Boileau Engagé

antiques : s’ils sont dignes d’admiration, disent-ils, le progrès de l’art et de la société oblige les artistes à innover et à rechercher d’autres sources d’inspiration et de nouvelles formes artistiques en accord avec leur temps. Le parti des Anciens (Boileau, La Bruyère) ou parti des classiques rétorque que l’Antiquité gréco-latine est la seule référence possible car elle a atteint la perfection et l’universel. La preuve en est la durée de la renommée des auteurs de l’Antiquité. Séquence 5 – FR20

: s’ils sont dignes d’admiration, disent-ils, le progrès de l’art et de la société oblige les artistes à innover et à rechercher d’autres sources d’inspiration et de nouvelles formes artistiques en accord avec leur temps. Le parti des Anciens (Boileau, La Bruyère) ou parti des classiques rétorque que l’Antiquité gréco-latine est la seule référence possible car elle a atteint la perfection et l’universel. La preuve en est la durée de la renommée des auteurs de l’Antiquité. Fiche méthode © Cned

milieux littéraires et mondains et devient dramaturge ; il connaît son premier grand succès avec Andromaque en 1667. Les succès s’enchaînent avec Bérénice en 1670,  et Iphigénie, Phèdre. En 1677, Racine rompt avec le monde théâtral et devient, avec Boileau, historiographe du roi Louis XIV. Les pièces de Racine vont donc mettre en valeur une passion dévorante, destructrice et compliquée dans ses histoires, en général, c'est une passion qui n'est pas réciproque. Les personnages vont donc être enfermés

son message plus percutant. L'enseignement peut être d'ordre moral, scientifique ou esthétique. L'Art poétique de Nicolas Boileau relève de la poésie didactique. Poésie engagée La poésie se fait engagée quand le poète place un discours argumentatif dans son œuvre. Cet argument peut être soit direct, soit indirect. "Strophes pour se souvenir" de Louis Aragon est un poème engagé. Poésie esthétique La poésie esthétique est une forme de poésie qui privilégie la forme sur le fond. Il s'agit de faire de

pièce. En 1661 : Le règne de Louis à XIV est à son apogée ce qui correspond d'ailleurs à l'essor de la littérature classique. La monarchie absolue : « L'état c'est moi » Essor de la comédie avec les comédies de Molière La poésie avec Boileau qui écrit « L'art poétique » (1671) Les fabulistes et les moralistes avec La Fontaine (Livre 1 à 6 : 1668) La Rochefoucauld avec Les Maximes en 1665 Les Caractères de La Bruyères 1688-1696 Madame de Sevignet et le genre du roman épistolaire

Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille. (p.29) 8.La préciosité. Voiture. Mlle de Scudéry. (p.34) 9.Molière. La comédie « à l’espagnole ». (p.36) 10.L’appogée du classicisme. Boileau. Racine. La Fontaine. (p.41) 11.Le roman et la nouvelle dans la 2e moitié du XVIIème siècle. Mme de la Fayette. (p.47) 12.Lettres et mémoires : Mme de Sévigné. Cardinal de Retz. Saint-Simon. (p.49) 13.La Rochefoucauld. Vers la fin du siècle. La

moins de 98 éditions de ses œuvres entre 1621 et 1695 alors que pour la même période, Malherbe ne fut réédité que quinze fois. Son unique tragédie, Pyrame et Thisbé, obtint un véritable triomphe et elle resta si célèbre que cinquante ans plus tard, Boileau jugea bon de la condamner. C’est que le souvenir du poète était resté vivant et qu’il passait encore à l’époque pour un véritable représentant du clan des Modernes. Jean-Pierre Chauveau, à qui nous devons un très utile et très agréable recueil d’œuvres

 la Querelle des sonnets(1677), fut  consécutive à une cabale dirigée par la duchesse de Bouillon, le  duc de Nevers et Mme Deshouillères pour faire réussir la Phèdre et  Hippolyte de Pradon aux dépens de la Phèdre de Racine. Les amis de  ce dernier, dont Boileau, ripostèrent. Le duc répondit, puis  encore les amis de Racine : tous composant leurs sonnets sur les  mêmes rimes. Le Grand Condé, en prenant parti pour Racine, mit fin  à cette querelle. B /Texte et contexte     Le Dormeur du val est un des premiers poèmes de Rimbaud

surtout célèbre par ses Odes et ses Cantates. Continuateur de MALHERBE et de BOILEAU qui l’avait encouragé à ses débuts, il cultive le lyrisme impersonnel dans de grandes odes ambitieuses, plus éloquentes qu’inspirées, pompeuses et froides, mais qui ont de l’ampleur et du mouvement. Les contemporains en goûtaient la majesté, les souvenirs antiques, et se plaisaient à y reconnaître le « beau désordre » prôné par Boileau, qui n’exclut point une solide armature logique. Cette poésie formelle a beaucoup

antiques : s’ils sont dignes d’admiration, disent-ils, le progrès de l’art et de la société oblige les artistes à innover et à rechercher d’autres sources d’inspiration et de nouvelles formes artistiques en accord avec leur temps. Le parti des Anciens (Boileau, La Bruyère) ou parti des classiques rétorque que l’Antiquité gréco-latine est la seule référence possible car elle a atteint la perfection et l’universel. La preuve en est la durée de la renommée des auteurs de l’Antiquité. Séquence 5 – FR20