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Quand les modes de vie transforment la société L’analyse que nous portons se fait sur un article tiré de Sciences humaine datant de mai 2012. Cet article comprend une interview de Jean Viard, un sociologue s’étant interrogé dans 2 ouvrages sur la question du temps libre et sur la société des 35 heures. Dans cet article, J. Viard explique comment pour lui l’évolution des mœurs, des modes de vie à influer sur la société. Il fait donc une comparaison entre la société du XXe et celle d’aujourd’hui

1) Quelle-est la part de la science et la part de la science-fiction pour l’époque ? Le mot « clonage » a été utilisé pour la 1ère fois en 1905. Les différentes descriptions des procédés de clonage aussi appelés « procédé Bokanovsky », ou la fécondation in-vitro font donc partie de la science-fiction, mais l’idée en elle-même existait déjà à l’époque bien qu’on ne la croyait pas réalisable. Les procédés de vieillissement prématuré ainsi que ceux permettant d’empêcher les marques de l’âge d’apparaitre

Sa vie se divise en deux étapes, en relation avec les deux femmes de sa vie : La première avec qui il va vivre une relation platonique qui finira par une séparation. A partir de laquelle il va établir sa pensée positive basé sur l'étude des sciences. Sa seconde femme, Clothilde de veaux Le Cours s'adressait à l'intelligence et visait une réorganisation mentale de l'humanité. Désormais Comte s'attache à la réorganisation "morale". Sa philosophie évolue vers une "religion de l'humanité" à laquelle

véritable révolution (), mais Copernic affirme, au contraire, sa théorie dans le Révolutionnisme, sur l’héliocentrisme (), qui s’oppose au géocentrisme qui avait cours jusqu’alors. Ce changement radical de toute la représentation du monde affecte la science, dans son ensemble, la religion, mais aussi plus largement la représentation mentale que l’homme se faisait de l’univers et de la place qu’il y occupait. • L’homme baroque met en valeur la vanité du monde : la condition humaine est marquée par

l’universalité et la rationalité de ces valeurs, elles méritent d’être retenues. Le 3 CAILLIAU, Julie, « Les cellules de l’espoir », L’actualité, Vol 27, no 9, 1 juin 2002, p. 38 5 camp favorable croit plutôt que des valeurs telles que le progrès de la science et l’aide à autrui sont plus importantes. Encore une fois, ce sont des valeurs que toute personne raisonnable peut accepter et ne discriminant personne, elles sont universelles. Ce sont donc des valeurs acceptables pour la partie partisane

Renaissance, des arts, des sciences et de la pensée. Ce mot servait à exprimer la pensée selon laquelle l’Homme se distingue et se caractérise par sa culture et sa douceur. Ce mouvement apparaît très tôt en Italie, dès la fin du 13e siècle, les textes de l’Antiquité servaient de modèles de sagesse et de formation des Hommes. Selon cette vision des talents et des intérêts diversifiés, Leonardo da Vinci représente l’humaniste par excellence puisqu’il s’est intéressé aux arts, aux sciences, au corps humain et

qui ne comporte pas l’Utopie ne vaut même pas qu’on y jette un coup d’œil, car elle néglige le seul pays où aborde toujours l’humanité.  Et, quand elle y aborde, elle regarde autour d’elle, aperçoit une meilleure contrée et fait alors voile.  Le progrès est la réalisation des utopies. »                                                                           Oscar Wilde   Si le mot « utopie » apparaît pour la première fois en 1516 sous la plume de l’Anglais Thomas

COMMENTAIRE : MINORITÉ ET POUVOIRSCOMMENTAIRE : minorité intellectuelle parmi les hommes et pouvoirs. ( Plan détaillé. Chacun de ces points doit évidemment être développés par l’analyse du texte lui-même et de l’ensemble de votre cours ) A - INTRODUCTION : Pourquoi les hommes restent-ils dans un état de minorité, se demande Kant dans cet extrait de : Qu'est-ce que les

l’écrasante réalité. Au XVIIIe siècle, par la fiction du « bon sauvage », des philosophes tels que Diderot, Voltaire et Rousseau chercheront non seulement à critiquer la colonisation ethnocentrique des Européens en Amérique, mais aussi les idées de progrès et de raison au cœur même de l’idéologie des Lumières. Inspirés par les nombreux récits de voyages de Vespucci, Colomb, Magellan, et Gama des 16e et 17e siècles, ceux-ci, désireux de poursuivre la tradition humaniste de la Renaissance, interrogeront

La science laisse-t-elle une place à la croyance ? Philosophe et psychologue américain, William James disait que « La science serait bien moins avancée si les désirs passionnés des individus de voir confirmer leurs propres croyances n'étaient pas rentrés en ligne de compte ». Or la science, considérée comme une connaissance rationnelle élaborée à partir de l’observation, de l’expérimentation et du raisonnement, se distingue à première vue complètement de la croyance, qui elle au contraire, relève