Blockbuster

launched its first worldwide communications campaign. Featuring ‘it’ girl and DVF muse, Natalia Vodianova, and shot by Diane’s long time friend renowned photographer François-Marie Banier.  Roughly $xxx was spent on traditional media emphasising blockbuster print & outdoor units in the US and select markets in Western Europe. The campaign was launched with 8 page butterfly unit in Vogue Magazine and a wrapped building in LA during Oscar week. International partners were advised to follow similar standards

concerts en magasin…) b) états internes du consommateur : motivations : Motivation hédonique : théâtralisation et beauté des lieux, lieux de vie et de divertissement (café, casques d’écoute), mais aussi être à la mode par l’acquisition des « blockbuster », des dernières nouveautés Motivation sociale et symbolique : appartenance à une communauté Motivation rationnelle : pédagogique Motivation oblative : cadeaux freins : Frein éthique : croyance concernant la nocivité des écrans : vidéoset

l’alimentation ou  la télévision (séries) sont devenus un modèle à travers le monde appelé “L’American way of life”. Les industries culturelles américaines sont fortement exportatrices et dominent l'essentiel des marchés mondiaux avec leurs « blockbusters » à forte rentabilité. Sur la plupart des marchés mondiaux développés, le cinéma américain oscille entre 50 et 80 % de parts de marché. Cette puissance prédominante de l’image est relayée par la publicité des firmes américaines et l’emploi de

logique ne fonctionne pas dans le secteur cinématographique puisque le prix du billet acquitté par le spectateur est indépendant du coût de production et de distribution. Le tarif pour voir un film est identique pour le public qu’il s’agisse d’un blockbuster qui a coûté 200 M$ ou d’un film indépendant à 15M$. · 1  Source : latribune.fr 24/07/2009 : « La saga  Harry Potter  : Une « success story » magique ». Il s’a  (...)

coronaire au cœur artificiel… Cette liste n’est pas exhaustive mais permet de mesurer l’ampleur des avancées apportées par les industries de santé. En matière de médicament, les dernières années du XXe siècle ont été marquées par l’apogée des « blockbusters », ces médicaments destinés à traiter des pathologies de masse comme l’hypertension artérielle ou l’hypercholestérolémie et dont le chiffre d’affaires annuel dépassait rapidement le milliard de dollars. Tahor, Celebrex, Viagra, Plavix en sont quelques

casinos. On retrouve également une forte influence dans la communication et l'information (CNN, Time), mais aussi dans le divertissement avec la télévision et ses séries américaines (Dr House, Lost, Desperate housewives) ou encore le cinéma et ses blockbusters (Seigneur des Anneaux, Gladiator, Avatar). Sans oublier des sports comme le basket-ball (NBA), dont l'équipe nationale est championne du monde, le foot US (NFL), le hockey (NHL) et le baseball (MLB) vendus comme de véritables shows (Super Bowl)

nouvel environnement concurrentiel les mènera à leur perte. On peut aujourd’hui voir un effet de la reine rouge où les chaînes s’empressent de créer leurs propres plateformes où certaines choisissent de se diversifier par le haut en proposant des blockbusters ou de créations originales, à l’image de TF1 et sa série « HPPI » qui a extrêmement bien résisté à la concurrence. La coopétition est aussi une stratégie gagnante même si elle reste déduite et semble plus aujourd’hui être un facteur clé de succès

Ces évènements calendaires servent à produire et reproduire le rituel BaBW, les évènement  sont par exemple les anniversaires de l’animal, de l’enfant ou encore les fêtes tels que Noël ou  encore Hallowen, de plus les évènements peuvent­être aussi des sorties de blockbuster de  dessin animé ou film pour les ­12 ans (Walt Dinsey , Batman , etc .)    3) Une structuration avec un langage symbolique au service du rituel        Build a Bear a crée un véritable langage au service de son rituel appelé la « langu’Ours ». 

‐ Maladies
infec3euses
résurgentes.
 ‐
Traitements
moins
contraignants,
mieux
adaptés
et
 spécifiques.
 IV
–
ClassificaMon
des
nouveaux
 médicaments:

 Critères

innovaMon
=
apport
thérapeu3que
 nouveau
+
originalité
chimique
 ‐ 
Produits
A
innovateurs
=
«
blockbusters»
;
structure
 originale
et
apport
thérapeu3que
nouveau;
son
CA
>
1
 milliard
de
dollars/an;
10%
(ex
:
Plavix®;
Lipitor®)
 ‐ 
Produits
B
=
apport
thérapeu3que
supplémentaire
mais
 structure
connue;
21%
(ex:
Viagra®;
Thalidomide®)
 ‐ 
Produits
C
=
faible
apport
thérapeu3que
et
structure


communiquer non seulement sur leurs produits, mais aussi sur eux-mêmes ce qu’ils ne faisaient pas auparavant. L’échéance des brevets et l’arrivée des génériques sont aussi un problème important pour les laboratoires. Ils sont en train de perdre leurs blockbusters qui étaient une de leur plus grande source de revenu. L’industrie pharmaceutique doit alors palier rapidement à ce problème en allant trouver de la croissance ailleurs. La stratégie des grands groupes tels que Sanofi-Aventis ou Pfizer par exemple