Blasphème

BOUCHENITFA Kenza 2EDissertation sur Dom Juan La plupart des œuvres du XVIIème siècle cherchent à instruire et à divertir le public selon le précepte de Horace. C’est le cas de Molière dans ses pièces dont Dom Juan qui s’attache au libertinage. Dans quelles mesures cette pièce est elle morale ? Ne cherche-t-elle pas qu’à divertir ? On étudiera d’abord les vices punis puis le discours des personnages vertueux et enfin l’immoralité possible de cette pièce.

protestants : 700 000 pers. Les bouddhistes : 600 000 pers. 2) Les sujets polémiques  L’Alsace (Bas-Rhin/Haut-Rhin) – Moselle A l’heure où l’on parle tant d’identité nationale, saviez-vous qu’en France il y a une région où le délit de blasphème existe encore, où les cours de religion sont obligatoires, et où les curés sont des fonctionnaires payés par l’état (par exemple, un évêque perçoit un salaire identique à celui d’un professeur agrégé) ? En vertu de l’article 166 du « code pénal

même coup de sa véritable existence. → Perversité de ce discours qui conduit le Pauvre à se contredire, à se faire manipuler. DJ l'incite à blasphémer en échange d'un louis d'or, comme pour se venger de l'ingratitude divine. Procédés d'insistance avec la répétition oppressante du verbe « jurer » employé dans un mode injonctif. → tentation du blasphème et donc du reniement de la foi. → DJ tente de détourner le pauvre du droit chemin comme pour le rallier à son scepticisme face à la religion.

rép de DJ : « Ah ! Zh ! » Le dialogue ne se déroule donc pas à l’initiative de DJ ce qui, symboliquement, n’est pas dépourvu de signification : le pauvre peut être interprété comme un signe envoyé au libertin, et une occasionn, soit de pécher par blasphème soit de conformer au devoir de charité chrétienne. DJ n’apparaît donc pas comme un être qui maîtrise pleinement sa destinée, bien que son ambition soit de tout dominer par la rationalité. 2. Deux stratégies argumentatives opposées DJ :

aussi loin, Euripide défendant déjà la liberté d'expression au ive siècle av. J.-C.[réf. souhaitée]. Pour les religions monothéistes, la condamnation du blasphème est un thème central depuis l'un des premiers livres recueillis dans la Bible, le Lévitique : « Si un homme insulte son Dieu, il doit porter le poids de son péché ; ainsi celui qui blasphème le Nom du Seigneur sera mis à mort ». La naissance de l'Église orthodoxe (date ?), et son besoin de maintenir l'orthodoxie, développa largement la

repérer une gradation de l’Art, de l'Homme et de Dieu puisque la troisième chose qu’il renie sont les arts religieux « cathédrales » ce qui laisse entendre un blasphème. Ironie : les cathédrales, symboles de la puissance religieuse s’étirent par leurs «tours en spirales » vers un « ciel vide » de Dieu. - « ciel vide » : annonce le blasphème du tercet suivant. référence à Baudelaire « Les Aveugles » (« que regardent-ils? Rien, le ciel est vide »). Provocation : rejet de la morale. Transition : Verlaine

comme l'opprobre (la honte) et comme le blasphème !Lors des vers 30 et 31 , L’Anaphore du mot « Maudit » utilisation d’un mot fort significatif de malheur et de colère divine, Gradation ascendante : « s’abâtardit ; l’opprobre ; le blasphème » Les points d’exclamations sont de plus en plus importants, on suit à travers eux l’évolution du sentiment d’indignation et du besoin de s’exprimer d’Hugo.Ensuite Les adultes font objet de Blasphème pas forcément par rapport à la parole mais

religion (presque blasphème) + esquive le sjt ( Pr DJ ciel ¤ sujet : rep laconique)L4-L7 : « Enfer » = dogme ; « Eh » (interject°) –> ¤ rep= refus de dialogue car ¤ matière à débattre « oui, oui » élude la ques° : p-ê ironique, rep laisse planer le doute (ambigue) renforce dim° énigmatique perso spectateur se demande si DJ n’aurait pas un lien avec le Malin / réincarnat° de Lucifer (SG= interprète ente DJ & nous)L8-L9 : « l’autre vie » dogme/article de foi : DJ rit (~blasphème) = associé à

- Intervention de Sg pour calmer le jeu 2. Logique de la surenchère - parabole du chameau (riche, paradis = chameau, chat aiguille) Remet en cause efficacité de la prière (pauvre dénudé) Ascèse & pauvreté ≠ préoccupation matérielle Faire blasphémer le pauvre avec Louis d’Or III. La charge satyrique de la scène 1. Dénonciation hypocrisie sociale - 'Un H qui prie le Ciel...ne peut pas manquer' : ironie par la négation. D récompense mal fidèles. DJ, feint de s'étonner de l’inefficacité

supplicié et mis à mort pour avoir été soupconné d'avoir tué son fils), Le Chevalier de la Barre est exécuté (poing coupé, langue arrachée avant d'être décapité et d'être jeté au bûcher). Il avait été condamné pour blasphème. Cette exécution sera la dernière due à blasphème en France. La Révolution est proche. Le Chevalier de la Barre sera réhabilité en 1793. 1778: Voltaire rentre à Paris. Il assiste à la représentation de sa dernière tragédie "Irène". Il est acclamé par les parisiens.