Blanc Et Silence

du Temple d’Edfou. Le Pavé Mosaïque : Au centre de la Loge, au sol est disposé un grand rectangle (appelé « pavé mosaïque ») constitué de  carrés noirs et blancs de 10 cm de côté en proportion de 9 x 12 = 108 cases, le côté le plus long étant dans l’axe du Temple :  Orient - Occident. La largeur possédant le plus de carrés blancs est placée du côté de l’Orient. La tranche du pavé mosaïque est de couleur rouge vermillon. Le tableau de Loge du premier grade ne fait pas partie de la décoration

LE PAVE MOSAIQUE Introduction : Je suis heureux, après plusieurs mois de silence et d’écoute de vous lire ce soir mon travail et mes réflexions sur le « Pavé Mosaïque », même si pour moi, il n’est pas chose facile de m’exprimer devant vous, mais il faut bien à un moment passer de l’ombre à la lumière ! Alors en espérant que le chemin parcouru soit suffisant pour quitter le grade d’apprenti, il m’a été proposé de travailler sur « le Pavé Mosaïque », et comme pour chaque travail de tenue

luire les grimoires ; Et les spectres de leurs mémoires Sont évoqués sur les parquets, Avec l’ombre de doigts marqués Aux murs de leurs chemises blanches, Et de griffes comme des branches.Le poêle noir frémit et mord Des dents de sa tête de mort Le silence qui rampe autour. Le poêle noir comme une tour Prêtant secours à trois guerrières Ouvre ses yeux de meurtrières.Roses de feu, blanches d’effroi, En longues chemises de cygnes, Les trois Filles, sur le mur froid Regardant grimacer les signes Ouvrent

votre choix (montage PowerPoint, Genially, Prezi, etc.).THÈMES· L’automne (la nature s’endort)  Autoportrait* · Ombre et Lumière (clair-obscur)  La famille · Couleurs vibrantes – Bling bling  Noir & blanc · Wouf, Miaou et cie  Contre-Jour* · Silence on tourne !  Dans ma tête · C’est drôle !  Nature morte* · Plongée ou contre-plongée*  Portrait [Plan américain] * · Au jeu !  Zoom * sur un souvenir d’enfance · Les souliers  Coucher

| |Tant je l'ai regardée caressée merveillée |Je reste là | |Et tant j'ai dit son nom à voix haute et silence |Tout seul avec le bruit des vagues | |Le chuchotant au vent le confiant au sommeil |Je vois de l'ombre

qui fait référence à la modernité ; et une architecture médiévale, dont font partie châteaux, tours et murailles. On distingue six diptyques poèmes / dessins évoquant l'architecture médiévale :  "Château abandonné" à la page 19  "Les Tours du silence" à la page 38  "Le Château d'If", à la page 96  "Les Tours d'Eliane", à la page 110  Les deux dessins composant la partie "SADE", et les deux textes d'Eluard s'y rapportant. Les titres de ces diptyques ont, apparemment, tous été choisis

Le hussard sur le toit Angelo le hussard aborde le hameau des Omergues. Une chape de chaleur et de silence étreint le paysage. Seules semblent vivantes les nuées d'oiseaux agglutinées sur les toits... Angelo partit à quatre heures du matin. Les bois de hêtres dont lui avait parlé le garçon d'écurie étaient très beaux. Ils étaient répandus par petits bosquets sur des pâturages très maigres couleur de renard, sur des terres à perte de vue, ondulées sous des lavandes et des pierrailles.

fouillis de vieilles vieilleries, De linges odorants et jaunes, de chiffons De femmes ou d'enfants, de dentelles flétries, De fichus1 de grand-mère où sont peints des griffons ; - C'est là qu'on trouverait les médaillons, les mèches De cheveux blancs ou blonds, les portraits, les fleurs sèches Dont le parfum se mêle à des parfums de fruits. - O buffet du vieux temps, tu sais bien des histoires, Et tu voudrais conter tes contes, et tu bruis2 Quand s'ouvrent lentement tes grandes portes noires

demi formée ; de grands cheveux blonds ombrageaient sa tête ; ses yeux bleus et ses lèvres de corail brillaient du plus tendre éclat sur la fraîcheur de son visage : ils souriaient toujours de concert quand elle parlait ; mais quand elle gardait le silence, leur obliquité naturelle vers le ciel leur donnait une expression d’une sensibilité extrême, et même celle d’une légère mélancolie. Pour Paul, on voyait déjà se développer en lui le caractère d’un homme au milieu des grâces de l’adolescence. Sa taille

qu'ensemble nous accomplissons, nous transformons une gestuelle banale en cérémonie. Il n'y a pas de cérémonie sans rituel. Lorsqu'un professeur veut se faire entendre d'une classe bruyante, il tape sur son bureau ou dans ses mains, pour obtenir le silence. Lorsque le Vénérable Maître et les Surveillants frappent leur plateau de leurs maillets, cela n'a rien d'utilitaire. Cela signifie seulement, sans discours et sans mots, que la cérémonie commence et que les rites étant accomplis, nous ne sommes plus