Blanc Et Silence

à une vie de mensonges et de tromperies qui entâchera leur amour. Extraits. Toute leur enfance les a unis, l' adolescence les sépare. L' an passé, déjà, ils échangeaient des répliques aigres, des horions sournois; maintenant le silence, à tout moment, tombe entre eux si lourdement qu' ils préfèrent une bouderie à l' effort de la conversation. Je n' ai donc jamais su ce qu' elle pensait? Tais-toi, méchant, tais-toi. . . Qu' est-ce que tu m' as fait. . . Vinca

aujourd'hui conservé à la Gemäldegalerie neue Meister de Dresde, en Allemagne. I- Description détaillée de l'oeuvre Des soldats allemands se dirige vers le front avec casque, fusil et sac à dos, c'est l'aube, il y a une brume matinal. Impression de silence, les soldats avance d'un bon pas vaillant, près à partir au combat, ils ont du courage Charnier humain, entassment de corp déchiqueté, évissérés, mutilé et criblé de balle On a une impression de violence, d'horreur et de barbarie, Otto Dix

la nature. En 1910, couleurs et formes, déterminent des impressions particulières, véhiculent des sensations et des sentiments différents. Au bleu mystique et froid s’opposent le jaune chaud et agressif, le vert paisible, les différents silences des blancs et des noirs, la passion du rouge, couleurs qu’il met en relation avec ronds, triangles et carrés, lignes ouvertes ou fermées. Le spirituel est du ressort de la peinture qui agit  directement sur les sens et sur l’émotion. En 1921, critiqué

voyage De haut en bas, tantôt empli du bleu-gris moucheté de blanc Du paysage méditerranéen, avec un coin de ciel Pâle, tantôt C'est le ciel qui descend remplir le cercle, tantôt Je plonge dans une lumière glauque et froide, Tourbillonnante, et tantôt, d'un seul coup, Le hublot aveuglé de bave bondit s'éblouir en plein ciel blanc. Passe, sur cette ligne d'horizon toujours mouvante, Grand comme un jouet, un vapeur roumain, peint en blanc ; Il roule comme sur un chemin crevé de fondrières, et l'hélice

comme ému par les vents soulevés, Le sol roulait des flots de glèbe et de pavés ! Des clochers conduisaient parmi les plaines vertes Leurs hameaux aux maisons de plâtre, recouvertes En tuiles, qui trottaient ainsi que des troupeaux De moutons blancs, marqués en rouge sur le dos ! Et les monts enivrés chancelaient, - la rivière Comme un serpent boa, sur la vallée entière Étendu, s’élançait pour les entortiller… – J’étais en poste, moi, venant de m’éveiller ! Gérard de Nerval Poème classé

Dramatisation : o Cadre : « sol gelé » = mort ; o Focalisation interne « il lui semblait ; il ne pensait qu’à » + indirect libre vision subjective d’un homme qui risque de mourir = empathie o (vision déformée : « une voix résonna dans le grand silence de l’espace » = angoissant, vide, silencieux. + « il ne s’aperçu de rien » ; « une voix qui semblait venir de très loin » (hyperbole) + « on » indéfini = vision partielle o description des sentiments =/= réalisme : flou Scène réaliste mais

règlement d’ordre intérieur du lycée qui impose un code vestimentaire à ses étudiants. Une première dans l’enseignement officiel francophone. À la rentrée, les élèves devront porter du bleu marine uni pour les pantalons, les jupes et les cardigans, du blanc uni pour les chemisiers, les T-shirts, les polos et les sous-pulls. Longueur minimale de la jupe : sous les genoux. Le non-respect du code vestimentaire peut être un motif d'exclusion d'un élève. La nouvelle a suscité des protestations dans les

réflexion m'a-t-on dit… Je ne peux m'empêcher de vérifier la présence du souffre, du mercure, du sel, de l'eau, du pain, du coq, de l'inscription "VITROL" (« Visite l’intérieur de la terre, et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée »)… et ce SILENCE… Parce qu'ils symbolisent la mort, je suis mal à l'aise avec le crâne, la faux et le sablier... Puis je lis les messages sur le mur "si la curiosité t'a conduit jusque-là va-t'en…", "si tu persistes, les 4 éléments te feront découvrir la lumière"…

décrochais mes yeux de ma montre pour me servir un verre de Whiskey. Aux alentours de 1h15 je revins à ma chambre, l’esprit brouillé par le verre que je m’étais servi. Dans une totale noirceur, j’écoutais le bruit des secondes qui perçaient le silence comme les souvenirs, mon cœur. Les remords assaillaient mon esprit et des larmes perlaient sur mes paupières. Soudain, un craquement se fit entendre, puis une douce lumière blanche me sortit de ma noire torpeur. Je me retournai précipitamment.

la fin du roman, son ami Tarrou est touché lui aussi par la peste : il sera le dernier mort. Son agonie et l'impuissance du médecin donnent lieu à une scène particulièrement émouvante, qui est aussi l'occasion pour le narrateur de méditer sur le « silence de la défaite ». En quoi cette scène d'agonie dramatique prend-elle la dimension d'une réflexion sur l'homme ? Nous verrons tout d'abord comment le narrateur parvient à évoquer la mort de Tarrou et à dire ce qui semble « indicible ». Nous observerons