Blason Sur La Femme

Desdichado, Gérard de Nerval El Desdichado veut dire le malheureux, pour Nerval ça veut dire le déshérité. Desdichado est un terme d’Ivanhoé, de Walter Scott. C’est un personnage chevalier privé de ses terres et prend le surnom du «Desdichado», dont le blason est un chêne déraciné. Paul Eluard (surréaliste) a eu un manuscrit du sonnet. Le premier titre du poème fut le Destin≠ el Desdichado. Gérard de Nerval a une base savante, c'est-à-dire qu’il a une mémoire des textes et une tradition poétique

visage buste chevelure femme allongée / debout Eluard, « tu » ; « elle » = la femme aimée B- Quelques inspiratrices: cf contexte de création: 1936-1937 dans le Sud de la France - portraits: Adrienne Fidelin Lee Miller Hommage à Nusch - Eluard, « Le don »: « elle est pensée / elle est la chaleur brillante sous mes paupières closes »: femme s'insinue dans les rêves du poète, l'inspire. C- Nusch: EGERIE du recueil cf 1ère collaboration: Facile (photographies de Nusch) cf Femme d'Eluard: lui offre

de faiblesse ? » dans lequel il ya a une antithèse apporte une touche d’originalité. Andromaque : utilisation de l’antonomase « la veuve » comme si son rôle était réduit a celui d’une femme éploré.  «  Quand on a affaire à une femme si bien »on ne peut pas avoir affaire a se genre de femme dans la vie courante, Andromaque est un mythe et dans cette phrase il la dégrade b) Bien que les actes de Léopold n’implique que lui, cette situation est tellement grotesque que le personnage

ouvrage surréaliste. Il l'est de par les thèmes qu'il aborde, la femme, la liberté et le rêve, et ce grâce à des procédés artistiques caractéristiques de son mouvement, qui créent un dialogue entre les deux auteurs et poussent enfin à l'interprétation du lecteur. Ce recueil est tout d'abord orienté vers trois thème principaux, tous en étroite relation avec la vision du monde qu'ont les surréalistes. Dès le frontispice, la femme est mise en lumière. Si le dessin relève de l'onirisme, le renversement

simplement l’ennemi. Selon Baudelaire le temps est un fardeau, c’est un supplice. La beauté selon Baudelaire ''La beauté'' est un poème de jeunesse de Baudelaire, avec une conception traditionnelle de la beauté. La beauté est comparée à une femme (allégorie). Elle a tous les attributs de la féminité (''un seins'', ''un cœur'', ''yeux fascinants''). Elle est comparée à un sphinx et à une statue, donc elle a toutes les caractéristiques de la statuaire antique (''pierre'', ''matière'', ''blancheur'')

mansarde pour se confronter à la vie urbaine. Ce poéme montre parfaitement la vision paradoxale de Baudelaire sur le monde quil'entoure. Dans ce poème Baudelaire propose un blason du corp de la femme, qui repose sur le champ léxicale du corps “cheveux v1, corps v6, talon v16, jambes v19 ,seins v23” , il fait l’éloge de la femme mais l’associe à sa pauvreté comme le montre ses habits “trous v2, haillon v13, bas troués v17” , mais on retrouve aussi le chant léxical de la richesse designant pourtant

1909 I- Deux images de la femme, correspondant aux deux parties du poèmes, antithétiques 1- Elégance, joie de vivre, "luxe et beauté" Evocation d'une jeune femme élégante et rieuse. Toute dans l'apparence. Une certaine superficialité. 2- Une apparition merveilleuse vers monostiche : « N’entendra-t-on jamais sonner minuit » détourne la phrase du conte de Perrault : « elle entendit sonner le premier coup de minuit ». La référence à Cendrillon est ici évidente. L’emploi

2). Le texte 4 est ce que l’on appelle un blason c’est çà dire un poème qui décrit la femme aimée en le magnifiant. L’originalité du texte est que Saint Amant y décrit le corps de sa belle en utilisant des métaphores empruntées au registre minéral (albâtre, cinabre, marbre poli, diamants, pierre). Il joue ainsi à la fois sur sa dureté et sur son nom «  Roche ». Ici la douleur de l’amour est lié au fait que le sentiment semble unilatéral tant la femme apparait inaccessible et lointaine ; Les textes1

glissement du général au particulier puis de nouveau au général. On peut rapprocher ce poème de la technique du blason, mais ici Baudelaire fait l'éloge de plusieurs parties du corps. Les rimes sont croisées Dans Le Serpent qui danse, poème lyrique et érotique, Charles Baudelaire donne de Jeanne une image très ambivalente : c'est une femme qui se donne et se refuse, c'est une femme sensuelle et une enfant, elle apporte le plaisir et le danger. Jeanne Duval est finalement une véritable fleur du

plus important: Capitale de la douleur. Ce recueil est dédié à sa muse: Gala.     Le poème La courbe de tes yeux est l'avant dernier du recueil. Il est placé sous le signe de la joie d'aimer et du partage amoureux. Nous allons étudier l'éloge de la femme fait à partir de la courbe de ses yeux, puis le bonheur de ce couple heureux et enfin l'ouverture sur le monde. Lecture La Courbe de tes yeux La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps