Bobigny

place d’une filière de soins gériatriques a été une priorité de l’établissement. La clinique est située dans un quartier de Bondy reconnu « zone franche ». Elle bénéficie de la proximité de l’hôpital Jean-Verdier de Bondy et de l’hôpital Avicenne de Bobigny proches. L’établissement relève du secteur sanitaire 5 et son offre de soins est principalement dirigée vers les établissements de soins de ce secteur. Il arrive cependant que la clinique Ambroise-Paré accueille des patients relevant d’un autre secteur

CAS SYLVIE SCEJMA : L’identité numérique et la e-réputation de l’organisationCas Sylvie SMadame SYLVIE S. est une jeune femme habitant Bobigny (93 000) depuis 25 ans. Il y a deux ans, elle a brillamment obtenu son brevet professionnel de coiffure. Depuis, elle exerce son métier en coiffant sa famille, ses amis et les habitants de son quartier. Aujourd’hui, elle souhaite créer son entreprise : SYLVIECOIFFURES !Dans son salon (annexe 1), elle proposera tout type de coupes

NOM : BABANE Prénom : AMINE Diplôme préparé : bac pro SEN Nom établissement : Lycée Gourdou Leseurre DOSSIER TRAVAIL PERSONNEL ECRIT Prévention Santé Environnement stage effectuée du 23/01/2014 au 14/02/2014 A la CAF93 Bobigny sommaire 1- Introduction 1-1 Identification 1-2 Activités de l'entreprise 1-3 Presentation des acteurs de la preventions dans l'entreprise 1-4 Présentation de Service Informatique de la CAF93 2- Desciption

et nommée membre du Conseil constitutionnel en 1998 jusqu’en 2007. Elle a été promue directement à la distinction de Grand Officier de la Légion d'honneur le 1er janvier 2009. Marie-Claire Bobigny En 1972, Marie-Claire Bobigny, une jeune fille de 17 ans est traduite devant le tribunal pour enfant de Bobigny pour avoir avorté. Ce procès, eut un énorme retentissement et contribua à l'évolution vers la dépénalisation de l'interruption volontaire de grossesse. Violée par un garçon de son lycée,

TGI de Bobigny rejette la demande de Mr X en s’appuyant sur l’article 675 du Nouveau Code de Procédure Civile. Il déboute X de sa demande en considérant que sa demande porterait préjudice au fils de Mr X dont l’acte d’état civil préciserait qu’il serait né de deux femmes. X interjette appel   3)     Problème de droit Quelles sont les conditions requises au changement d’état civil et de prénom ?   4)     Solution La Cour d’Appel de Paris infirme le jugement rendu par le TGI de Bobigny. Elle

France Fort d'Aubervilliers Porte de Simplon La Courneuve8 mai 1945 7 Porte de 12 la Chapelle Bobigny Pablo Picasso 13 Mairie de Clichy AubervilliersPantin 4 Chemins 5 Provins La Ferté Gaucher Crécy la Chapelle Château Thierry La Ferté Milon Chelles Gournay Porte de Clichy Guy Môquet Marcadet Pantin Porte de Poissonniers Brochant Funiculaire de T1 la Villette Bobigny-Pantin Abbesses Montmartre Château Tournan Cergy le Haut R. Queneau La Fourche Corentin Cariou Noisy Rouge

un courriel syndical à l’ensemble des salariés d’une société (Dauphin Communication) sur la messagerie électronique de leur poste de travail dans l’entreprise. La société Dauphin Communication avait alors saisi le Tribunal de Grande Instance de Bobigny en référé considérant qu’aucun accord d’entreprise n’avait été signé et que l’autorisation de l’employeur n’avait pas été requise. Le Président du Tribunal de Grande Instance constate alors un trouble manifestement illicite qu’il convient selon lui

Nombreuses émotions ont traversé mon corps au point que je me suis surpris à lire les extraits de plaidoirie comme si j’étais à la barre. C’est notamment l’extrait du procès de Bobigny qui m’a le plus marqué, extrait que j’ai dû lire haut et fort plusieurs fois à la suite « Je ressens avec une plénitude jamais connue à ce jour un parfait accord entre mon métier qui est de plaider, qui est de défendre, et ma condition de femme. (…)

hier au tribunal de Bobigny, où s'est rendu le défenseur des droits. C'est un type qui a besoin de balayeurs pour nettoyer son entreprise le soir. Il précise qu'il ne veut pas de «Maghrébins», car lui-même est «juif». Il le dit comme ça : «Je ne veux pas prendre la responsabilité de recruter un Arabe, c'est pour éviter des morts.» Jean-Luc B. est un homme à lunettes tout en barbe. Il porte la kippa. Il comparaissait hier devant la 14e chambre du tribunal correctionnel de Bobigny, qui avait organisé

343 femmes, parmi lesquelles de nombreuses personnalités qui déclarent avoir avorté et réclament l’avortement libre. Le procès de Bobigny est un tournant dans la légalisation de l’avortement. Marie-Claire Chevallier, violée à 16 ans tombe enceinte. Avortant, avec l’aide de sa mère, elle frise la mort. Dénoncée par son violeur, elle comparait devant le tribunal de Bobigny. Pour la défendre l’avocate et féministe Gisèle Halimi, qui fait de ce procès une tribune pour le droit à l’avortement. Seulement