Blasphème

les autres. Nous| | |sommes conscients de la responsabilité des religions, dans le danger qu’elles font courir à la paix, quand elles ne tournent pas leur regard | | |vers le haut. Celui qui se sert du nom de Dieu, pour haïr l’autre et tuer, blasphème le Saint Nom de Dieu. C’est pourquoi nous pouvons dire : | | |il n’y a pas de futur dans la guerre ! Il n’y a pas d’alternative au dialogue. Le dialogue est une arme simple à la disposition de tous. Avec | | |le dialogue nous construirons une

Commentaire d’Hugo « ils semblent […] hélas » au départ c’est un narrateur qui décrit puis un orateur qui prend parole. « On demande » auteur cherche à impliquer le public ensuite le narrateur « maudit » avec tout le voc de la maledict° « vice » « blasphème » « maudit » répété plsrs fois poids à son discours. Dénonciation d’un monde où les enfants n’ont pas leur place * Dénonciation des condit° de travail, toute la journée «  de l’aube au soir », sans répits « jamais on ne s’arrête et jamais on

peur de divulguer une information qui pourrait leur attirer les foudres du pouvoir politique. Exemple : la fille naturelle du président Francois Mitterrand a longtemps été un fait non divulgué par les journalistes. Motifs religieux [modifier] Le blasphème a été aboli en France par la Révolution française en 1792, cependant l'auto-censure à motif religieux n'a pas complètement disparu, comme l'illustrent spectaculairement les violentes réactions aux caricatures de Mahomet du journal Jyllands-Posten

qui donne du poids a ses propos. Cette barbarie se fait paradoxalement au nom de la religion, ligne 10, « Au nom du christ », c’est vu comme des pratiques blasphématoires, ligne 12, « Eminence, n’est- ce pas là un blasphème? » On remarque que le personnage qui parle utilise souvent la même phrase «  au nom du christ », sa laisse penser qu’il peut être croyant et cela donne un effet plus accentué en imprégnant la religion. Las Casas étant

simplement porté l’affaire en justice, a choisi la voie légale * En 2009 on a donné tort aux revendications Arguments Partisans | Arguments Détracteurs | La France est un pays laïque qui n’a pas à se soumettre aux pressions religieuses le blasphème n’est ni un délit ni un crime. (voir inquisition époque révolue)La religion n’engage que ceux qui la pratiquent : si on devait respecter tous les dogmes de toutes les religions nous ne pourrions plus vivre tranquillement (expl : plus boire, manger

malheur ? En est-il donc moins vrai que la lumière existe, 
Et faut-il l'oublier du moment qu'il fait nuit ? 
Est-ce bien toi, grande âme immortellement triste, 
Est-ce toi qui l'as dit ? Non, par ce pur flambeau dont la splendeur m'éclaire,
Ce blasphème vanté ne vient pas de ton coeur.
Un souvenir heureux est peut-être sur terre
Plus vrai que le bonheur.

 la  rage  à  l’égard  du  progrès  et  des  hommes  derrière  -­‐-­‐>  il  s’associe  aux  mères  +  anaphore   «maudits»  dans  vers  où  il  est  comparé  à  des  blasphèmes   -­‐Mise  en  valeur  des  derniers  vers  du  poème  où  il  y  a  conception  personnelle  du  travail  pour  VH  -­‐-­‐>  adj   «libérateur»  +  gradation  «sain  fécond

en province pendant treize ans. En 1658 ils retournent à Paris. En 1659 une pièce reçoit un grand triomphe, Les Précieuses Ridicule. En 1661 il crée une comédie-ballet avec le musicien Lully. En 1664 une des pièces de Molière est accusée d’être blasphème. Alors que Molière a 43 ans il est atteint d’une fluxion au poumon et en 1673 il fait un malaise sur scène au cours d’une comédie-ballet. Il meurt peut de temps après a son domicile. Il sera enterré de nuit sans inhumation chrétienne car les comédiens

gémissements, dont sa mort sera le paroxysme : « Elle […] horrible » l.16 à 49. Mais elle ne savait pas que la mort était propriété divine, donc de l’Eglise. Pour une société ancrée dans la religion, elle s’est donc prise pour Dieu, c’est un blasphème. Le champ lexical précis faisant référence à la médecine ponctue et amplifie l’effet macabre : « vomissements … estomac…doigts crispés…pouls…bleuâtre » l.18, 22, 25 et 26. En outre cette œuvre décrit le désespoir d’une fleur qui ne peut éclore

Juan profite aussi de sa supériorité sociale pour jouer, prendre du plaisir par des moyens malhonnêtes. Par exemple dans la scène du pauvre, c'est à dire, la scène2 de l'acte III, Don Juan propose au pauvre de jurer en échange d'un louis d'or. Le blasphême étant fortement réprimandé à l'époque, ce chantage est d'autant plus malsain, ce qui a le don d'amuser Don Juan. Enfin, sa façon d'agir avec les femmes, c'est à dire leur promettre le mariage pour mieux profiter d'elle peut être qualifiée de déplorable