Boche

formation des couples. De la Fête naît le sentiment d’appartenir à une même communauté, parce qu’on célèbre (Garat l’écrit) ensemble. Les amis réunis par Gervaise forment ainsi dans le quartier une petite société, où quelques individus (Clémence, Coupeau, Boche) émergent, acteurs ponctuels de la fête, parmi les « ils » et les « on » qui marquent le groupe. Les rapports entre Fête et pouvoir sont connus depuis longtemps : si nul n’ignore la « mutinerie » qui s’exerce lors de fêtes (le « Cahier »

dire ici niais, stupide (niaisement maladroit) -      oxymore : « sacrés goinfres » : « Ils pétaient dans leur peau, les sacrés goinfres » -      mots familiers : « péter » ; « pipi dans la bouche » ;  comparaisons de type scatologique... - « et Boche rigolait » - registre familier  «rigoler » trivialités : « emmieller » les voisins  - parisianismes : « faire descendre la blanquette et l'épinée dans les mollets », franc parler faubourien, la langue des boulevards, des faubourgs : ton boulevardier

pouvons justifier cela grâce à quelques moments où prouve son changement : «  Je vais braver l'homme. » , «  A coup de poing, a coups de couteau. », « Sans merci. », « Je lui porte un coup terrible. », « La tête est presque décollée », « J'ai tué le Boche(allemand) », « J'ai agit. J'ai tué. », et «  Comme celui qui veut vivre. ». Voilà des exemples qui prouve à quelle point la guerre peut changer une personne, un être humain en une personne diabolique et prêt a tué n'importe quel Allemand pour défendre

Lantier. Ce dernier la trompe et découche. Ils logent à l’hôtel Boncœur. Elle regarde par la fenêtre du deuxième étage d’où elle voit tout un quartier populaire, misérable où les ouvriers vont à leur travail. Elle vient d’avoir une conversation avec Mme Boche. Chapitre 1 I. Une évocation réaliste du monde ouvrier. 1. Diverses catégories - Les ouvriers, « les blouses » : métonymie des ouvriers, la blouse désigne les ouvriers, « les ouvrières » avec des sous-catégories : les brunisseuses (personnes

combattant démoralisé n'était-il pas un combattant mort ? » p.86, « Est-ce qu'on applaudit celui qui va tenter la mort ? » p.173, « Le sang jaillit des corps comme l'eau d'une fontaine. » p.205, « Il faut une fée dans la vie d'un homme » p.218, « De Boche à cloche, il y a deux lettres ! » p.228, « Si tous les soldats prenaient leurs jambes à leur cou pour rentrer chez eux, la guerre serait finie (...) » p.263, « (…) le fils et sa mère, l'orphelin et la veuve. » p.350 Jugement personnel Nous trouvons

favorite sont ses professeurs dont certains viennent parfois de régions d'Allemagne très éloignées de l'Alsace pour y enseigner le français. Hansi détestait ses professeurs allemands. Il écrira : « Quand dans la journée j'avais été brutalisé au lycée boche, quand le professeur d'allemand nous avait enseigné que la langue allemande était la plus belle et la plus ancienne de toutes les langues, quand le professeur d'histoire avait insulté nos pères et tous les Français, en remontant jusqu'au temps de Charlemagne

il glaçait la pièce de sa mine lugubre de borne de fonte. Et ce qui leur cassait les jambes, ce qui les exterminait, c'était par-dessus tout de payer leur terme. Oh ! le terme de janvier, quand il n'y avait pas un radis à la maison et que le père Boche présentait la quittance ! Ça soufflait davantage de froid, une tempête du Nord. M. Marescotarrivait, le samedi suivant, couvert d'un bon paletot, ses grandes pattes fourrées dans des gants de laine ; et il avait toujours le mot d'expulsion à la bouche

comporter à l'armée frisé de se tendre sur le face de l'ouest mais l'échec des offensives frisé en juin et juillet 1918, le épaulement des joindre américains et anglais quitter à l'allemagne tout espoir de victoire. Dans La Suite août, les forces boche remettre en bon ordre, mais avec de important pertes, sur l'ensemble du effronterie franco-belge. En septembre, l'état-major allemand fait savoir à l'empereur que la belligérance est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les chefs militaires ne veulent

comporter à l'armée allemande de se concentrer sur le façade de l'ouest mais l'échec des agressif allemandes en juin et juillet 1918, le renfort des fiancer Oncle Sam et british retire à l'allemagne tout désir de victoire. Dans La Suite août, les vigueur boche refluer en bon ordre, mais avec de rustique pertes, sur l'ensemble du figure franco-belge. En septembre, l'état-major allemand fait savoir à l'empereur que la belligérance est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les chefs polémologique ne veulent se charger

de la russie permet à l'armée allemande de se tendre sur le front de l'ouest mais l'échec des pugnace chleuh en juin et juillet 1918, le renfort des alliés américains et anglais retire à l'allemagne tout désir de victoire. Depuis août, les forces boche reculent en bon ordre, mais avec de lourdes pertes, sur l'ensemble du front franco-belge. En septembre, l'état-major allemand fait savoir à l'empereur que la guerre est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les chefs homme de guerre ne réclamer prendre