Bonheur Souverain Bien

lignes 15-17 " si la raison gouvernait les hommes [...] on ne les verrait point se livrer inconsidérément aux fureurs de la guerre ". La jalousie est également une cause venant des hommes. En effet, ils sont jaloux du bonheur dont jouissent autrui, ils veulent donc détruire le bonheur des autres; ils n'acceptent également pas le fait que la nature a donné plus de biens aux autres peuples : lignes 18 à 21. Ce ne sont pas que les simples hommes qui sont toutes les raisons des guerres, il y a également

sophistes défendent l’idée que le bonheur est un privilège naturel de certains hommes : est heureux celui chez qui existe un équilibre entre les désirs et les facultés. Le bonheur se mesure donc à force  des désirs et à celle de les satisfaire ; autrement il se mesure à l’intensité du plaisir (hédonisme). Socrate rétorque que les désirs sont insatiables, incontrôlables et qu’ils tiennent en leur pouvoir celui qui les éprouve bien plus qu’il ne contribue à son bonheur. Il accorde néanmoins que certains

Auteurs et théorie · L’état  : · Le français jean Baudin (16ème siècle) constate pour sa part l’existence d’un pouvoir public jouant le rôle d’unificateur de l’ordre social : il conçoit l’Etat comme le siège de la puissance souveraine. · « L’état est cette communauté humaine, qui a l’intérieur d’un territoire déterminé revendique pour elle-même et parvient à imposer le monopole de la violence légitime » Max Weber, Le savant et le politique· Loi de Wagner :

épicurienne. Un éthique définit les règles du bien vivre. PB : Qu’est-ce que bien vivre ? I) Quelle est la fin de l’existence humaine ? Rappel : Les Anciens ne se demandent pas : « Que dois-je faire ? » mais « Quelle est la fin naturelle de tout être », « Qu’est-ce qui réalise sa nature dans son excellence ? », « Qu’est-ce que les hommes poursuivent comme leur fin propre ? ». Epicure répond : le bonheur. « Avec le bonheur nous avons tout ce qu’il nous faut et si

philosophe du monde, et qu’assister à ses cours est sans doute le quatrième bonheur le plus important, cela montre bien qu’il sait être un bon enseignant. C’est aussi un érudit qui ne manque pas d’illustrer ses paroles par de nombreuses références historiques, comme lorsqu’il énumère les souverains assassinés lorsqu’il parle du danger des grandeurs souveraines. Il est aussi présenté comme un bon vivant, galant aussi bien avec les jolies jeunes filles qu’avec les vieilles dévotes. C’est aussi est

Loi, Platon la manifeste déjà dans le Gorgias, où l’on entend par la voix de Calliclès un éloge effréné de la force et l’exposé d’une morale individualiste visant le seul plaisir, devant lesquels Socrate demeure mesuré et maître de lui. Et ce sont bien deux morales et plus profondément deux politiques et même deux conceptions de la vie qui s’affrontent ici dans ce dialogue. Aussi étudierons-nous la morale que Calliclès propose, sa critique de la modération et de la justice, qu’il conçoit comme des

philosophes, cette interrogation serait même inhérente à l'être humain. Arthur Schopenhauer déclarait : « Qui ne s’interroge pas est une bête, car le souci constitutif de toute vie humaine est celui de son sens »2. Si l'interrogation est ancienne (bien que formulée pour la première fois en ces termes par Friedrich Nietzsche, à la fin du XIXe siècle3,4,Notes 1), le désir de « donner un sens à sa vie », à défaut de le chercher, en est une déclinaison plus récente5. Différentes approches La question

*Descartes +La liberté d’indifférence est le plus bas degré de liberté. Or l’indifférence est vue non comme une passivité mais come une capacité à trancher et à se déterminer de manière souveraine. La liberté consiste dans une auto-détermination qui fait que la cause de mon acte est ma pure volonté et non le bien qui m’attire. L’homme est libre car responsable de ses actes. Partie II : Le devoir *Kant : « Par devoir, conformément au devoir » Différentes causalités peuvent conduire au même

PHILOSOPHIE Le bonheur • Sceptique : Il est capable de détruire n'importe quelle vérité, « Rien n'est sûr ». • Epicuriens : Pour les sceptiques c'est ceux qui disent qu'il faut chercher le bonheur , mais de façon modérée. • Stoïciens : Préparé à tout. Supporte les chocs sentimentaux comme banals. (SENEQUE) • Ataraxie : Elle qualifie le bonheur, puisque ce dernier est conçu comme un état de sérénité, d'absence de troubles psychiques ou physiques. • Eudémonismes : Doctrine plaçant

nos fins. Aristote considère cette fin suprême comme un état de satisfaction totale à l’infini, c’est-à-dire le bonheur. Dans un premier temps nous allons aborder le bien et la fin, après avoir traité les différents types de fins, nous parlerons du bonheur selon Aristote. Qu’est-ce que le bien ? C’est la satisfaction d’un certain nombre de ses désirs. En quelque sorte, le bien est l’arrivée à une certaine fin. Du mot « fin », nous pouvons comprendre deux sens, la finalité qui est quelque chose