Blasphème

doigt pointé vers une mort certaine, les futures divinités ne sont autres qu’un soldat nanti d’un masque à gaz, sans expression, sans visage, déshumanisé, agissant comme un robot et un cadavre en voie de décomposition les pieds vers le ciel comme un blasphème à la religion le corps criblés de balles comme si l’on s’était acharné sur lui. On ne retrouve aucune figure humaine dans cette partie du tableau, la partie censée représenter la terre où nous vivons n’est autre qu’un amas de cadavre méconnaissable

un être malheureux, un poète maudit, ayant un destin tragique. Il est, d’après lui, voué au malheur quoi qu’il fasse, comme en témoigne le premier poème, « Bénédiction » dans lequel il est renié par sa mère « épouvantée et pleine de blasphèmes » (v3). Personne ne le comprend, l’évolution du poème qui l’amène à se tourner vers le ciel et Dieu, le présente comme divin , c’est donc un martyr . Le meilleur symbole de ce poète

critiquer les puissants, et de remettre en cause les excès de la religion. En 1664, Le Tartuffe, est interdit par le roi et l’archevêque de Paris. L’année suivante, Dom Juan, est censuré à son tour. On lui reproche de prôner le libertinage et de blasphémer. Ces œuvres suivantes ne critiquent plus autant la religion, et se concentrent sur les mœurs et les défauts de la personnalité (ex : l’Avare, Le Bourgeois gentilhomme, Le Malade imaginaire…). Mort et postérité Molière meurt en 1673, après un malaise

déguisés : a. pour inverser les rôles sociaux b. parce qu’ils ont perdu leurs habits c. pour ne pas être reconnus 13. Lors de la rencontre entre Dom Juan et le pauvre, Dom Juan attend que le pauvre : a. se prosterne à ses pieds b. le défie c. blasphème 14. Monsieur Dimanche est : a. le valet de Dom Juan b. le créancier de Dom Juan c. le débiteur de Dom Juan 15. Lors de la seconde visite de Dom Louis, Dom Juan : a. avoue sa conversion et joue l’hypocrite b. renonce au code d’honneur de

soumis et à qui il n’obéissait que sous la contrainte, se trahit dans cet extrait. Il se laisserait bien tenter par l’impiété et le libertinage, mais il est trop peureux pour y céder. C’est ce que nous montre le « Jure un peu », comme si l’on pouvait blasphémer, sans s’attirer le courroux du ciel. Il dit également qu’ « il n’y a pas de mal » à jurer, alors que le mal serait plutôt l’impiété et le libertinage. Il valorise Dom Juan, qui est impie, car sa propre piété est une forme de lâcheté, car il voudrait

lexical du blâme: "maudit" (4 occurrences) C) L'opposition de l'homme à la volonté de Dieu -Travail qui "Défait ce qu'a fait Dieu" v.19 (antithèse) -la suggestion du mal: "Travail mauvais" v.23, "infâme" v.17, "vice" v.30, "opprobre" v. 31, "blasphème" v.31 D) L'éloge du vrai travail ("vrai" v.33)==> celui qui permet l'épanouissement -CL mélioratifs: "libre", "heureux", "sain" -Le jeu sur la ponctuation: phrases exclamatives finales Publié par David Souclier à 11:10

fixant aucun frein moral. C'est le libertinage de mœurs. Les libertins de mœurs se réclament du même courant philosophique que les libertins de pensée mais leurs excès ont contribué à discréditer le premier mouvement (profanation de lieux saints, blasphème, débauche sexuelle...). Tout est bon pour satisfaire leurs désirs, ils pratiquent sans remords le cynisme et l'hypocrisie, le type même développé par Molière dans sa pièce Dom Juan. Les théoriciens du libertinage: Vers 1615, un groupe de poètes

valeur au nom de laquelle Hugo dénonce le travail des enfants est "le vrai travail". Le travail des enfants est synonyme d'exploitation. Le "vrai travail" au contraire est synonyme de passion et d'épanouissement. Le travail des enfants est enfin un "blasphème", c'est-à-dire une injure à Dieu. Car Dieu a créé l'humanité. Or le travail des enfants déforme l'humanité. Dieu nous recommande d'aimer et de protéger les enfants. A la fin, grâce à l'anaphore "maudit comme", Hugo s'exprime comme un prophète pour

début; même Rieux est un solitaire. Ce sont les circonstances effroyables et la nécessité qui amèneront les personnages, progressivement, à devenir plus solitaires: « nous travaillons ensemble dit Rieux, pour quelque chose qui nous réunit au-delà des blasphèmes et des prières. Cela seul est important ». La portée métaphysique de l'œuvre: définition de « métaphysique »: science qui s'interroge sur les principes du monde, de la connaissance, de la morale: ex, d'où vient le mal? L'homme est-il libre

suicide parce que on en a ras le bol, pour un emploi impossible à trouver, par injustice, pour contester ou réclamer un logement … On se se donne la mort de plus en plus facilement et pourtant le suicide reste un péché, une source de honte et de blasphème insupportable envers Dieu et l’Islam. D’ailleurs, en Algérie, quand une personne met fin à ses jours, elle laisse rarement une lettre pour expliquer les raisons de son renoncement, parce qu’ici et dans tous pays musulman le suicide est l’un des pires