Blanc Et Silence

centre : Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés On voyait des clairons à leur poste gelés Restés debout, en selle et muets, blancs de givre, Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre. Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs, Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants, Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise. Il neigeait, il neigeait toujours ! La froide bise Sifflait ; sur le verglas, dans

observé des couleurs plutôt neutres comme le noir, le gris et le brun. Beaucoup de tables, de chaises et de bureaux de travail étaient placés un peu partout dans la bibliothèque. On observe que c’est vraiment un endroit pour travailler dans le silence et la paix. La température se situait aux alentours de 22 degrés Celsius. L’être humain est tout à fait confortable à cette température. Au cours de mon observation, j’étais atteint d’une grippe qui m’empêchait de capter les odeurs dans cet établissement

toujours passé. C’est comme une partie d’un rêve que j’ai pleuré pendant si longtemps. Tout le temps.Une sérénité qui flotte comme un mince nuage blanc, des problèmes qui me font verser des larmes, les deux sont liés à l’avenir précieux, et ainsi de suite...Même quand demain sera là, même quand je deviendrai adulte un jour, je suis sûr que je m’en souviendrai toujours Que vous étiez ici

que oui. » « Non. » « C’est un secret. » - Phrases longues et descriptives « […] en Afrique, des montages tellement hautes qu’il y neige tout le temps. […] la neige en Afrique qui tombe sur des lacs gelés. » « Il y a aussi des rhinocéros blancs qui traversent le lac, sous la neige. » - Répétition des phrases interrogatives et impératives : «Dis-moi ton nom », « Dis-le moi quand même », « Roberto quoi ? » - Parallélisme « Même si tu ne peux pas le dire, dis-le-moi quand même.

ralentit.Il n’y aucun souffle, aucune vie.Silence.Huis clos dans l’atmosphère…Nuages blancs, Vertige. Silence. Soudain un point fixe à l’horizon Silence. Le vide. Puis, Explosions. Winston Perez, 2008 Dépression Eclatement de la têteAujourd’hui la chaleur ne peut plus s’y engouffrerTorpeur, turpitude, esprit engourdiet englouti dans l’impasse de la vie.Je me sens coincée dans le malaise du silence,Posture suprême indigne sublime essentielleRetour de poussière dans ce vide ensoleillé

les flots extasiés De tes cheveux touffus et de tes derniers voiles, Les coussins attiédis, les draps aux fines toiles Baisent ton sein, fleuri comme un bois de rosiers ? Vois-tu, du fond de l'ombre où pleurent tes pensées, Fuir les fantômes blancs des pâles délaissées, Moins pâles de la mort que de leur désespoir ? Ou, peut-être, énervée, amoureuse et farouche, Pieds nus sur le tapis, tu cours à ton miroir Et des ruisseaux de pleurs coulent jusqu'à ta bouche.

Dans cet extrait, Julie de Chatillon, l'héroïne du roman, et son père assistent à la dernière parade commandée par Napoléon avant son départ en campagne. Nous sommes en 1813. "Le soleil du printemps, qui jetait profusément sa lumière sur les murs blancs bâtis de la veille et sur les murs séculaires, éclairait pleinement ces innombrables figures basanées qui toutes racontaient des périls passés et attendaient gravement les périls à venir. Les colonels de chaque régiment allaient et venaient seuls

poing levé en signe de protestation contre l'apartheid. À l’époque il y avait la ségrégation entre "blancs" et "noirs" qui ont opposé deux "race" durant des décennies. Dans le premier texte, P. Claude met en évidence qu'avant de conquérir la liberté, le sport peut permettre de réunifier deux peuples qui s'opposent. Pour les Sud-Africains les Springboks symbole durant plusieurs décennies des "blancs" d'Afrique du Sud et de leur domination durant l'apartheid. Il nait cher N. Mandela l’envi grâce à

fait la Maison du Rire et de l’Horreur, les Auto-Tamponneuses et toutes sortes d’autres manèges, mise à part les montagnes-russes. Pourtant, il y en avait, je les avais regardées tout le long de notre parcours, ce grand monstre de fer si beau, blanc et rose attirait mon regard à chaque fois que je regardais dans sa direction. Je me demandais si j’oserais demander à mon père d’y aller et ce qu’il me répondrait. Alors que nous allions partir, nous sommes passés devant. Je m’entendis dire « papa

langue : soutenu / courant / familier / incorrections grammaticales * Vocabulaire : riche / précis / pauvre / vague * Fonction phatique : modérée / excessive * Phrases achevées : oui / non * Prestation orale vivante : oui / non * Temps de silence, " blancs " : non / oui * Attitude face à l'examinateur : positive / volontaire / active ------------------ négative / défaitiste / passive   Entretien : note /10   Question n°1 (sur le texte, le groupement/œuvre, de culture générale) …………………