Boche

à l'armée allemande de se concentrer sur le front de l'ouest mais l'échec des offensives allemandes en juin et juillet 1918, le renfort des alliés américains et anglais quitter à l'allemagne tout espoir de victoire. Dans La Suite août, les forces boche perdre du terrain en bon ordre, mais avec de important pertes, sur l'ensemble du figure franco-belge. En septembre, l'état-major chleuh fait savoir à l'empereur que la querelle est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les quartier-maître polémologique

conséquences aura cette bagarre dans la suite du roman, plusieurs années après l'événement? 0,5 pt VIRGINIE FEINDRA LA BONNE CAMARADERIE MAIS TRAHIRA GERVAISE: RACHETE SA BOUTIQUE QUAND ELLE SOMBRE DANS LA MISERE/ PRENDRA LANTIER POUR AMANT 7) Qui est Mme Boche? 0,5 pt CONCIERGE DU RESTAURANT DE L 'IMMEUBLE OU LOGERONT G. ET COUPEAU PLUS TARD, CAMARADE DE LAVOIR DE G. , AIME LES RUMEURS 8) Qui sont Bibi-la-Grillade, Mes-Bottes, Cadet-Cassis ? Où se retrouvent-ils ? Que suggèrent leurs noms 1pt CAMARADES

russie permet à l'armée allemande de se concentrer sur le front de l'ouest mais l'échec des offensives frisé en juin et juillet 1918, le renfort des lier yankee et menstrues extraire à l'allemagne tout espoir de victoire. Par La Suite août, les forces boche reculent en bon ordre, mais avec de important pertes, sur l'ensemble du figure franco-belge. En septembre, l'état-major fritz fait formation à l'empereur que la guerre est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les chefs polémologique ne veulent assumer

passent devant les toiles du Louvre sans les comprendre : " c'était bête de ne pas écrire les sujets sur les cadres ", pense tout haut Gervaise. Et de ce fait, les invités de la noce sont égayés par des sujets scabreux ou des détails érotiques. " Boche et Bibi-la-Grillade ricanaient, en se montrant du coin les femmes nues; les cuisses de l'Antiope leur causèrent un saisissement. " Coupeau n'est pas plus inspiré que ses compagnons devant la toile du Corrège. Dans la Joconde il ne trouve rien d'autre

de leur cambuse ", " ce gredin de décembre ", " il glaçait la pièce " Enfin, menace de l'expulsion : les Coupeau vivent finalement avec la menace d'être expulsés : " ce qui les exterminait, c'était par-dessus tout de payer leur terme ", " le père Boche présentait la quittance ", " Mr Marescot [...] toujours le mot d'expulsion à la bouche " : Zola utilise des procédés du mélodrame, du pathos. Il s'agit d'apitoyer le lecteur sur le sort de ces malheureux. La misère des Coupeau est accentuée par le

odeurs sont celles des logis des pauvres que Zola connaît bien ; fortes et fades, elles sont faites « de moisi, de graillon et de crasse ». La graisse, la crasse, la boue, l’humidité, la moisissure, envahissent tout : corridors, appartements, loge des Boche, restaurant où mange la noce .Le petit peuple subira un manque d’hygiène du à la pauvreté, en précisant des thèmes comme l’hygiène vestimentaire ou locale. Les notes d’hygiène suffisantes sont peu nombreuses dans ce roman, expliquant ainsi le reportage

(document 2). En effet, pendant la Grande Guerre, l’affiche est un des principaux moyens dont l’Etat dispose pour atteindre les populations. Notre tract utilise de forts symboles tels que le coq Français victorieux, démontrant la force du pays ainsi qu’un Boche assaillis, désignant les faiblesses de l’Allemagne. Ces affiches permettent la diabolisation de l’ennemi.

résultat : c’est nul Ainsi il y aura que nullité de la clause léonine cad que c’est circonscrit à la seule stipulation litigieuse Cette solution a été implicitement confirmé par la cour de cassation (arrêt 1ère chambre civil du 26 janvier 1988 : Boche). La limite évidente, pour ce genre de stipulation, c’est la clause Léonine (revoit au pacte léonin : c'est-à-dire s’accorder tous les bénéfices). Il s’agit de toutes stipulations qui auraient pour effet d’attribuer l’intégralité du bénéfice à

217, GF : p. 265 à 269) XVII. LA SAPE Lamuse participe à une mission de sape et découvre le cadavre d’Eudoxie. (LP : p. 217 à220, GF : p. 270 à 273) XVIII. LES ALLUMETTES En voulant chercher des allumettes, quatre soldats s’égarent dans le boyau boche et tuent un officier allemand. (LP : p. 221 à 226, GF : p. 274 à 280) XIX. BOMBARDEMENT La cote 119 : déluge de feu. (LP : p. 227 à 243, GF : p. 281 à 299) XX. LE FEU Suite des combats. Mort de Lamuse, Barque, Eudore, Mesnil André, Pépin, Cocon

n’ont pas l’aire de la subir dans cet extrait. Au contraire nous pouvons ressentir la fureur et l’ivresse ressentie par les soldats. En effet les soldats ne pensent qu’à tuer l’ennemi qui n’est même pas considéré comme un humain « tuant, retuant du Boche » et donc de pouvoir rester en vie. Les soldats sont même fiers de leur acte « ce fut un joli massacre ». Le récit de Blaise Cendrars est idéalisé, les blessures sont superficielles : « balafres, égratignures » où nous sommes bien loin des cranes