Boileau Engagé

Capitale : Victoria coordonnées ; Géographiques : 4 38 S, 55 27 E ; Différence de temps : UTC+4 (9 heures en avant de Washington, C.C pendant l'heure d'hiver) Divisions administratives : 23 secteurs administratifs ; Goupilles aux. d'Anse, Anse Boileau, Anse Etoile, Anse Louis, Anse Royale, Baie Lazare, Baie Sainte Anne, beau Vallon, Bel Air, bel Ombre, cascade, Glacis, Grand' ; Anse (sur Mahe), Grand' ; Anse (sur Praslin), La Digue, La Riviere Anglaise, Mont Buxton, Mont Fleuri, Plaisance, rue

allait devenir une partie obligée du rituel. Il ne délaissa pas pour autant ses occupations au sein d'autres académies : de peinture, de sculpture, des sciences. La même année, à la demande de Chapelain, il fit en sorte que ‘’L'art poétique’’ de Boileau n'obtînt pas de permis d'imprimer. En 1672, devenu le chancelier de l’Académie française, il en redéfinit les règles de fonctionnement : il introduisit l'usage des séances publiques pour la réception des nouveaux membres, les élections à bulletins

coups de maître, avec notamment et successivement, en 1670, 1673 et 1674, "Bérénice", "Mithridate" et "Iphigénie".  En 1677, Jean Racine interrompt ses créations dramatiques avec "Phèdre". Il se consacre dès lors à l'historiographie et se met, avec Boileau, au service de Louis XIV, appuyé par Madame de Montespan, alors maîtresse du roi. Il exerce cette activité durant près de quinze ans, avant d'écrire deux tragédies : "Esther" et "Athalie", en 1689 et 1691.  Dans son travail d'écriture, Jean Racine

allait devenir une partie obligée du rituel. Il ne délaissa pas pour autant ses occupations au sein d'autres académies : de peinture, de sculpture, des sciences. La même année, à la demande de Chapelain, il fit en sorte que ‘’L'art poétique’’ de Boileau n'obtînt pas de permis d'imprimer. En 1672, devenu le chancelier de l’Académie française, il en redéfinit les règles de fonctionnement : il introduisit l'usage des séances publiques pour la réception des nouveaux membres, les élections à bulletins

roman/ Masse de nouvelles ! Nouvelles : Guerre1870-71 Franco-prussienne / La bourgeoisie (il l’a décrit) / Sur sa région natale (Normandie). Premier métier : journaliste  Adapte ce style à sa façon d’écrire. A aussi un registre fantastique. Il cite Boileau ‘’ Le vrai peu quelque fois n’être pas vraisemblable ». Faire vrai consiste à donner l’illusion complète du vrai. C’est différent d’une photo. REALISME donner l’illusion que c’est vrai. Le réalisme c’est l’illusion du vrai. Mission  Plus qu’une

renvoyé par le Roi ce qui crée des tensions entre lui et Colbert. 1668 : 65ème livre de fables (au service de la duchesse d’Orléans) 1672 : La Fontaine entre au service de Mme de la Sablière, il fréquente alors d’autres auteurs comme Racine ou Boileau. 1678-1679 : 2nd recueil des fables qui lui apporte un grand succès et lui permet d’entrer à l’académie française en 1684. Dans la querelle entre Anciens et Modernes, La Fontaine est le chef de file des Anciens. 1683 : Mme de la Sablière meurt

critiquée par la forte remise en question du 18ème siècle. Voltaire : François-Marie AROUET dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 et mort en 1778. C’était un écrivain et un philosophe qui a marqué le 18ème siècle. Il inaugure la figure d’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice, de la tolérance, et de la liberté de penser. Symbole des lumières, son nom reste attaché au combat contre le fanatisme et pour le progrès et la tolérance. Candide : Candide, œuvre éponyme écrite par Voltaire

du théâtre antique. Ces règles furent formulées explicitement pour la première fois par l'abbé d'Aubignac. Régentant une bonne part du langage théâtral de l'époque, elles sont caractéristiques de ce qu'on appela plus tard le théâtre classique. Boileau, dans L’Art poétique (1674), résume en vers ces contraintes : Qu’en un lieu, en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli En un jour est l’unité du temps (appelée aussi unité du jour ou règle des 24h). L’idéal du

plaire comme le remarque Molière dans la critique de l’Ecole des femmes. Son objectif est aussi detoucher. En ce sens la tragédie suscite la pitié, la crainte. Paradoxalement, ces sentiments deviennent des sources de plaisir. Dans son art poétique, Boileau les nommera « douce terreur » et « pitiécharmante ». Bretch, ne fera que renforcer cette idée du théâtre conçu comme un divertissement quand l écrit dans son Petit organon pour le théâtre : « L’affaire du théâtre a toujours été de divertir leshommes

| |(quiproquo, imbroglio de la commedia dell'arte ;| | | |s'opposent à la tragédie dans leur |registres : burlesque, héroï-comique, |N. Boileau : Art poétique |vaudeville : Labiche, Feydeau), | | | |finalité, qui est le rire, et leur |ironique, satirique. | |la comédie de