfléchir, de créer, de faire des choses — autrement dit, de «remplir» le silence. En général nous écoutons un son, de la musique, des paroles mais pensons que dans le silence il n’y a rien à écouter. Quand personne ne sait quoi dire dans une réunion, les gens sont gênés, le silence met mal à l’aise. Pourtant des concepts comme le silence et la vacuité nous montrent une direction

à l’écoute du texte glissantien et par ricochet en tirer des corrélats avec celui de Mouloud Feraoun. C’est à travers une grille de lecture axée sur les travaux de Roland Barthes dans Le degré zéro de l’écriture que nous mettons en exergue le silence  et l’écriture blanche  qui est l’autre du texte de Mouloud Feraoun et a contrario, le cri du texte glissantien. Tâche ardue s’il en fût, cet exercice, en ouvrant au niveau de la quête plus de sa manière que de sa matière certains arcanes de l’univers

celle du silence. Dans cette chambre retranchée du monde, au-dessus de ce corps mort maintenant habillé, Rieux sentit planer le calme surprenant qui, bien des nuits auparavant, sur les terrasses au-dessus de la peste, avait suivi l'attaque des portes(1). Déjà, à cette époque, il avait pensé à ce silence qui s'élevait des lits où il avait laissé mourir des hommes. C'était partout la même pause, le même intervalle solennel, toujours le même apaisement qui suivait les combats, c'était le silence de la

attention à Pauline, elle est d'ailleurs repoussante d'après la description qui en est faite (« nez épaté », « membres courtauds », « gaucherie générale »). Ils ne sont que deux dans cette demeure vide, seul le chant du violoncelle de Pauline rompt le silence. Dans un mélange étrange de nausée et de désir, il se laisse guider par la musique. Là, il la trouve dans une pièce sombre. Il l'étreint avec force et l'écrase contre lui. Son corsage est défait à cause de la chaleur intense. Gerhardt Buheler est

relancent sans cesse, tout en prétendant |I2 Le teint rouge de Hamm et de Clov, le teint blanc de Nagg et Nell,| |-L’histoire drôle que Nagg ne cesse de ressasser et qui ne fait plus |vouloir l’interrompre en se quittant. Ils craignent, en fait, le |leurs gestes, leur parler, font penser à des numéros de clowns, | |rire que lui. |silence : « Je serai là, dans le vieux refuge, seul contre le |d’artistes de music-hall ou de

prêtes à tomber. Une petite porte, surmontée d’une grande croix de cimetière en bois blanc peint en noir, fut ouverte avec difficulté, et le portier le fit entrer dans une chambre sombre et basse, dont les murs blanchis à la chaux étaient garnis de deux grands tableaux noircis par le temps. Là, Julien fut laissé seul ; il était atterré, son cœur battait violemment ; il eût été heureux d’oser pleurer. Un silence de mort régnait dans toute la maison. Au bout d’un quart d’heure, qui lui parut une

Voyons ces deux aspects des choses en en espérant -avec Paul Virilio- la non-prolifération. « Communiquer » -explique très bien Albert Jacquard-, c’est constamment avoir la possibilité de se servir de ses cinq sens, voire d’user d’un sixième: le silence. Dès lors, la « communication » qu’on nous vante, qu’on nous vend, n’en serait pas une car, sur Internet, point d’odorat, ni de toucher, ni de goûter. D’une certaine façon, ce nouveau « médium » parachève l’évolution d’une société qui a déjà jeté

Persiennes-Jalousies Misez sur la gamme et l’expérience du premier fabricant français Persiennes métalliques Une ligne classique toute en astuces Férasca Tôle acier avec apprêt antirouille gris 95/100e ou 115/100e Couleurs en option Blanc 9010 Gris 7035 Crème 1015 Marron 8014 Vert 6005 Points forts • Adaptabilité • Ajourage à la demande • Vantaux en tôle d’acier électrozingué Couleurs en option, avec quantité minimale de 30 persiennes Gamme RAL La persienne Férasca

+ creux = creux = mouvement = ondes en phase - creux + sommet = "rien" = pas de mouvement = onde en opposition de phase De même, en interférences acoustiques, on peut avoir: - son + son = son mais aussi son + son = silence. Finalement, en optique on peut de la même façon observer: - lumière + lumière = lumière mais aussi lumière + lumière = obscurité. 2> Conditions d'observation: Les zones d'obscurité ne s'observent que sous certaines conditions très précises

était là qui pleurait. Nous le déshabillions en silence. Sa bouche, Pâle, s'ouvrait ; la mort noyait son oeil farouche ; Ses bras pendants semblaient demander des appuis. Il avait dans sa poche une toupie en buis. On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies. Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ? Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Disant : - comme il est blanc ! approchez donc la lampe. Dieu ! ses pauvres cheveux