Boileau Satire Vi

Maldoror, Lautréamont / Gaspard 2 la nuit, Aloysius Bertrand). + montrer le monde ordinaire (Francis Ponge) 3) Versets =poèmes écrits en courts paragraphes, comparables à des textes religieux. Rythme adopté par Paul Claudel ou Saint-John Perse VI. Type de poète ( BUT) 1) Amuseur Le poète comme 1 amusateur qui compose à l’occasion des grands événements (leurs noms, en général, ne survivent pas). 2) Médiateur Intermédiaire entre les hommes et un-delà : -Baudelaire considère le monde comme

Contes et des Fables se prépare déjà en lui. En 1658, le poème d’Adonis lui vaut une pension et il est le protégé de Fouquet. Il rédige alors la poésie pour son protecteur et sa famme. Il se lie avec les grands artistes d’époque (Molière, Racine, Boileau). Mais, tout à coup, sur l’ordre de Louis XIV, Fouquet est arrêté. La Fontaine le regrette vivemement et il demande l’indulgence du roi dans ses oeuvres l’Eglise aux Nympes de Vaux et l’Ode au roi pour M.Fouquet. Encouragé par ses succès poétiques

Principalement en raison de Candide, Voltaire se situe à Jonathan Swift comme l'un des plus grands satiristes de la littérature. La satire peut être définie comme la manière littéraire particulier de rendre possible l'amélioration de l'humanité et de ses institutions. Le satiriste adopte une attitude critique et présente habituellement son matériel avec esprit et humour. Conscient des limitations graves dans les établissements dont l'humanité a érigé, il peut demander par le rire pour effectuer un

Molière, La Fontaine, Voltaire, les grandes pages comiques de Balzac ou de Proust, posent des problèmes d’interprétation faute de maîtriser des notions comme le bouffon, le grotesque, la parodie, le burlesque et l’héroïcomique, l’humour, l’ironie, la satire… Nous ne saurions assez recommander la lecture des grands théoriciens du comique (Aristote, Bergson, Bakhtine, Freud…). Nous remarquons en outre que les textes du XIXe siècle sont mieux commentés que ceux des autres périodes, y compris ceux du XXe

pour en faire entendre une autre. Le Vieux Testament est une perpetuelle Allegorie des mysteres contenus dans le Nouveau ». 9. Démétrios, Du style, éd. Pierre Chiron, Les Belles-Lettres, 1993, Collection des Universi - tés de France, p. 101. 10. Boileau, L’Art poétique, III, v. 165-176, éd. Jean-Pierre Collinet, Gallimard, 1985, Poésie/ Gallimard. L’ALLÉGORIE COMME FIGURE Un ornement du style élevé Théorisée pour la première fois par le rhéteur grec Démétrios, l’allé- gorie apparaît, avec la métaphore

et multiplie les alternances entre poèmes graves et légers. D'autre part, des échos significatifs unissent les poèmes entre eux. 5. LA SATIRE (voir Dossier dans l'édition GF p. 400 à 418) Ce mot (sans « Y ») vient du latin « satura » qui signifiait « macédoine » (mot polysémique comme «farce» en français) 1. Dans l'antiquité latine, la satire désignait un ouvrage où se mêlaient les vers et la prose et qui avait pour objectif de critiquer en les tournant en ridicule les vices, les passions

dans la fameuse Querelle des Anciens et des Modernes. C'est en effet en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope, qu'il écrit les Fables qui font sa renommée. Le premier recueil qui correspond aux livres I à VI des éditions actuelles est publié en 1668, le deuxième (livres VII à XI) en 1678, et le dernier (livre XII actuel) est daté de 1694. Le brillant maniement des vers et la visée morale des textes, parfois plus complexes qu'il n'y paraît à la première

proie à une passion), de situation (imbroglio, quiproquos), de mots (calembours), de mœurs (satire sociale). registres : burlesque, héroï-comique, ironique, satirique. le rire est provoqué par la dénonciation caricaturale des ridicules et par l'expression mécanisée d'une passion. Textes théoriques : Aristote : Poétique - Molière : L'Impromptu de Versailles, Critique de L'Ecole des Femmes - N. Boileau : Art poétique - V. Hugo : Préface de Cromwell - H. Bergson : Le Rire - Ch. Mauron : Psychocritique

et comme les membres de sa Cour, s’il est puissant, il est aussi souvent rusé et cruel. ● Critiques économiques : . ● Critiques sociales : . ● Critiques ou apologies de l’Homme : Il apparaît rarement comme un sage. VI- La Fontaine, un observateur de la vie, et un philosophe. ● Capable de croquer le monde animal, avec le rôle de l’anthropomorphisme. ● Observateur de la Cour, de la bourgeoisie, et du peuple : Il dénonce d’ailleurs souvent les attitudes négatives

auteurs qui ont fait la gloire de la littérature française au XVII-e siècle: Corneille: 1606-1684; La Rochefoucauld: 1613-1680; La Fontaine: 1621-1695; Molière: 1623-1673; Pascal: 1623-1662; la marquise de Sévigné: 1626-1696; Bossuet: 1627-1704; Boileau: 1636-1711; Racine: 1639-1699; La Bruyère: 1645-1696; Fénelon: 1651-1715; Saint-Simon: 1675-1755. Certes, les datations en matière de littérature restent assez approximatives: si pour J. Rousset le baroque s’étend de 1580 à 1700, un choix qu’il justifie