Blanche de Castille

jurisprudence. A cette époque des volumes d'interprétation de la loi vont ce dégager et on va les appelé « édit du préteur ». Lorsque s'ouvre l'année de son mandat il va publier l'édit du préteur qui est l'inscription sur une grande planche de bois blanche où il va peindre les formules, les actions en justices qu'il va délivrer. Il y a eu des répétitions des édits entre eux et cela a aboutit à un corpus d'édit. Il va y avoir une compilation finale des édicta praetorium qui va être faite en 131 ap JC

jour-là seullement, j'auray repos." Durant qu'ilz estoient en ces termes, vint nouvelles que le Roy de Grenade commençoit une grande guerre contre le Roy d'Espaigne, tellement que le Roy y envoya le prince son fils, et avecq luy le connestable de Castille et le duc d'Albe, deux vieilz et saiges seigneurs. Le duc de Cardonne et le conte d'Arande ne voulurent pas demorer et supplierent au Roy leur donner quelque charge; ce qu'il feit selon leurs maisons, et leur bailla, pour les conduire seurement,

........................................................ 674 Les caractères HTML spéciaux .................................. 679 Les feuilles de styles : CSS ........................................ 683 Index 693 Dédicace À Laurence et Marie-Castille. Introduction Les langages de programmation ...................................................................................... 14 Le PHP ....................................................................................................

portant sur des questions plutôt administratives ( VIème-IXème siècles ). Le sacre, pratiqué par les rois et empereurs carolingiens, à partir de 752, puis par les empereurs romains germaniques, les rois de France et ceux de Castille, parmi d’autres, donne un caractère religieux et sacré à la personne et à la fonction de roi et d’empereur. 2. L’empereur germanique L’empereur romain germanique[46] Frédéric Ier Barberousse fit reconnaître

campagnards à venir grossir les rangs de l’armée de libération », raconte le chroniqueur Mathieu Paris. Ils se retrouvèrent soixante mille, armés : glaives, couteaux, haches, javelots et poignards. La troupe marcha sur Paris, où la Reine-mère Blanche de Castille les fit recevoir avec les honneurs. Les petites gens leur firent un accueil enthousiaste : les bourgeois se tenaient à carreau ; l’autorité de l’évêque de Paris fut purement et simplement bafouée et celui-ci eut la prudence de rester caché.

temps. Au cours du XVIIIe siècle, seulement, les noms 71 Le Nouveau Monde et l’Europe d’« Espagne » et d’« Espagnol » acquièrent définitivement pour les Portugais, le sens politique, fréquemment défavorable qu’on donnait jusqu’alors à « Castille » et « Castillan ». Le contraste entre les deux peuples datait, en vérité, des temps lointains de l’indépendance nationale portugaise sous la maison de Bourgogne, et s’était accentué dès qu’à la fin du XIVe siècle une véritable révolution populaire

unité de comportement des Méditerranéens. - Proximité de la langue : langue d’Oc plus proche du latin que la langue d’Oye Cette distinction entre pays de droit romain et pays de coutumes a été affirmée très tôt par la monarchie. Dès 1251, Blanche de Castille alors qu’elle est régente dit que le Nord est régie par la coutume des Gaulois alors que le Sud est régie par le droit romain. Ce texte indique précisément qu’un juge royal doit appliquer le droit romain lorsqu’il a à connaître en appel d’un

croisade contre les albigeois. Les capétiens vont s'associer à cette croisade pour des raisons religieuses, mais avant tout pour des raisons politiques. A cette époque, on est au temps de la régence de Louis IX qui est trop jeune pour régner, Blanche de Castille règne, c'est elle qui s'associe à la croisade. C'est une croisade à bon marché, c'est la possibilité de récupérer tout le Sud-Ouest de la France. En 1215, le comte Raymond VI de Toulouse est déchu de toutes ses possessions et tous ses territoires

comme on peut les mesurer d'après la grandeur de l'ombre. La croyance répandue dans les pays du Nord que la « Fylgja » quitte celui qui la voit et lui ôte aussi la vie est aussi, d'après Rochholz, en rapport avec les contes de Mélusine, de la Dame blanche, d'Orphée, etc. L'amour de Fylgja pour son propre corps contient encore d'autres problèmes comme celui des fiançailles mystiques avec l'âme, etc. Cf. aussi, en ce qui concerne la croyance à l'ange gardien, F.-S. Krausz, Yreca, Glück und Schicksal

pour le gîte et la nourriture d’une nuit ; en qualité d’hôtes, au moins, les Normands mêmes sont obligés de contenir leur insolence. Allez, Hundibert, ordonna-til à une espèce de majordome qui se tenait devant lui avec une – 44 – baguette blanche ; prenez six domestiques et introduisez ces étrangers au logement des hôtes. Qu’on soigne leurs chevaux et leurs mules, et que leur suite n’ait besoin de rien. Qu’on leur donne des vêtements de rechange s’ils en désirent, du feu et de l’eau pour se